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C’est en anglais très facile à lire…à regarder les graphes. J’ai tout compris : c’est du 5 étoiles.

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Marchés financiers : les leçons du Japon

Actions, crédit, taux, devises : le cas japonais est riche d’enseignements et d’idées d’investissement selon une étude de la Société Générale.
Jocelyn Jovène | 04/06/2015

Depuis plusieurs années, le Japon est devenu un cas d’école pour de nombreux observateurs. Eclatement de la bulle boursière de 1989 et déflation, vieillissement démographique, récessions à répétition, plusieurs « décennies perdues ». Mais, depuis 2012, le lancement de l’ « Abenomics », du nom du premier ministre japonais Shinzo Abe, la mise en place du « quantitative easing » dans des proportions jamais vues (y compris aux Etats-Unis) et d’un ensemble de réformes structurelles, les investisseurs reprennent un peu espoir, même si les défis (endettement public, démographie) restent considérables.

Les équipes de recherche de Société Générale ont rassemblé un document intéressant sur les leçons que peuvent retirer les investisseurs de l’expérience japonaise.

« Les craintes d’une japanisation de la Bourse européenne sont exagérées », estiment les experts de SocGen. Le niveau d’endettement du secteur privé est inférieur à ce qu’il étiat au Japon il y a 20 ans. L’Europe a fait d’énormes progrès dans la réforme de son système bancaire et les conditions de financement du secteur privé sont favorables. Enfin, la rentabilité des entreprises européennes s’est plutôt bien tenue et surtout la croissance des profits, mitigées jusqu’ici, pourrait s’accélérer avec la baisse de l’euro et des matières premières, ce qui justifierait une poursuite de la revalorisation des actions européennes.

Dans l’univers du crédit, l’environnement de faibles inflation et investissement est plutôt positif. Le taux de défaut est bas, comme au Japon. Les spreads de crédit pourraient se comprimer plus fortement que cela n’a été le cas dans l’Archipel.

Le principal défi pour les investisseurs est d’être sélectifs, car le « QE » de la BCE les pousse vers des qualités de crédit moins bonnes au regard de rendements obligataires sous pression.

Sur les marchés de devises, la mise en place du « QE » japonais s’est traduite par un effondrement de la devise. En zone euro, la situation est similaire. Depuis l’annonce des premières mesures de soutien de la BCE, la monnaie unique a commencé à reculer sensiblement face au dollar et aux autres devises, obligeant de nombreuses banques centrales à abaisser leurs taux directeurs.

Pour SocGen, le mouvement de « désynchronisation » des politiques monétaires entre les Etats-Unis, le Royaume-Uni et le Japon et l’Europe n’est pas terminé. « Nous pensons que la divergence économique va continuer à alimenter la divergence de politique monétaire de façon persistante pendant de nombreuses années », écrivent les stratégistes de la banque.

Sur les marchés de taux, la récente envolée du Bund, qui a repris de plus belle ces jours-ci, est surtout liée à des facteurs techniques, selon SocGen (niveau extrême des taux, positions surexploitées par les intervenants de marché, regain de volatilité), et à des éléments plus fondamentaux (raffermissement de la croissance économique en zone euro).

Pourtant, l’inflation « n’est pas encore une menace pour la zone euro » et les achats d’actifs par la BCE n’en sont qu’à leur début.

La situation du Japon est de ce point de vue différente. D’une part, le marché de l’emploi est plus tendu au pays du Soleil levant et l’inflation salariale commence à poindre. Un succès dans l’objectif de l’Abenomics de relancer l’inflation au Japon serait de nature à alimenter un rebond durable des rendements obligataires, malgré l’action de la Banque du Japon.

Le principal défi pour les marchés obligataires dans le monde est le recul de la liquidité, selon SocGen. « Depuis 2008, les conditions de liquidité se sont détériorées de façon marquée sur les marchés de la dette souveraine », observe la banque. Les achats d’actifs des banques centrales ont amplifié le problème d’un assèchement de la liquidité, ce qui pourrait alimenter des regains de volatilité sur les marchés financiers.

Les investisseurs ont plébiscité les ETF en juillet

Attention 2 sujets : marché des ETF+en pièces jointes Lyxor (en anglais mais très facile à lire et surtout intéressant pour voir les flux)

En juin, dans un contexte de volatilité accrue, la collecte des ETF européens avait chuté et les fonds avaient accusé des pertes en capital. En juillet, le marché a connu une évolution beaucoup plus favorable.
Jose Garcia-Zarate | 07/08/2015

Au deuxième trimestre 2015, le marché européen des ETF a pâti à la fois d’une chute des flux financiers et de pertes en capital, dans un contexte de volatilité accrue liée à des facteurs internes (crise de la dette grecque) et externes (marchés émergents). Les actifs sous gestion ont évolué en dents de scie, touchant un plus-haut historique en mai, à 463 milliards d’euros, avant de redescendre à 448 milliards d’euros fin juin, soit en dessous des 459 milliards enregistrés au premier trimestre.

Selon nos calculs, les actifs sous gestion des ETF domiciliés en Europe sont repartis à la hausse en juillet, pour atteindre plus de 460 milliards d’euros. Il apparaît donc qu’au-delà des 6,95 milliards d’euros de collecte nette, le marché des ETF a profité d’une appréciation du capital de 5,2 milliards d’euros au cours du mois.

La ventilation des données par classes d’actifs montre que les ETF en actions ont été le principal contributeur à cette augmentation mensuelle des actifs sous gestion. Après le passage à vide du deuxième trimestre, les investisseurs, probablement encouragés par la résolution du dernier épisode en date de la crise grecque et le fait que le pays ne soit pas sorti de la zone euro, ont placé près de 6 milliards d’euros nets dans les ETF en actions. Ceux-ci vont vu leurs actifs sous gestion atteindre un plus-haut record de 318 milliards d’euros fin juillet, contre 305 milliards fin juin.

Ces nouveaux investissements ont pour l’essentiel ciblé des ETF offrant une exposition aux marchés développés (Europe continentale, Royaume-Uni, États-Unis) au travers de grands indices, tels que le Stoxx50 et le S&P 500. Les investisseurs ont en revanche continué de bouder les ETF en actions émergentes. L’effondrement des actions chinoises n’y est pas étranger. Néanmoins, la décollecte affectant les marchés émergents est largement imputable à l’anticipation d’un resserrement imminent de la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine. Les conséquences négatives d’une telle décision en termes d’investissements directs étrangers sur les marchés émergents se sont renforcées dernièrement, les investisseurs cherchant de plus en plus à minimiser leur exposition aux actifs libellés en devises émergentes.

Après avoir subi 1,5 milliard d’euros de sorties de capitaux en mai et en juin, les ETF obligataires ont eux aussi retrouvé les faveurs du marché en juillet, attirant 2 milliards d’euros nets selon les estimations. Leurs actifs sous gestion sont passés de 96,4 milliards d’euros à la fin du deuxième trimestre à 99,7 milliards d’euros le mois dernier. À l’instar de leurs homologues en actions, les ETF en obligations libellées en euros ont largement profité du regain de confiance des investisseurs lié au maintien de la Grèce dans la zone euro.

Ce répit pourrait toutefois revêtir un caractère opportuniste. De fait, par rapport aux tendances observées au cours des trois premiers mois de l’année, l’investissement total dans les ETF obligataires a nettement diminué. Les taux d’intérêt de la BCE ne devraient pas changer à court terme. Toutefois, le découplage tant attendu de la zone euro et des États-Unis à la faveur de la divergence des politiques monétaires de part et d’autre de l’Atlantique ne se concrétise pas. Dans l’ensemble, les investisseurs ont les yeux rivés sur la Fed. Par ailleurs, bien qu’elle reste inférieure à la normale, la croissance économique de la zone euro s’améliore et, point peut-être plus important encore, le marché ne craint plus de déflation durable. Ce contexte n’est guère porteur pour les obligations en euros.

En ce qui concerne les matières premières, les sorties de capitaux ont augmenté en juillet et la classe d’actifs aurait connu selon les estimations une décollecte nette de 0,96 milliard d’euros. La tendance mondiale à la baisse des cours des matières premières en est le principal facteur. Les actifs sous gestion des ETP en matières premières (qui incluent à la fois les ETC et les ETF) ont, selon les estimations, baissé à 29,6 milliards d’euros en juillet contre 33,1 milliards fin juin, ce qui suggère d’assez lourdes pertes en capital.

Selon des calculs préliminaires, les ETF ont enregistré en juillet une collecte nette de 6,95 milliards d’euros. Ce très solide début de troisième trimestre devrait apaiser les craintes d’affaiblissement durable qu’avait suscitées la piètre performance du marché sur les trois mois précédents.

Globalement, sur les sept premiers mois de 2015, les entrées nettes de capitaux à destination des ETF européens ont atteint 42,3 milliards d’euros. À peine 2 milliards d’euros séparent ce montant des 44,1 milliards d’euros enregistrés sur l’ensemble de 2014 par les ETF, qui semblent bien partis pour battre sur l’année le record historique de 51 milliards d’euros datant de 2008.

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Allocation d’actif par Lyxor

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Flux des Etf Lyxor pour le mois de mars

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Flux sur les ETF d’avril

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Flux sur les Etfs pour mai : actions Us, obligation,…

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Les flux très intéressant sur les pays émergents/pays développés, monté des oblig Corporate et inflation

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La Stratégie Global Macro a Enregistré sa Meilleure Performance Mensuelle depuis février 2008

Lyxor AM,Date 15/11/2016

L’indice Lyxor Hedge Fund a gagné 0,9% en octobre, 6 des 10 indices Lyxor clôturant le mois en territoire positif.

Les gérants Global Macro ont signé une performance exceptionnelle en Octobre. Leur positionnement relatif à l'économie américaine (long sur l'USD, court sur les actions et les obligations américaines) et leurs positions courtes GBP/USD ont porté leurs fruits. En un seul mois, la stratégie a effacé les pertes enregistrées depuis le début de l'année.

Les marchés obligataires ont subi des pressions au mois d’octobre, les investisseurs redoutant des politiques monétaires moins conciliantes à l’avenir. D’une part, la Fed s’oriente de plus en plus vers une hausse des taux en décembre, tandis que les autres banques centrales ont adopté un ton moins accommodant. A cet égard, les rendements des bons du Trésor à 10 ans ont grimpé de 23 pb en octobre outre-Atlantique, soutenus par ailleurs par des données économiques robustes. En Europe, les rumeurs afférentes à un ralentissement du programme d’assouplissement monétaire ont entraîné une hausse des rendements à long terme (+28 pb pour le Bund allemand à 10 ans). Ces rumeurs se sont éteintes lors de la réunion de la BCE du 20 octobre, au cours de laquelle le président de l’institution, Mario Draghi, n’a évoqué ni la possibilité d’une extension, ni d’une réduction du programme. Au Royaume-Uni, les Gilts à 10 ans ont grimpé en flèche (+50 pb), la chute de la GBP ayant ravivé les craintes inflationnistes sur fond d’inquiétudes quant à un divorce difficile avec l’Union européenne. La perspective d’une divergence au niveau des politiques monétaires a entraîné une appréciation du dollar US par rapport aux autres devises majeures (+2,3% face à l’euro, +3,4% face au yen et +5,6% face à la livre sterling). L’évolution des actions mondiales a reflété les fluctuations des devises. Les actions européennes ont surperformé les marchés américains et émergents. Enfin, le pic inattendu des stocks de pétrole brut aux Etats-Unis a entraîné un effondrement des cours pétroliers à la fin de la période. Les cours du Brent ont clôturé le mois à 48 USD le baril. En conséquence, les obligations européennes à haut rendement ont surperformé leurs homologues américaines.

Dans ce contexte, l’indice Lyxor Hedge Fund a réalisé un très beau parcours grâce à la performance spectaculaire des stratégies Global Macro et Fixed Income & Credit Arbitrage. En revanche, les CTA à long terme ont pesé sur la performance globale en raison de leur positionnement long obligataire.

La stratégie Global Macro a enregistré sa meilleure performance mensuelle depuis février 2008. En un seul mois, la stratégie a effacé les pertes enregistrées depuis le début de l’année, grâce aux positions courtes sur la GBP et l’EUR par rapport à l’USD ainsi qu’aux positions courtes obligataire. Les Gilts à 10 ans ont grimpé en flèche du fait de la dépréciation de la GBP, ce qui a soutenu les positions courtes sur obligations britanniques. La dispersion des rendements entre gérants est restée significative. Pour les gérants positionnés sur les marchés actions, la préférence pour les titres européens et japonais a constitué une source de gains.

Les gérants Credit Arbitrage ont signé une belle performance, soutenus par la reprise du crédit à haut rendement. Les gérants asiatiques ont tiré parti de leurs positions sur les valeurs énergétiques et bancaires. Les acteurs obligataires ont tiré leur épingle du jeu dans un environnement de hausse des rendements grâce à leurs positions courtes sur les obligations européennes, les rendements ayant grimpé en flèche sur fond de craintes relatives à une réduction de l’assouplissement quantitatif de la BCE.

La stratégie L/S Equity a clôturé le mois d’octobre en territoire positif. Néanmoins, les rendements des fonds ont été hétérogènes selon les régions. En Asie, la préférence des gérants pour les secteurs cycliques leur a permis de surperformer leurs pairs, les valeurs décotées ayant signé de solides résultats. Outre-Atlantique, les gérants ont adopté une attitude prudente à l’approche des élections américaines. Ils ont allégé leur bêta de marché et renforcé leur biais en faveur des secteurs défensifs. Leur exposition nette longue à la finance, à la technologie et à l’énergie leur a permis de générer de l’alpha. En revanche, les fonds européens ont accru leur exposition aux secteurs cycliques, notamment dans les secteurs de la finance et des matériaux de base.

Après un rebond significatif en septembre, les gérants Event Driven ont perdu du terrain. Les gérants Special Situations ont souffert de la volatilité observée à la fin de la période, essentiellement sur leur exposition au secteur de la santé. Les investissements sur les titres Allergan, Baxter et Shire ont été particulièrement pénalisants. Par ailleurs, les fonds Merger Arbitrage ont fait les frais de l’élargissement des spreads de transaction (Syngenta/ ChemChina, St. Jude Medical/ Abbott Labotaries, RiteAid/ Walgreen). A l’approche des élections américaines, leur positionnement reste prudent. Les gérants demeurent dans l’attente d’une meilleure visibilité politique avant de déployer leurs capitaux. De ce fait, leur exposition nette aux actions a été réduite. Les opportunités de déploiement de liquidités demeurent cependant importantes, notamment au vu des activités de fusions-acquisitions, qui ont atteint des plus hauts historiques en octobre.

Les CTA ont essuyé des pertes en octobre, la corrélation positive entre les actions et les obligations ayant pesé sur les performances des modèles à long terme. Leurs positions longues agressives sur les obligations allemandes et britanniques ont été particulièrement pénalisantes. Ils ont toutefois allégé leur positionnement au fil du mois, alors que les modèles à court terme ont opté pour une exposition neutre, ce qui leur a permis de tirer leur épingle du jeu dans un contexte de hausse des rendements. Dans l’ensemble, les CTA ont largement rééquilibré leurs portefeuilles de matières premières. Au sein de la poche devises, les modèles ont renforcé leur allocation longue à l’USD par rapport à l’EUR et à la GBP principalement. A cet égard, les opérations de change sont restées la principale source de gains en octobre.

« Nous conservons notre légère surpondération de la stratégie Event Driven, et notre préférence pour les gérants Merger Arbitrage. La stratégie peut selon nous faire face à des rendements obligataires plus élevés, car son exposition nette aux actions s’est atténuée dernièrement. Les gérants ont ainsi les coudées franches pour investir leurs capitaux lorsque des opportunités apparaissent. A cet égard, les données Bloomberg suggèrent que ce mois d’octobre a enregistré des niveaux historiques en termes d’activité internationale de fusions-acquisitions. Les opérations de fusions-acquisitions annoncées ont représenté plus de 470 milliards de dollars (ce chiffre ne prend en compte que les transactions dont la valeur excède 400 millions de dollars), l’activité de fusions-acquisitions américaine représentant 60% de l’activité totale. Le secteur des médias s’est révélé le plus actif, grâce à des opérations telles que la fusion de 108 milliards de dollars envisagée entre AT&T et Time Warner. Pourtant, à l’approche des élections américaines, la plupart des gérants Event Driven sont restés prudents et attendront une meilleure visibilité politique avant de déployer leurs capitaux. La stratégie devrait donc faire preuve de solidité si la volatilité des actions continue d’augmenter, ce qui se traduirait par des spreads de transactions plus larges et ouvrirait la voie à des déploiements de liquidités. » Philippe Ferreira, Stratégiste senior multi-actifs, Lyxor Asset Management

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Flux : actions Us+Europe baisse : oblig et emergents (oblig+action)

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Flux Etf pour septembre : actions Us+Emergents,…

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Point sur la dette US

Qui détient la dette Us?

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Flux sur les Etfs : actions Us, MEmergents, et oblig

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Les flux concernant le mois d’août

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ETF Money Monitor - Octobre 2018

13 Nov 2018

En octobre, les nouveaux actifs nets sur le marché européen des ETF ont reculé à 1,1 milliard d’euros (soit 4,8 milliards d’euros de moins qu’en septembre) en raison de l’incertitude politique généralisée et du manque de tendances claires sur le marché. Les flux de capitaux vers les actions ont ralenti à tout juste 386 millions d’euros. En effet, les collectes importantes à nouveau enregistrées par les actions américaines (2,2 milliards d’euros) sur le mois, la résurgence de l’intérêt pour les valeurs européennes (893 millions d’euros) et les premiers signes d’un regain de confiance envers le Japon depuis un certain temps (220 millions d’euros) ont été contrebalancés par un mois désastreux pour les actions monde (-3,4 milliards d’euros). Les flux en faveur des ETF obligataires ont diminué de moitié dans un contexte de hausse des taux (701 millions d’euros), les obligations d’entreprises de catégorie investment-grade enregistrant le pire mois de leur histoire (-1,3 milliard d’euros). Les flux des matières premières ont été neutres, mais les sorties de capitaux du troisième trimestre se sont néanmoins interrompues. Enfin, le regain d’intérêt observé en septembre à l’égard du Smart Beta s’est déjà amoindri.

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Les flux sur les ETF Lyxor

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