Investissement SCPI

Je pense qu il ne faut pas vendre les vieilles scpi au profit des nouvelles qui malgré de bonnes performances prennent plus de risques mais mixer les deux pourquoi pas

De nouvelles règles pour les SCPI

Une ordonnance publiée le 4 juillet dernier au Journal officiel modifie certaines règles concernant les SCPI. Ces nouvelles mesures ont pour objectif de diversifier les investissements, mais aussi de les rendre plus transparents et accessibles aux investisseurs.

Diversifier les investissements

L’ordonnance de modernisation du régime des fonds d’investissement alternatifs, publiée le 4 juillet au Journal officiel, contient de nombreuses règles visant à moderniser l’investissement dans les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI). Les dispositions de l’article 8 permettent notamment aux SCPI de « procéder à l’acquisition directe ou indirecte, l’installation, la location ou l’exploitation de tout procédé de production d’énergies renouvelables, y compris la revente de l’électricité produite ». Les SCPI pourront donc désormais investir dans des panneaux photovoltaïques ou encore des éoliennes et tirer profit de la revente de la production énergétique. En diversifiant leurs investissements, les SCPI se préservent ainsi partiellement des fluctuations du marché immobilier tout en contribuant à la transition énergétique.

Plus de transparence pour les investisseurs

L’article 11 prévoit quant à lui une amélioration de la fréquence et de la qualité de l’information relayée aux investisseurs. Les SCPI seront désormais tenues de faire une évaluation semestrielle de leurs actifs pour que la valeur de leurs parts reflète au mieux la réalité du marché. Cette mesure permet aux SCPI de valoriser de manière plus réaliste leurs parts et aux investisseurs de bénéficier d’informations plus précises sur la valeur de leurs placements à un moment « T ». Cette augmentation de la fréquence des évaluations permet également aux investisseurs de mieux saisir les risques associés à leurs placements et de comprendre la fluctuation des valeurs de leurs parts. À noter : Plusieurs baisses significatives du prix des parts ont impacté le marché des SCPI ces derniers mois, soulevant parfois des inquiétudes des investisseurs quant à leurs performances.

Des investissements plus accessibles

L’article 12 de l’ordonnance supprime quant à lui le montant nominal minimal de 150 euros par part. Jusqu’ici, le prix de souscription devait être au-dessus ou égal à 180 euros – incluant un montant nominal minimum de 150 euros (la différence se justifie par les frais connexes). Si l’investissement dans les SCPI était déjà attractif pour les petits investisseurs, en partie grâce à son ticket d’entrée à faible coût, cette mesure leur permet d’aller encore plus loin en proposant des parts à des prix encore plus faibles. À terme, elle devrait permettre de stimuler les investissements des épargnants aux moyens les plus modestes.

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Je ne suis pas le dossier de près n’étant pas investi dessus mais pour une scpi de fond de portefeuille elle me parait continuer à jouer son rôle.

Le plan d’arbitrage se porte sur des actifs en PV qui est redistribuée aux associés c’est plutôt sain.
La question est donc la distribution du T2 est composé à moitié de PV parce que les loyers baisse et on sauve la face ou parce que la scpi vient d’encaisser des belles PV qu’elle redistribue et qu’elle préfère ne pas verser un gros acompte de 14-15€ au T2 .

La réponse est la 2e, tous les indicateurs le confirmes : le TOP/TOF est stable voir s’améliore et les loyers encaissés ce trimestre sont également stable

La SDG aura tout le loisir d’ajuster sa distribution et ses réserves au T4 lorsqu’elle aura toutes les cartes en main.
Autrement dit ce n’est parce que l’associé n’a pas perçu tous les revenus fonciers encaissé au T2 à cause de revenus exceptionnels qu’il ne les toucheras pas plus tard.

A côté de ça vous avez des SCPI qui bradent à 8 millions des actifs acheté en 2011 à 20 millions juste pour être en capacité de financer leur prêt leur VEFA et les gros travaux.

Bilan du 1er semestre 2024 : quelles SCPI ont passé la barre des plus de 50 millions d’euros de collecte nette ?

D’après les données de l’Association française des Sociétés de Placement Immobilier (l’Aspim), sur les un peu plus de 200 SCPI commercialisées, 11 ont récolté plus de 50 millions d’euros au premier semestre 2024, dont 4 se sont particulièrement démarquées en dépassant les 100 millions d’euros de collecte.

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Très intéressant , merci pour le partage Philippe91!
dommage que sur en AV spirit2 , on ne trouve que Remake live, Activimmo et Pierre epargne…

S’il n’y avait pas eu tous ces pb de liquidité avec les SCPI historiques de bureaux, peut-etre que ces SCPI qui cartonnent auraient moins été frileuses à rentrer en AV…

Immobilier : un premier semestre contrasté pour les SCPI et les unités de compte immobilières

information fournie parMingzi •27/08/2024 à 11:47

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Immobilier : un premier semestre contrasté pour les SCPI et les unités de compte immobilières

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Crédit photo : 123RF

Les statistiques du marché des SCPI et unités de compte immobilières du premier semestre 2024 révèlent une situation contrastée, avec des signes de résilience pour certains acteurs, tandis que d’autres sont toujours en grande difficulté.

L’Aspim (Association Française des Sociétés de Placement Immobilier) et l’IEIF (Institut de l’Épargne Immobilière et Foncière) ont publié les statistiques du marché des SCPI, OPCI et SC immobilières du premier semestre 2024. Celles-ci révèlent une situation contrastée, avec des signes de résilience pour certains acteurs, tandis que d’autres sont toujours en grande difficulté.

Après avoir connu une longue période de croissance soutenue avec des records de collecte, le marché de la pierre-papier traverse depuis près d’un an une phase de crise. Celle-ci a été provoquée par la hausse brutale des taux d’intérêt qui a entrainé la baisse de la valorisation des actifs immobiliers. Cela a déclenché une vague massive de rachats et des difficultés pour certains acteurs à répondre à cette demande. Les SCPI les plus récentes tirent leur épingle du jeu en captant une grande partie de la collecte et en distribuant des rendements élevés. En revanche, les SCPI plus anciennes font face à de nombreuses demandes de rachat que la collecte n’arrive pas toujours à compenser. Le premier semestre 2024 marque un tournant dans cette crise avec des signes de résilience pour certains acteurs, tandis que d’autres connaissent d’importantes difficultés.

Le marché des SCPI

Sur le S1 2024, la collecte brute des SCPI (2,3 milliards d’euros) reste stable par rapport au S2 2023, mais elle repart à la hausse au T2 2024 (1,2 milliard). Les SCPI « diversifiées » dominent le marché, représentant à elles seules 63 % de la collecte brute du T2. Elles devancent les SCPI « bureaux » (19 %), « santé et éducation » (8 %), « logistique et locaux d’activité » (5 %) et « commerces » (2 %). Les SCPI « résidentiel » et « hôtel, tourisme, loisirs » représentent quant à elles respectivement 2 % et 1 % du total des souscriptions.

Même tendance à la stabilité pour la collecte nette du S1 2024 (1,67 milliard), qui reste comparable à celle du S2 2023, avec toutefois une accélération de + 18 % au T2 2024 (907 millions contre 765 millions d’euros au T1 2024). Cela s’explique par la forte baisse des rachats au T2 (- 34 %), passant de 625 millions d’euros au T1 à 412 millions au T2.

Au 30 juin 2024, les parts en attente de retrait représentent 2,6 milliards d’euros, soit 2,9 % de la capitalisation du marché. Mais cette situation cache des situations très contrastées : elles sont concentrées sur seulement 43 % des SCPI (soit 91 SCPI gérées par 17 sociétés de gestion), les 57 % autres (122 SCPI gérées par 44 sociétés de gestion) n’ayant aucune part en attente. De plus, ces dernières captent l’essentiel de la collecte (85 %) du T2 2024.
Les niveau de distribution du S1 sont stables par rapport à ceux de l’an dernier : 37 % des SCPI ont distribué le même montant au S1 en 2024 et 2023, 36 % l’ont augmenté, alors que 27 % l’ont diminué. Le taux de distribution moyen est en légère hausse au S1 à 2,20 %.

Le prix moyen des parts a diminué de -2,16 % sur le S1 : 19 % des SCPI ont diminué leur prix de souscription, 3 % l’ont réhaussé et 78 % l’ont gardé inchangé. Ces niveaux de valorisation devront être confirmés à l’issue des campagnes de réévaluation à mi-année.

Les OPCI et les SC immobilières

Pour les OPCI grand public et les sociétés civiles immobilières en unités de compte (SC), la liquidité est assurée par les assureurs dans le cadre de l’assurance vie. Ces fonds immobiliers ont eux aussi subi les effets de l’environnement macroéconomique tendu. Ce marché montre des signes de ralentissement dans la décollecte nette : au S1, il enregistre un volume d’ordres de rachat bien inférieur à celui du S2 2023, permettant à la décollecte nette de ralentir progressivement, sans toutefois que les flux acheteurs ne parviennent à dépasser les flux vendeurs.

Ainsi, du côté des unités de compte immobilières, la décollecte nette au S1 s’est établie à - 518 millions d’euros (contre -1.700 millions au S2 2023) et - 118 millions au T2 (après - 400 millions au T1). Au S1 2024, la performance globale est de -3,7 %.

Du côté des OPCI, la décollecte nette ralentit et s’établit à -1,3 milliard au S1, en amélioration par rapport au S2 2023 (- 2 milliards). Toutefois, la décollecte se creuse au T2 2024 (- 707 millions) par rapport au T1 (- 553 millions). Au S1 2024, la performance globale est de -3,1 %.

En conclusion, le marché des SCPI, OPCI et sociétés civiles immobilières au S1 2024 reflète un secteur en pleine mutation, marqué par des contrastes importants. Alors que certaines SCPI, notamment les plus récentes, continuent de capter l’intérêt des investisseurs grâce à des rendements attractifs et une collecte solide, d’autres, plus anciennes, doivent faire face à des défis considérables, notamment en matière de demandes de rachat et de valorisation des actifs. Le marché montre toutefois des signes de stabilisation, bien que l’incertitude liée aux taux d’intérêt persiste, rendant l’adaptation et l’innovation indispensables pour les acteurs du secteur.

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A retenir : l 'impact de la baisse des taux ne se verra qu 'en fin 2025…

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SCPI : leur rendement va augmenter cette année, mais soyez plus sélectif que jamais

Malgré les difficultés de certains acteurs, le rendement moyen des SCPI devrait augmenter cette année, notamment grâce aux performances records des meilleures d’entre elles. Sur un marché qui a rarement été aussi hétérogène, vous devez être plus sélectif que jamais.

© Pixabay - Sur quelles SCPI miser en 2024 ?

Par [Quentin Bas Lorant

Un patrimoine immobilier qui perd en valeur, une collecte en berne et des parts qui ne trouvent pas toujours de repreneurs… Les 12 derniers mois ont été bien compliqués pour certaines sociétés civiles de placement immobilier (SCPI). Et pourtant, les perspectives sont plutôt réjouissantes depuis le début d’année : selon le courtier en ligne France SCPI, le secteur a affiché un taux de distribution moyen (TD) - l’équivalent du rendement - de 4,52% au premier semestre, soit tout autant que le rendement servi en moyenne les deux années précédentes. Bonne nouvelle, donc : malgré les difficultés de certains acteurs - 28 véhicules ont annoncé une baisse du prix de leur part depuis juillet 2023 -, les SCPI de rendement continuent à distribuer des revenus à leurs associés, ce qui est leur fonction première.

Un taux de distribution dopé par la baisse des prix de parts

Mieux, le rendement des SCPI va encore être amené à grimper d’ici la fin de l’année. D’abord, par un effet mécanique, qui tient au calcul de leur taux de distribution. Ce dernier est en effet obtenu en divisant le montant total des dividendes bruts versés sur une année par le prix d’acquisition de la part au 1er janvier de cette même année. Or, au 1er janvier 2024, 21 SCPI se sont présentées avec un prix de souscription abaissé par rapport à 2023, ce qui, à dividendes constants, va faire mécaniquement grimper le rendement moyen calculé cette année.

De plus, ce rendement est également tiré vers le haut par quelques jeunes acteurs qui affichent une santé étincelante : sur les six premiers mois de l’année, la SCPI Comète (gérée par Alderan et lancée en 2023), a par exemple servi un taux de distribution de 12,5%, soit un rendement trois fois supérieur à la moyenne du marché. Logique : les affaires sont actuellement très juteuses pour les SCPI qui achètent : 7,6% de rendement moyen pour les acquisitions du premier semestre, selon les données collectées par Rock-n-Data et dévoilées lors d’une conférence de presse mardi 10 septembre 2024. Problème : pour investir dans ces immeubles très rentables, il faut collecter auprès des investisseurs. Et cette collecte s’est concentrée pour près de la moitié (44%) dans les mains de cinq SCPI au premier semestre, toujours selon Rock-n-Data.

Un secteur plus polarisé que jamais

Vous l’aurez compris, si le taux de distribution moyen du secteur se porte bien, et devrait même mécaniquement augmenter cette année par rapport à 2023, il se révèle très disparate. Outre Comète, les SCPI Transitions Europe ou Remake Live devraient servir un TD annualisé de 9,7% et 7,4%, selon France SCPI. A l’autre bout de l’échelle, les véhicules les moins performants ne devraient pas servir plus de 3,5% à leurs associés en 2024. En d’autres termes, «nous n’avons jamais vu un marché aussi polarisé en termes de rendement et de collecte», résume Jonathan Dhiver, fondateur de MeilleureSCPI.com.

Pour profiter d’un rendement en hausse sur ce placement - en souscrivant directement ou via votre assurance vie, par exemple -, il faut donc veiller à miser sur le bon cheval. Mais sans pour autant mettre tous ses œufs dans le même panier ! En effet, le meilleur moyen de préserver un niveau de dividendes constant sur la durée reste de mutualiser le risque en investissant dans plusieurs véhicules : «Il est préférable de mélanger dans son portefeuille les anciennes et les nouvelles SCPI, les grandes et les petites capitalisations. Et pour maximiser son rendement, on peut également jeter un œil aux marchés secondaires, sur lesquels sont revendues des parts à des prix bradés», explique Jonathan Dhiver.

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Nouvelle vague de baisse de prix pour trois SCPI de BNP Paribas (boursier.com)

12 SCPI ont abaissé leur prix de plus de 15% depuis 2023 (boursier.com)

Bonjour à tous,

Avec l’ensemble de ces vagues de baisse, n’est il pas plus intéressant aujourd’hui d’investir dans ces SCPIs ( et lesquelles sont accessibles sur Spirit 2?) car on eput espérer un rendement plus élevé sur les prochains mois tout en misant sur une augmentation de la part sur du moyen, long terme ?

Merci

Ok mais en sommant le taux de rendement + la variation des valeurs de parts ( qui est en baisse au S1 2024) , au final ca va faire largement en dessous des 4 % .

il y a la file des baisses de prix pour cet article . Merci !

Cette nouvelle SCPI veut se faire une place dans l’immobilier de santé et des sciences de la vie

Par Olivier CheilanPublié le 21/10/2024 à 17h09Tendance Actu

Cette nouvelle SCPI veut se faire une place dans l’immobilier de santé et des sciences de la vie

Épargne Pierre Sophia est la nouvelle venue chez Atland Voisin. Il sera possible de souscrire à partir du 4 novembre à un prix de 220 € la part ou 209 € pendant la période de traitement préférentiel.

Crédit photo © GettyImages

Les lancements de Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) se poursuivent depuis plusieurs mois, souvent de la part de sociétés de gestion qui essaient d’aller chercher de la collecte avec un nouveau fonds affichant de meilleurs objectifs de rendement que le reste de leur portefeuille. Certains lancements son aussi à l’initiative de nouveaux acteurs profitant d’un contexte de marché favorable après la baisse de prix de beaucoup d’actifs tertiaires et la moindre compétition à l’achat avec des institutionnels frileux et bon nombre de gestionnaires dont la collecte est à l’arrêt.

Diversification

Épargne Pierre Sophia est la nouvelle venue chez Atland Voisin et il s’agit de la quatrième SCPI proposée par le groupe. Atland Voisin n’a rien à prouver en termes de performances avec des rendements bien positionnés et une collecte très soutenue avec près de 150 millions d’euros au premier semestre 2024 pour les SCPI Épargne Pierre et Épargne Pierre Europe.

Il s’agit ici d’une stratégie de diversification vers l’immobilier de santé et des sciences de la vie qui est le thème d’Épargne Pierre Sophia. Le fonds investira dans toutes les composantes de ce secteur : cliniques, laboratoires, centres médicaux, pharmacies, centres de prise en charge de la dépendance et tous locaux liés à l’activité de santé. Les acquisitions seront réalisées dans la zone euro et à titre accessoire au Royaume-Uni et en Suisse.

A lire aussi Perial choisit un positionnement assez original pour sa nouvelle SCPIComptage|0x0

Une équipe dédiée à ce lancement

Atland Voisin précise avoir analysé ce secteur depuis plus d’un an avec la constitution d’une équipe dédiée pour préparer ce lancement. L’immobilier dédié aux sciences de la vie et de la santé affiche des fondamentaux solides et attractifs : besoins croissants, profondeur et diversité de la classe d’actifs à l’échelle européenne, qualité des baux et des locataires. Des locataires dont le développement est lui-même lié à la qualité de leur immobilier, explique Nicolas Porcheron, Directeur Investissements Santé d’Atland Voisin.

Épargne Pierre Sophia affiche des objectifs raisonnables en visant un taux de distribution de 5,5% brut de fiscalité pour l’associé et un taux de rendement interne (TRI) de 5,75% sur l’horizon de placement recommandé de 10 ans. On peut rappeler au passage qu’Épargne Pierre Europe, SCPI européenne diversifiée lancée en 2022 par Atland Voisin, devrait afficher cette année encore entre 6% et 6,5% (6,26% en 2023).

Début des souscriptions le 4 novembre

Il sera possible de souscrire à partir du 4 novembre à un prix de 220 € la part Épargne Pierre Sophia. Le minimum de souscription est de 20 parts, soit un ticket d’entrée de 4.400 €. Les frais de souscription sont de 10% et le délai de jouissance sera de 3 mois pour les souscriptions intervenues avant le 31 mars 2025 et de 4 mois par la suite.

Une période de traitement préférentiel est prévue pour les premiers investisseurs : les parts sociales souscrites avant le 31 décembre 2024 (dans la limite de 68.500 parts) bénéficieront de frais de souscription réduits à 5% (prix de la part de 209 €).

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Et oui, et 2024 n’est pas meilleur, on passe d’une valorisation de 154 euros a 126 , sans compter la baisse de Février…heureusement que l’on est aidé par de gentils conseillers financiers…C’est décidé, je n’écoute plus personne car a chaque fois c’est la cata.

Bonjour,

Je viens de toucher les revenus du T3 du PF hospitalité Europe . Ca fait juste -22 % de baisse de loyer sur 1 an glissant …

Après on va nous raconter des fables sur la résilience des revenus des SCPI en temps d 'inflation … Eux ils disent qu 'il y a du retard sur la construction d 'un immeuble … sur 27 immeubles, qui expliquent la baisse des revenus … incroyable la mauvaise fois

Edit : c’est 3 immeubles sur 28 … C’est curieux de partir dans du VEFA en pleine crise des SCPI alors que ce qui est important c 'est d 'afficher un rendement intéressant pour attirer des nouveaux sociétaires … Eux ils font l 'inverse …

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=> j 'ai l 'impression que j 'ai surtout celles qui ont baissé leur distribution…Après le taux moyen affiché va augmenter , aidé par la baisse des valeurs de part de l 'année dernière .

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J 'ai fait un calcul : je suis à -4.77 % en 2024 en valeur de part sur l 'ensemble de mes 8 SCPI en direct ( merci Primopierre ! )

Ca peut être l’opportunité de faire une donation de la nue propriété, aprés tout l’objectif d’investir en parts de SCPI est avant tout de se créer un complément de revenus, non ?

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