Energies renouvelables et environnement

Salut arrot
Tu as bien fait de préciser que la situation est différente selon les régions .
Malheureusement , j’ai Ă©tĂ© limitĂ© Ă  3500 caractĂšres dans mon article
J’ai du supprimer tout ce que j’avais prĂ©vu pour mettre en garde contre des commerciaux vĂ©reux et incompĂ©tents .
Ils te font investir dans des domaines qui ne servent Ă  rien
Si j’avais expliquĂ© tout ce que les scientifiques savent sur le vieillissement et la perte d’efficacitĂ© lors des fortes chaleurs , j’aurais eu les Ă©colo aux trousses

Il y a un groupe de recherche qui bosse sur ce sujet Ă  Montpellier et qui publie

3 réflexions :

La compĂ©tence d’un commercial est de vendre
C’est tout ce qu’on lui demande
Quel que soit l’employeur

Je suis sceptique sur l’énergie verte
Le diable se cache souvent dans les détails
Pour le consommateur comme pour la planĂšte

Si nous jouons véritablement notre survie
L’écologiste vĂ©ritable est radical :
Décroissance et malthusianisme

100% OK : la solution est la décroissance.
La meilleure énergie est celle que nous ne consommons pas.

Sun7
Merci pour tes articles spécialisés sur ce secteur
Tu deviens par conséquent notre référent dans ce domaine

Notre ennemi à tous étant le C02 ,je ne comprends toujours pas , que la valorisation de cette molécule , ne soit pas à la pointe de la recherche industrielle .
La France a eu un Prix Nobel de chimie avec un Toulousain qui a laissĂ© son nom avec la rĂ©action de Sabatier permettant de produire du mĂ©thane CH4 et de l’eau H2O Ă  partir de dioxyde de carbone CO2 et d’hydrogĂšne H2 Ă  pression et tempĂ©ratures Ă©levĂ©es — idĂ©alement de 300 Ă  400 °C.

L’énergie propre attise les convoitises

Les grands groupes français investissent dans le secteur, suivis par de nombreuses PME dans l’Hexagone.

CYRILLE PLUYETTE

ÉNERGIE Verdir leur production : les grands Ă©nergĂ©ticiens français n’ont pratiquement que ce mot Ă  la bouche. Mais au-delĂ  des slogans, Ă  quelle vitesse progressent les Ă©nergies 100 % propres dans l’Hexagone ? Et quel rĂŽle jouent les multinationales tricolores dans cette transition, alors que notre pays s’est fixĂ© des objectifs ambitieux ? La loi Ă©nergie climat vise Ă  porter la part de la production d’électricitĂ© Ă  partir d’énergies renouvelables Ă  40 % en 2030.

Signe qu’il se passe quelque chose, les Ă©nergies renouvelables couvraient 21 % de la consommation Ă©lectrique française Ă  fin septembre 2019, selon le syndicat de la filiĂšre (SER). Mais le rythme de crĂ©ation de nouvelles capacitĂ©s n’est cependant pas suffisant au regard des cibles fixĂ©es. Le retard est particuliĂšrement criant pour le solaire. « Seuls 900 mĂ©gawatts ont Ă©tĂ© installĂ©s en 2018, alors qu’il en faudrait presque quatre fois plus pour atteindre l’objectif de 40 gigawatts en 2028 », insiste Jean-Louis Bal, le prĂ©sident du SER. Concernant les Ă©oliennes ter­restres, « le marchĂ© est dynamique, avec 1,6 GW ajoutĂ© en 2018, mais on est un peu en dessous des 2 GW annuels nĂ©cessaires », ajoute ce responsable. Parmi les freins Ă  son dĂ©veloppement, l’éolien terrestre fait face Ă  des problĂšmes d’acceptabilitĂ© : plus de deux tiers des ­projets font l’objet de recours.

Bataille en mer
Une autre grande bataille, moins visible, a Ă©galement commencĂ© : celle des Ă©oliennes en mer. Pour l’heure, aucune n’est encore sortie de l’eau en France, quand il en existe plus 4 500 dans le reste de l’Europe. Et ce, alors que 7 parcs ont Ă©tĂ© attribuĂ©s depuis le premier appel d’offres de 2011, princi­palement Ă  EDF et Engie (ex-GDF Suez). AprĂšs des annĂ©es de lenteurs administratives et de recours juridiques, la voie semble toutefois se dĂ©gager. Les pre­miĂšres Ă©oliennes en mer, exploitĂ©es par EDF, devraient voir le jour en 2022 au large de Saint-Nazaire. Et Emmanuel Macron qui estime que la France « possĂšde un des potentiels les plus importants au monde » dans ce domaine a ­rĂ©cemment indiquĂ© qu’1 GW de capacitĂ© supplĂ©mentaire serait ­attribuĂ© chaque annĂ©e d’ici Ă  2024.

Pour s’octroyer une part du marchĂ© en croissance, les renouve­lables, les mastodontes français du secteur se livrent une compĂ©tition acharnĂ©e, surtout dans l’éolien et le solaire. Il en va de leur image, mais pas seulement. Leurs « investissements constituent de vĂ©ritables relais de croissance, dans un contexte oĂč la baisse des coĂ»ts des installations permet de rendre l’équation Ă©conomique trĂšs compĂ©titive », explique ClĂ©ment Le Roy, spĂ©cialiste de l’énergie au cabinet de conseil Wavestone. Engie, qui a adoptĂ© une stratĂ©gie consistant Ă  « tendre vers le zĂ©ro carbone », a prĂ©vu d’investir 2,5 milliards d’euros pour dĂ©ve­lopper 9 GW de capacitĂ©s renouvelables en trois ans dans le monde et porter le total Ă  33,4 GW en 2021. Le gaz naturel reprĂ©sentait encore plus de la moitiĂ© des capacitĂ©s Ă  fin 2017, et le charbon 7 %. De son cĂŽtĂ©, EDF compte presque doubler ses capacitĂ©s installĂ©es dans les renouvelables entre 2015 et 2030, pour les porter de 28 GW Ă  50 GW. L’opĂ©rateur reste nĂ©anmoins avant tout une entreprise nuclĂ©aire, l’atome reprĂ©sentant plus des trois quarts de sa production d’électricitĂ©.

Quant Ă  Total, il Ă©value ses investissements « bas carbone » Ă  environ 1,5 Ă  2 milliards d’euros par an - soit autour de 10 % du total - mais intĂšgre dans son calcul le gaz naturel, une Ă©nergie fossile. Pour l’heure, l’entreprise n’affiche qu’une timide prĂ©sence dans le renouvelable, avec 3 GW de puissance installĂ©e dans le monde, via ses filiales Total Quadran, Total Solar et Eren. Il ambitionne ­d’atteindre 25 GW en 2025.

Engie et EDF ont beau faire course en tĂȘte dans l’éolien et le solaire en France, « le marchĂ© du renouvelable n’est pas rĂ©servĂ© qu’aux grands groupes nationaux. Plusieurs structures françaises plus petites tirent leur Ă©pingle du jeu », comme Neoen, Urbasolar, Valorem ou Akuo Energy, prĂ©cise ClĂ©ment Le Roy, de Wavestone. Sans compter le britannique RES, le portugais EDPR ou le canadien Boralex. « S’ils jouent un rĂŽle important sur le pĂ©rimĂštre national, sur l’échiquier europĂ©en voire mondial, nos champions français se retrouvent plutĂŽt dans le peloton, alors que plusieurs groupes Ă©nergĂ©tiques ont misĂ© tĂŽt et de maniĂšre importante sur les Ă©nergies renouvelables, comme l’italien Enel, l’espagnol Iberdrola ou le portugais EDP », poursuit cet expert. Il reste donc aux entreprises françaises Ă  ne pas relĂącher leur effort pour ne pas se laisser dĂ©finitivement distancer.

Le Figaro - mardi 10 décembre 2019

Voitures électriques: de nouveaux modÚles bradés

PubliĂ© le 11.03.2020 Ă  15h56 ‱ Mis Ă  jour le 11.03.2020 Ă  15h56
Électriques ou hybrides, de nouveaux modĂšles de vĂ©hicules sont bradĂ©s par plusieurs fabricants qui souhaitent ainsi Ă©viter de lourdes amendes s’ils dĂ©rogent aux nouvelles normes environnementales en matiĂšre de CO2.

Les voitures plus respectueuses de l’environnement n’échappent pas aux
« soldes » mises en place par plusieurs constructeurs. Le magazine Challenges liste plusieurs modĂšles bradĂ©s. Les acquĂ©reurs d’une Nissan Leaf profitent actuellement d’une rĂ©duction de 4 000 euros. Pour ceux de l’Opel Corsa-e, le rabais est de 2 500 euros. Dans le cas d’une BMW i3 il atteint 6 000 euros.
Coup de comm’ ou Ă©lan de gĂ©nĂ©rositĂ©. Ni l’un ni l’autre. Les constructeurs automobiles n’ont d’autre choix que de se plier aux nouvelles normes environnementales europĂ©ennes. Plus exigeantes, elles imposent aux vĂ©hicules vendus en 2020 de ne pas dĂ©passer un niveau moyen de 95 gammes de CO2 par kilomĂštre.

Vendre un maximum de voitures «propres»

Le meilleur moyen d’atteindre cet objectif global est donc de vendre un maximum de voitures Ă©lectriques, afin de faire baisser la moyenne des Ă©missions. Dans la mĂȘme optique, la vente de vĂ©hicules hybrides est encouragĂ©e Ă  grand renfort de promotions.
Si ces rabais vont rĂ©duire les marges des constructeurs, elles leur permettront surtout d’éviter les lourdes amendes prĂ©vues en cas de non-respect des exigences environnementales. En 2019, un accord entre Tesla et le groupe Fiat-Chrysler avait permis Ă  ce dernier d’échapper Ă  une amende de quelque deux milliards d’euros.

Merci encore Sun 7 pour cet exposé de qualité.
J’ai bien prĂ©vu le fonds Energies renouvelables de Palatine dans mon prochain arbitrage. Merci.

Je suis toujours avec grand intĂ©rĂȘt les posts de SUN7.

J’avais dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  investir en deux temps le 17 mars et le 23 mars sur les fonds suivants :

Sur Linxea avenir : BGF world energie, Lyxor msci world energy, JPM Global natural ressources, BNP Paribas Russia, Pictet clean energy.
Sur Puissance avenir : Lyxor oil gas 600, BNP Paribas energie, H2O multibonds, HSBC Brazil.

Seul HSBC Brazil n’a pas performĂ©.

Je ne sais pas si c’est le bon timing car comme l’a dit Sun7 la Russie et l’énergie ont beaucoup monté Je fais un nouvel arbitrage ce jour sur linxea avenir depuis le fonds euro en intĂ©grant les fonds suivants :

Lyxor Oil gas 600, DWS Russia, Palatine planete A, Lyxor privex, Fidelity global financial

J’ai gardĂ© encore des liquiditĂ©s pour revenir dessus plus tard si jamais cela baisse.

Les énergies renouvelables ont dépassé les énergies fossiles en Europe

La baisse de la demande et la mĂ©tĂ©o ont favorisĂ© la production d’électricitĂ© verte au premier semestre.
VALÉRIE COLLET

il faudrait doubler, voire tripler, les projets solaires et Ă©oliens au cours de la dĂ©cennie pour tenir les objectifs de rĂ©duction de 55 % des Ă©missions de C02 d’ici Ă  2030.

Pierre Brumder/tobago77/stock.adobe.com

ÉNERGIE C’est une premiĂšre dans l’histoire de la production d’énergie en Europe : au cours du premier semestre de l’annĂ©e, la production d’électricitĂ© renouvelable (Ă©olien, solaire, hydro, bioĂ©nergies) a dĂ©passĂ© celle issue de combustibles fossiles (charbon, gaz) selon Ember, le think tank dĂ©diĂ© Ă  l’accĂ©lĂ©ration de la transition Ă©nergĂ©tique. Les Ă©nergies « propres » ont ainsi produit 40 % de l’électricitĂ© des 27 membres de l’Union europĂ©enne, tandis que les fossiles en ont gĂ©nĂ©rĂ© 34 %.

Plusieurs facteurs expliquent ce basculement. D’abord, le Vieux continent compte un plus grand nombre d’installations Ă©oliennes et solaires. Et par ailleurs, un temps doux et venteux au dĂ©but de l’annĂ©e a favorisĂ© leur utilisation Ă  plein. Ainsi les Ă©nergies solaire et Ă©olienne ont enregistrĂ© un record, assurant 21 % de la production totale d’électricitĂ© en Europe et une part plus importante encore au Danemark (64 %), en Irlande (49 %) et en Allemagne (42 %). De son cĂŽtĂ©, la production hydroĂ©lectrique a reprĂ©sentĂ© 13 % de l’électricitĂ© en Europe, et les bioĂ©nergies 6 %.

Pendant cette pĂ©riode, la production Ă©lectrique d’origine fossile a chutĂ© de 18 % du fait de la baisse de la demande, notamment venant des entreprises, pendant la crise du Covid-19. « L’élimination progressive du charbon en Europe s’accĂ©lĂšre », observent les analystes d’Ember. La production issue de cette Ă©nergie a chutĂ© de 32 % au premier semestre et sa part de marchĂ© a diminuĂ© de moitiĂ© depuis 2016. Quelques pays voient nĂ©anmoins leur part grimper dans ce domaine : la RĂ©publique TchĂšque, cinquiĂšme producteur en 2015 est devenu le troisiĂšme en Europe et la Bulgarie, septiĂšme en 2015 est devenue le quatriĂšme. Par ailleurs, la Pologne produit dĂ©sormais plus d’énergie issue de centrales Ă  charbon que l’Allemagne. NĂ©anmoins, ce pays a toutefois amorcĂ© sa transition Ă©nergĂ©tique en progressant dans le solaire, l’éolien offshore


La production issue du gaz a, elle, diminuĂ© de 6 % au premier semestre, avec des chutes importantes en Espagne (- 20 %) et en Italie (- 16 %). Ember estime plus largement que l’annĂ©e 2019 pourrait dĂ©sormais apparaĂźtre comme l’annĂ©e du pic de la production de gaz dans le secteur de l’énergie.

Pendant cette pĂ©riode, « la France Ă©tait dans son monde nuclĂ©aire », rĂ©sume Ember. La production d’énergie nuclĂ©aire a diminuĂ© une fois et demie plus que la demande d’électricitĂ©. Mais cette baisse a Ă©tĂ© compensĂ©e par davantage de production d’énergie Ă©olienne et hydraulique.

ConsĂ©quence de cette bascule, les Ă©missions de C02 du secteur de l’énergie ont diminuĂ© de 23 % Ă  l’échelle des 27 pays de l’Union.

Les projets solaires et éoliens retardés
Mais la crise du Covid ne se rĂ©sume pas Ă  un effet d’aubaine en faveur des Ă©nergies renouvelables. Elle va aussi ralentir la mise en place de nouvelles installations solaires et Ă©oliennes, les chantiers ayant pris du retard. Les prĂ©visions de nouveaux champs d’éoliennes seront revues Ă  la baisse de 30 % environ, selon le think tank. Pourtant, il faudrait doubler, voire tripler, les projets solaires et Ă©oliens au cours de la dĂ©cennie pour tenir les objectifs de rĂ©duction de 55 % des Ă©missions d’ici Ă  2030.

Conclusion de l’étude, la transition Ă©nergĂ©tique en Europe avance plus vite que beaucoup l’imaginaient. Les rĂ©seaux et les fournisseurs « ont montrĂ© leur rĂ©silience, se fĂ©licitent les analystes du think tank. Il est temps pour tous les pays d’intensifier leurs ­efforts pour diminuer les Ă©missions du secteur de l’énergie au cours de la prochaine dĂ©cennie et d’achever la transition en faveur de l’énergie propre ».

Le Figaro - jeudi 23 juillet 2020

Un caillou dans la chaussure


Merci GILLES pour cette démonstration;
Cela correspond exactement Ă  ce que j’avais, bien entendu d’une maniĂšre bien moins didactique, dĂ©duit de mes rĂ©flexions.
Ma conclusion est cependant beaucoup moins optimiste;
L’humanitĂ© n’a absolument pas la capacitĂ© de se remettre en cause. L’expansion est sa seule logique.
Elle trouvera des faux-semblant, des boucs émissaires plutÎt que se contraindre.
Donc, 
Il n’y aura pas de salut


Je suis Ă©tonnĂ© qu’aucune startup ne bosse sur un vĂ©hicule hippomobile urbain ? Ne consomme pas d’électricitĂ© et produirait localement l’engrais des jardiniĂšres urbaines et parfumerai les villes.

Le pĂ©dalage assistĂ©: voila une idĂ©e quelle est bonne pour nos hommes politiques, ils ont de l’expĂ©rience!
Et puis pour les dĂ©placements en province, ça les occuperait


bonjour

Ceci me parait plus objectif.
https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/EzPublish/rapport_thematique_politique_developpement_energies_renouvelables.pdf

(rapport de la cour des comptes).

Les Ă©nergies renouvelables ne tiennent que grĂące Ă  une masse d’argent public. Tout ça n’est pas Ă©ternel.
D’autant que certains spĂ©cialistes mettent en avant la non concordance des pĂ©riodes de production avec les pĂ©riodes de besoins

Donc tout ça n’est qu’une belle bulle


pas le choix.
il faudra un mix de nucléaire et de renouvelable

Excellent, merci pour ce partage.

@Sun7, tu devrais regarder jusqu’au bout.

l’Ademe estime qu’avec les techniques actuelles la France pourrait se doter de 33 000 MW d’éolien offshore (soit la moitiĂ© de la puissance du parc nuclĂ©aire). Et ce, en occupant une emprise de moins de 2 % de l’espace maritime

Des pales de plus de 100 mĂštres de long, le tout flottant Ă  bonne distance des cĂŽtes pour capter les vents du large. Les Ă©oliennes flottantes font figure de nouvelle frontiĂšre des Ă©nergies renouvelables, avec leurs turbines de 15 mĂ©gawatts (MW), cinq fois plus puissantes que leurs consƓurs Ă  terre

Un complĂ©ment Ă  tes propos Sun remarquables , comme d’habitude .

Voici ce que je racontais il y a dix ans en me limitant au Mais
Voici ce qu’on peut rĂ©cupĂ©rer
1 hectare de mais produit 4 tonnes d’amidon
52 % de l’amidon a une utilisation non alimentaire
Voici ce qu’on peut faire à partir du mais
Rafle : furfural
Tige : pĂąte Ă  papier

Grain

Amidon : textile , colle papeterie
Germes : savonnerie
Gluten : textile , disques
Son : détergents.

Au sujet des trois gĂ©nĂ©rations de biocarburant ( j’ai retrouvĂ© une slide)
Ceux de la troisiĂšme gĂ©nĂ©ration qui regroupe les produits Ă  base d’algues et qui prĂ©sentent l’avantage de ne plus rentrer en concurrence avec les produits alimentaires .
La valorisation se fait Ă  partir d’une filiĂšre « huile » et donc par la production de biodiester .

Enfin , dans certaines universités on peut de procurer la revue intitulée : le journal des énergies renouvelables avec ces hors-série

Merci Sun7 de partager ton savoir
Tu es notre spécialiste attitré sur la question
Personnellement je n’y connais rien
Et cherche Ă  creuser selon le principe de Buffet
Comprendre dans quoi on investit

Toute l’industrie semble vouloir se mettre au vert
Ce qui intuitivement parait suspect
Tant le marketing ressemble Ă  celui des lessiviers
Nous avons vu des arnaques comme Nikola
Et la valorisation de Tesla laisse songeur

Alors comment distinguer le bon grain de l’ivraie ?
Cela suppose des compétences dont je ne dispose pas
Et me fait douter de l’efficience de technologies
Qu’on nous prĂ©sente comme la solution
Aussi je te remercie d’avoir fait l’effort de trier

Ton papier constitue une mine d’information
Tant dans l’analyse que dans le dĂ©tail
Merci pour ton travail