Energies renouvelables et environnement

GU 25.11.09 L’Inde plus ambitieuse que la Chine dans le solaire

A moins de deux semaines de l’ouverture de la confĂ©rence de Copenhague, l’Inde confirme ses grandes ambitions dans le solaire, plus importantes encore que celles de la Chine. Elle veut ĂȘtre leader mondial et vise 200 MW de capacitĂ©s installĂ©es en 2012 contre 6 MW actuellement, selon un plan prĂ©parĂ© depuis plusieurs mois et adoptĂ© il y a quelques jours par le gouvernement. Et au-delĂ , elle fixe un objectif de 20 GW en 2022 et de 100 GW en 2030.

Un investissement de 922 millions de dollars a Ă©tĂ© validĂ© pour financer la premiĂšre phase du plan. Au total, ce sont quelque 20 milliards de dollars qui pourraient ĂȘtre investis.

Ces fonds serviront Ă  accorder des subventions pour l’installation de centrales solaires et des allĂ©gements fiscaux pour les producteurs d’énergie qui achĂšteront l’électricitĂ© d’origine solaire. Ils devraient aussi bĂ©nĂ©ficier aux producteurs nationaux de panneaux. Des budgets sont Ă©galement prĂ©vus pour la recherche.

A moins de deux semaines de la confĂ©rence de Copenhague, l’Inde montrer ainsi sa bonne volontĂ© Ă  s’engager dans la voie de l’énergie propre. Elle pourrait demander un coup de pouce financier aux pays dĂ©veloppĂ©s pour mener Ă  bien son ambitieux programme.

Les projets de l’Inde sont encore plus grands que ceux de la Chine qui vise « au moins » 10 GW de capacitĂ©s installĂ©es en 2020, contre 100 MW fin 2008. PĂ©kin a ainsi annoncĂ© rĂ©cemment des subventions massives pour accĂ©lĂ©rer le dĂ©veloppement du solaire : 1,5 milliard de dollars seront allouĂ©s Ă  quelque 300 installations solaires reprĂ©sentant 642 MW de puissance installĂ©e. Des projets qui devraient ĂȘtre opĂ©rationnels d’ici deux Ă  trois ans.

27.11.09 Plusieurs thĂšmes d’investissement ont les prĂ©fĂ©rences d’Allianz GI :

L’exposition aux marchĂ©s Ă©mergents, l’environnement et les technologies vertes, et enfin la recherche de rendement via des stratĂ©gies « value Â». Pour ce qui concerne les marchĂ©s Ă©mergents, le thĂšme des infrastructures et celui liĂ© Ă  la consommation, aux mĂ©dias et aux loisirs, figurent parmi les plus porteurs. Au passage, Allianz note que "la proportion des profits en provenance des pays emergents pour les entreprises europĂ©ennes est dĂ©sormais plus importante que celle rĂ©alisĂ©e aux Etats-Unis. A noter que les valeurs du secteur du luxe, des spiritueux, du rail, de l’énergie, des services financiers permettent Ă©galement de s’exposer aux marchĂ©s Ă©mergents.

Concernant le thĂšme de l’environnement, Allianz GI relĂšve que les investissements « verts Â» occupent une place importante dans les plans de relance des Etats dont il convient de profiter. A titre d’illustration, le total des « green tech Â» reprĂ©sente 15 % de l’ensemble, les sommes alouĂ©es via le plan chinois Ă©tant Ă©levĂ©es (221 milliards de dollars sur 267 en Asie-Pacifique).

30.11.09 Les gestionnaires de fonds tels BGF New Energy ou JGF Climate Change croient de plus en plus au potentiel de l’Asie et de la Chine en particulier et investissent dans cette direction.

(il Ă©tait temps, c’est ce que l’on signalait dĂ©jĂ  il y a prĂšs de 2 ans sur l’ancien forum ! :o)

En anglais :

Bonjour Alexis !

J’ai trĂšs peu de temps cette annĂ©e pour intervenir sur le forum mais je pense comme Schroders que les Ă©nergies renouvelables vont ĂȘtre bientĂŽt achetables de maniĂšre plus prononcĂ©e, il faut surveiller le cours du pĂ©trole entre autres mais il y a beaucoup de paramĂštres qui repassent au vert sur ce thĂšme et qui ne sont comme d’habitude sur les secteurs technologiques pas immĂ©diatement pris en compte par les fonds gĂ©nĂ©ralistes qui Ă  un moment donnĂ© interviendront de maniĂšre dĂ©calĂ©e, donc mieux vaut se placer avant. Il faut toutefois faire attention au contexte gĂ©nĂ©ral Ă  venir et pour ce secteur en particulier hausse des matiĂšres premiĂšres et des taux.

04.10 La dynamique des énergies renouvelables est partie. Elle ne sera que temporairement ralentie. Le marché des énergies renouvelables reste porteur.

En 2009, le solaire en tĂȘte

Le secteur qui a affichĂ© les plus belles hausses est Ă  l’évidence le solaire avec les performances de trois allemandes : SOLAR MILLENIUM +201,68%, SMA SOLARTECH +169,37% et ROTH&RAU +96,59%. L’installateur français FACILASOL s’est Ă©galement distinguĂ© avec une progression de + 155%.

Une grosse ombre au tableau concernant Q-CELLS, le fabricant allemand de cellules solaires qui a subi en 2009 une dure correction aprĂšs des annĂ©es de croissance exponentielle. Une situation qui l’a amenĂ© Ă  entreprendre une restructuration dont les coĂ»ts pĂšseront encore sur les comptes du dĂ©but 2010.

Sur la deuxiĂšme pĂ©riode, les « greentech » font sĂ©rieusement grise mine ! Le secteur solaire, qui avait enregistrĂ© les plus fortes hausses, est celui qui affiche les baisses les plus importantes. PremiĂšre explication, les prises de bĂ©nĂ©fices auxquelles il fallait s’attendre : -53% pour SOLAR MILLENIUM, -23% pour ROTH & RAU.

Outre ce premier Ă©lĂ©ment d’explication, alors qu’il subissait de plein fouet la crise, le secteur solaire a dĂ» rĂ©gler d’autres difficultĂ©s spĂ©cifiques : la crise de surproduction de panneaux solaires Ă  l’origine de la chute des prix des cellules photovoltaĂŻques et l’écrasement des marges des Ă©quipementiers ou encore le dĂ©veloppement d’une concurrence de plus en plus aigue, asiatique et amĂ©ricaine.

Sans compter l’incertitude, aujourd’hui levĂ©e, qui a pesĂ© sur les nouveaux tarifs (Allemagne, France
), et les doutes quant aux objectifs de croissance des capacitĂ©s installĂ©es et du manque de visibilitĂ© sur le calendrier d’approbation de l’Energy Bill aux Etats-Unis.

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03.10 Newsletter BGF New Energy, pas assez dĂ©taillĂ©e c’est dommage mais plutĂŽt objective de la part d’un gĂ©rant :o)

http://www.blackrock.fr/content/groups/frenchsite/documents/literature/1111106663.pdf

Mon avis si çà peut complĂ©ter un peu : dĂšs lors que le prix des Ă©nergies fossiles reprennent leur tendance haussiĂšre (environ 100$ attendus gĂ©nĂ©ralement pour le pĂ©trole en 2011), les Ă©nergies alternatives, mais surtout renouvelables (+ 160% de croissance prĂ©vue par exemple pour l’éolien d’ici 2014 tout comme + 94% pour le solaire PV cette annĂ©e, etc) devraient comme auparavant surperformer le MSCI World Energy, qui lui mĂȘme dans ce cas surperforme le MSCI World.

La prochaine entrĂ©e sur le marchĂ© d’Enel Green Power (Ă  priori juin ou + selon les conditions de marchĂ©) et qui est l’une des plus importantes depuis quelques temps (environ 5,5 milliards de $), devrait donner des indications significatives sur d’autres opĂ©rations en attente dans ce secteur globalement assez rĂ©cent oĂč les besoins en capitaux sont donc encore souvent Ă©levĂ©s et qui s’est comme beaucoup rĂ©cemment serrĂ© un peu la ceinture = appel d’air bienvenu et sans doute bien vu par le marchĂ© compte tenu des perspectives toujours bonnes (en plus le prix du C02 est anormalement bas çà ne va pas durer, d’ailleurs la hausse a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© de + 15% ce mois, un paramĂštre de plus favorable aux cleantech).

Site d’Enel GP :

Il y a lieu d’ajouter que le capital-risque - qui est un indicateur avancĂ© - a encore battu des records dans ce secteur avec pour les pays la part principale aux Etats-Unis et en particulier la Californie qui tient Ă  valoriser son savoir faire. Parmi les thĂšmes c’est toutefois celui des vĂ©hicules Ă©lectriques qui par exemple au 1er trimestre 2010 est passĂ© provisoirement et exceptionnellement un peu devant le solaire (grĂące au rĂ©seau Better Place et Ă  Fisker), mais ces 2 thĂšmes sont par ailleurs pour partie liĂ©s sur diffĂ©rents points.

Concernant les prix de l’énergie, la driving season estivale chinoise tend dĂ©sormais Ă  surpasser l’amĂ©ricaine Ă  laquelle elle s’ajoute et devrait battre des records cette annĂ©e (vente de vĂ©hicules en Chine, relance de la consommation intĂ©rieure, hausse de niveaux de vies etc).

CĂ  sera peut ĂȘtre une occasion pour Alexis de se placer ou de se renforcer avant de partir en vacances d’étĂ© :o) c’est une « fenĂȘtre de tir Â» parmi d’autres et en tous cas un facteur de soutien sur un thĂšme de croissance qui est plutĂŽt « value Â» en ce moment, sous rĂ©serve toutefois du niveau gĂ©nĂ©ral des marchĂ©s, du prix du pĂ©trole et du contexte Ă  ce moment lĂ  quand mĂȘme !

Quant Ă  la mĂ©tĂ©o pour la pĂ©riode Ă©tĂ©-automne Ă  venir et Ă©ventuelles canicules ou puissance et nombre des tornades qui influent Ă©galement sur le prix de certaines Ă©nergies et donc cours des valeurs, nos amis sont encore sur la brĂȘche avec Eyjafjöll qui peut ĂȘtre nettement moins rigolo qu’on ne le prĂ©cise assez pour les avions quand le problĂšme survient, alors je n’ai pas de prĂ©visions long terme cette fois comme habituellement donc tant pis pour les dĂ©lits d’initiĂ©s de source Viking !

22.04.10 Les introduction en bourse de sociétés cleantech se multiplient un peu partout dans le monde

De la Chine aux Etats-Unis, la tendance est générale. Soutenues par des perspectives de croissance importantes, les entreprises des cleantech attirent les actionnaires. Elles sont donc nombreuses à vouloir profiter de la reprise boursiÚre pour financer une activité gourmande en capitaux.

Aux Etats-Unis, Amarys, une sociĂ©tĂ© californienne spĂ©cialisĂ©e dans les biocarburants Ă  base de micro-organismes cellulosiques, compte lever pas moins de 100 millions de dollars Ă  Wall Street. Une belle ambition pour une entreprise qui rĂ©alise 64 millions de dollars de chiffre d’affaires mais reste largement dĂ©ficitaire.

Plusieurs autres sociétés américaines sont dans les starting-blocks pour se faire coter, dont Tesla, un fabricant de voitures électriques, Solyndra, un spécialiste des tubes solaires, ou encore Silver Springs Networks, qui produit des compteurs intelligents.

En Europe, le mouvement se rĂ©pand aussi : le producteur d’énergie Ă©olienne suĂ©dois Arise Windpower est entrĂ© Ă  la Bourse de Stockholm en mars, oĂč il a levĂ© 56 millions d’euros.

La sociĂ©tĂ© britannique basĂ©e dans l’üle de Jersey, Engyco, qui dĂ©veloppe des projets solaires a pour objectif de lever pas moins d’1 milliard d’euros sur le London Stock Exchange dans quelques semaines. Un bon moyen de mesurer jusqu’oĂč va l’attirance des investisseurs pour les cleantech


Deinove, une sociĂ©tĂ© fondĂ©e en 2006 et spĂ©cialisĂ©e dans les biocarburants et la chimie verte, vient de lever un peu plus de 12 millions d’euros auprĂšs des institutionnels et du public lors de son introduction sur Alternext.

La jeune sociĂ©tĂ©, jusque lĂ  financĂ©e par le fonds Truffle Capital, a mis prĂšs de 30% de son capital en Bourse. Elle a atteint son objectif puisqu’elle avait annoncĂ© viser entre 10 et 15 millions d’euros lors de cette opĂ©ration.

De quoi donner des idĂ©es Ă  d’autres ? Une autre jeune entreprise des cleantech, la sociĂ©tĂ© Windeo, spĂ©cialisĂ©e dans le petit Ă©olien, a dĂ©jĂ  indiquĂ© vouloir se faire coter Ă  Paris, mais l’opĂ©ration est en attente.

Bonjour Falagar,

Ces fonds ont effectivement des diversifications diffĂ©rentes avec plus ou moins de flexibilitĂ© selon les opportunitĂ©s. Ainsi le DWS New Resources est en mesure d’accroĂźtre sa part aux Ă©nergies renouvelables si nĂ©cessaire, ce qui explique ses bonnes performances antĂ©rieures et par la suite sa bonne rĂ©sistance par modification de ses % A prĂ©sent il a une part importante axĂ©e sur les matiĂšres premiĂšre/engrais qui est pour l’instant assez bien valorisĂ©e et qu’il a rĂ©cemment un peu modifiĂ©e en faveur du recyclage. Il reste tout Ă  fait valable mais çà n’empĂȘche pas de complĂ©ter avec BGF New Energy plus particuliĂšrement axĂ© Ă©nergies alternatives (plus volatil aussi) mais qui me semble mieux qu’Energies renouvelables de Palatine. Les valorisations du secteur Ă©tant assez modestes actuellement.

Le fonds Axa Junior Energy n’a qu’une faible part d’énergies renouvelables/alternatives et il est donc surtout intĂ©ressant pour jouer les petites et moyennes valeurs des Ă©nergies fossiles avec effet de levier sur le pĂ©trole notamment. Mais au delĂ  d’un certain seuil le prix du pĂ©trole impacte l’économie alors que les Ă©nergies renouvelables bĂ©nĂ©ficiant de ressources pour la plupart gratuites et Ă©tant capables par innovations de baisser les coĂ»ts dĂ©jĂ  souvent compĂ©titifs, il est facile de voir qui a des ressources pour beaucoup illimitĂ©es et a le plus d’avenir mĂȘme s’il est Ă  ses dĂ©buts


Il faut bien distinguer le comportement de chaque thĂšme qui a chacun son intĂ©rĂȘt et est diffĂ©rent selon le contexte du moment.

Le secteur Ă©nergies renouvelables profite d’un pĂ©trole durablement cher, est gĂȘnĂ© par la hausse des matiĂšres premiĂšres et des taux (les entreprises sont souvent rĂ©centes et innovantes et ont encore besoin emprunter), mais ses perspectives moyen et long terme sont bonnes puisqu’il accroĂźt rĂ©guliĂšrement ses parts de marchĂ©s et ce pour quelques dĂ©cennies encore, produit de l’énergie Ă  partir de ressources pour beaucoup d’entre elles gratuites et qu’en termes d’innovations et de baisse des coĂ»ts il n’en est encore qu’à ses dĂ©buts alors que dans les Ă©nergies fossiles le problĂšme s’inverse.

Concernant le timing d’entrĂ©e sur les Ă©nergies renouvelables donc sur BGF New Energy il y a plusieurs paramĂštres dont :

  • le prix du pĂ©trole (actuellement un peu cher et malgrĂ© une surproduction passagĂšre il y a peu d’espoir que çà baisse beaucoup ce qui pouvait ĂȘtre le cas en mai/juin habituellement)

Concernant les prĂ©visions pour le pĂ©trole la driving season estivale amĂ©ricaine et surtout chinoise s’annonce de niveau Ă©levĂ©e.

Mais surtout les prĂ©visions mĂ©tĂ©o concernant les ouragans sont tombĂ©es et on va ĂȘtre dans les annĂ©es Ă  haut niveau d’ouragans, la saison s’étale de juin Ă  novembre donc c’est un problĂšme (un de plus !) pour les avions mais aussi pour les plateformes du Golfe du Mexique en particulier donc le cours du pĂ©trole notamment.

  • le cours des valeurs d’énergies renouvelables est actuellement assez modeste par rapport aux perspectives donc opportunitĂ© d’achat mais progressif en profitant des replis.

En effet il y a aussi beaucoup d’augmentations de capital prĂ©vues ou en cours donc çà ne favorise pas une envolĂ©e des cours dans l’immĂ©diat et il y a des hausses de taux en vue Ă  partir de fin 2010 et en 2011. De plus les politiques de soutien au secteur sont globalement un peu moins offensives compte tenu de l’endettement de plusieurs pays.

Il y a par contre beaucoup d’innovations et d’opportunitĂ©s donc il est possible de commencer Ă  acheter ou Ă  renforcer sans prĂ©cipitations et accroĂźtre les positions plus tard dans l’annĂ©e et en 2011 en fonction du comportement des marchĂ©s. Personnellement je recommence Ă  renforcer ce secteur et selon les opportunitĂ©s du moment sur BGF New Energy, DWS New Resources, Asian Green Tigers (pas encore chez Linxea), Axa Junior Energy etc.

Pour rappel la rĂ©fĂ©rence en matiĂšre de fonds Ă©nergies alternatives/renouvelables est comme pour l’eau un fonds Sam : Sam Smart New Energy (disponible mais plus cher par exemple sur Bourso), çà peut aider Ă  comparer sur graphiques.

Bonjour Falagar,

DĂ©solĂ© de ne rĂ©pondre que seulement maintenant mais je passe peu et n’ai guĂšre le temps en fait et je trouve le forum dĂ©sormais trop « touffu Â» et un peu « fouilli Â» donc contre productif. C’est malheureusement assez rapidement le problĂšme de beaucoup de forums et gĂ©rer ne doit pas demander trop de temps et ĂȘtre efficace, il y a beaucoup d’outils assez simples et fiables ou mĂȘme si nĂ©cessaire sophistiquĂ©s pour çà sans avoir Ă  perdre trop de temps sinon quel intĂ©rĂȘt. Il y a heureusement une vie Ă  cĂŽtĂ© des marchĂ©s financiers !

Les fonds Axa Junior Energy et BGF New Energy sont plus que DWS New Resources, qui est plus diversifiĂ© et flexible, Ă  privilĂ©gier pour jouer les variations du prix du pĂ©trole notamment. Avec Axa Junior Energy plus que le second pour les variations d’assez court terme.

Donc la solution que tu indiques peut en effet convenir. DWS New Resources Ă©vite de ne dĂ©pendre que d’un seul thĂšme « Ă©nergie Â» c’est Ă  voir aussi si tu souhaites un peu plus simple Ă  gĂ©rer pour toi.

Actuellement la tendance moyenne haussiĂšre du pĂ©trole n’est pas encore trĂšs Ă©levĂ©e Ă  horizon d’un an, sauf imprĂ©vus, mais assez positive quand mĂȘme.

Le repli rĂ©cent Ă©tait une occasion d’achat et si le marchĂ© recule un peu de nouveau ce sera encore une bonne occasion. A partir de mi-juin il y a des facteurs de soutien du pĂ©trole jusque vers octobre, donc çà peut ĂȘtre plus difficile d’acheter, c’est alors selon l’évolution globale des marchĂ©s et non plus principalement le facteur pĂ©trole.

Je rappelle que les ouragans sur le Golfe du Mexique notamment sont annoncĂ©s plus forts qu’en moyenne cette annĂ©e.

Pour jouer le pĂ©trole entre autres je ne peux qu’insister Ă  souligner encore une fois la Russie et East Capital Russian SE, il a repris vite du plongeon rĂ©cent mais reste Ă  court terme achetable surtout s’il y a des petits replis (çà n’empĂȘchera toutefois pas d’autres plus grands !)

C’est entre autres de l’énergie pas chĂšre payĂ©e et il y a encore une anomalie sur ce marchĂ© tout comme d’autres. La zone d’achat actuelle c’est vers 1400 pour le RTS et celle un peu difficile Ă  franchir est vers 1650, il faut en profiter pour Ă©ventuellement acheter et vendre etc. Objectif Ă  viser proche de 2200.

Il est probable que la Russie comme d’autres mette en place une contrainte sur les investissements volatils qui sont retirĂ©s avant 3 ans, çà devrait donner un peu plus de « stabilitĂ© Â» et ne concerne que les gestions.

Si l’on ne souhaite pas ĂȘtre Ă  prĂšs de 100% Russie on peut opter pour un fonds Eastern Europe type Cominvest Eastern Europe ou Pictet Eastern voire East Capital Eastern entre autres, selon les contrats.

Pour info Ă©galement il y a beaucoup de pays souvent petits dont le potentiel est plus Ă©levĂ© encore et qui peuvent mĂȘme parfois donner des leçons aux plus grands (exemple l’Estonie qui rĂ©unit les critĂšres pour rentrer dans l’euro au 1er janvier prochain alors qu’elle Ă©tait trĂšs critiquĂ©e il n’y a pas si longtemps). Ils sont pour le moment encore souvent Ă  l’écart des grands flux mais avec un peu de patience ils finiront pour la plupart par se rattraper. En vrac çà concerne Nigeria, Lituanie, SlovĂ©nie, Bosnie, Serbie, Croatie, Slovaquie (on ne l’a pas appelĂ© pour rien « tigre des Tatras Â» avec ses taux de croissance dignes de la Chine :o) Finlande
 dans une un peu moindre mesure Pays Bas, Estonie, Egypte, Autriche, Roumanie
 Pas facile gĂ©nĂ©ralement de trouver les fonds qui les couvrent bien mais il y a East Capital Balkans, East Capital Convergence, (je dĂ©conseille plutĂŽt East Baltique si l’on ne suit pas d’assez prĂšs), DWS Africa, des fonds EMEA (type Fidelity qui couvre plus gĂ©nĂ©ralement Russie, Afrique du Sud, Europe Est et Centrale etc). Pour les zones d’investissements des fonds voir par exemple le sĂ©lecteur Boursorama.

VoilĂ  pour ne pas faire trop long quand mĂȘme !

L’énergie solaire pourrait fournir environ 22% des besoins mondiaux en Ă©lectricitĂ© d’ici 2050, Ă  condition que les gouvernements lui apportent son soutien dans les dix prochaines annĂ©es, dĂ©clare l’Agence internationale de l’énergie (AIE).

L’AIE est une agence autonome de l’OCDE (Organisation de coopĂ©ration et de dĂ©veloppement Ă©conomiques) chargĂ©e de faciliter la coordination des politiques Ă©nergĂ©tiques des pays membres. Lors d’une confĂ©rence organisĂ©e par le gouvernement espagnol Ă  Valence, l’AIE a rendu publiques les conclusions de deux Ă©tudes qu’elle a menĂ©es.

Elle prĂ©voit que le coĂ»t de l’électricitĂ© fournie par des panneaux photovoltaĂŻques (PV), qui captent la lumiĂšre du soleil, ne sera pas abaissĂ© au niveau de celui des Ă©nergies traditionnelles avant 2020.

La technologie de la concentration de l’énergie solaire (CSP), qui permet de faire fonctionner des centrales Ă©lectriques dans les rĂ©gions trĂšs ensoleillĂ©es, pourrait permettre d’atteindre cette paritĂ© d’ici 2020.

Les deux technologies peuvent produire 9.000 terawatt-heure d’électricitĂ© d’ici 2050, presque le quart de la demande mondiale, ce qui permettrait de rĂ©duire de prĂšs de six milliards de tonnes les Ă©missions de gaz carbonique.

L’AIE estime que le production d’énergie solaire sera de 37 TWh en 2010, en presque totalitĂ© provenant de panneaux photovoltaĂŻques. Peu de centrales CSP ont encore Ă©tĂ© construites jusqu’ici mais la situation Ă©volue.

L’Allemagne pourrait s’approvisionner en 2050 Ă  partir de 100% d’électricitĂ© de source renouvelable

Un approvisionnement Ă©lectrique exclusivement renouvelable d’ici 2050 Ă  des coĂ»ts compĂ©titifs est envisageable en Allemagne, avec une sĂ»retĂ© d’approvisionnement garantie Ă  toute heure de l’annĂ©e et une politique d’incitation des innovations durables. Les scĂ©narios s’appuient sur les estimations modĂšles du Centre allemand de recherche aĂ©rospatiale (DLR). Le modĂšle REMix compte parmi les meilleurs et plus exacts en Europe et travaille avec une rĂ©solution temporelle extrĂȘmement Ă©levĂ©e.

Un signe avant-coureur de tendance : les grands industriels investissent de plus en plus dans les énergies renouvelables

A cĂŽtĂ© de leurs dĂ©veloppements en interne, les grands industriels français entre autres n’hĂ©sitent plus Ă  prendre des participations dans de jeunes pousses spĂ©cialisĂ©es, et notamment aux Etats-Unis. Dernier en date : Alstom vient d’investir dans une start-up trĂšs en vue, BrightSource.

Le groupe français, via sa branche Alstom Power, investit 55 millions de dollars (45 M€) dans la sociĂ©tĂ© californienne. Un investissement rĂ©alisĂ© dans le cadre d’un 4e tour de financement pour BrightSource, qui collecte au total 150 millions de dollars (environ 122 M€), soit l’une des plus belles levĂ©es de fonds de l’annĂ©e aux Etats-Unis.

Depuis sa crĂ©ation en 2007, BrightSource a levĂ© plus de 300 millions de dollars auprĂšs d’investisseurs financiers et industriels, dont le gĂ©ant de l’internet Google.

BrightSource est spĂ©cialisĂ©e dans le thermo-solaire. L’entreprise a remportĂ© rĂ©cemment de trĂšs gros marchĂ©s : elle doit notamment installer 14 centrales solaires dans le sud-ouest des Etats-Unis d’ici 2016, soit 2.600 MW, pour honorer des contrats remportĂ©s auprĂšs deux grands producteurs d’électricitĂ© de Californie, PG&E et Southern California Edison.

MĂȘme stratĂ©gie pour Areva et Total

D’autres industriels français se sont rĂ©cemment positionnĂ©s sur le marchĂ© solaire via des investissements financiers pour acquĂ©rir des technologies et gagner du temps dans leur dĂ©veloppement. Le gĂ©ant du nuclĂ©aire Areva a ainsi achetĂ© une autre sociĂ©tĂ© californienne en fĂ©vrier dernier, Ausra, positionnĂ©e Ă©galement sur le thermo-solaire.

Le groupe nuclĂ©aire français, dĂ©jĂ  prĂ©sent dans d’autres Ă©nergies renouvelables (biomasse et Ă©olien offshore notamment) a de grandes ambitions sur ce marchĂ© oĂč il cherchait Ă  s’implanter depuis plusieurs mois. Il convoitait initialement l’entreprise israĂ©lienne Solel, une autre star du secteur, mais c’est son rival, l’allemand Siemens qui s’en est emparĂ© Ă  l’automne 2009.

Le pĂ©trolier Total a lui aussi mis un pied sur la marchĂ© solaire dĂšs 2008 en entrant au capital d’une sociĂ©tĂ© Ă©galement amĂ©ricaine, Konarka, dont il est devenu le premier actionnaire. La jeune pousse fabrique des films plastiques solaires en matiĂšres organiques capables de convertir la lumiĂšre en Ă©lectricitĂ© sur n’importe quel support (tĂ©lĂ©phones mobiles
).

Bonsoir Falagar,

Merci de ton post ! Je réponds rapidement en passant.

Pour la situation des énergies renouvelables, parmi les nombreux rapports sur le sujet (en anglais désolé), ci-dessous tu as les tableaux sur les pays qui investissent le plus, ceux qui produisent le plus de solaire, éolien etc :

En pratique pour juger complĂštement la situation d’un pays il faut intĂ©grer aussi d’autres paramĂštres comme par exemple le nombre, la qualitĂ© des brevets dĂ©posĂ©s annuellement, la capacitĂ© Ă  dĂ©velopper et commercialiser ces brevets et d’autres aspects encore. De plus comme pour tout secteur technologique il y a des « sauts technologiques Â» qui peuvent changer la donne. Donc en rĂ©sumĂ© comme pour tout secteur rĂ©cent il faut une volontĂ© politique, des fonds, une filiĂšre complĂšte de la formation aux applications de la recherche, une capacitĂ© Ă  valoriser etc. La Chine est effectivement bien placĂ©e de mĂȘme que d’autres pays asiatiques (Japon, CorĂ©e, Inde etc), les amĂ©ricains ont encore plusieurs cartes Ă  jouer de mĂȘme que les europĂ©ens entre autres.

Il faut faire attention au contexte général des marchés, il devrait y avoir globalement encore une tendance un peu à la baisse puis un rebond puis baisse à nouveau. Il y a notamment des indicateurs bears/bulls qui signalent que la situation devrait aprÚs sans doute un peu plus de baisse virer vers un certain rebond, sauf mauvaises nouvelles.

Le pĂ©trole lui a sans doute 2 facteurs de soutien court terme : driving seasons et ouragans plus nombreux et plus forts en particulier sur le Golfe du Mexique (ils n’ont pas de chance). Ensuite il y a plutĂŽt des facteurs Ă  la baisse avant l’hiver prochain et puis reprise de la tendance Ă  une hausse assez modĂ©rĂ©e. En d’autres termes on a des occasions d’achat quand on tend vers les 65$ ou moins et l’an prochain on peut atteindre 90$ voire parfois plus selon les pĂ©riodes et sauf cas un peu plus extrĂȘmes. Je constate que plusieurs gĂ©rants font d’ailleurs ce trading sur les valeurs de pĂ©trole entre autres.

Le fait Ă©galement qu’il y ait moratoire sur les forages dans le Golfe du Mexique est aussi en principe un facteur de soutien court terme du pĂ©trole.

Pour les Ă©nergies renouvelables ont est selon les diffĂ©rents indices quasiment dans les plus bas. Pour autant la hausse va ĂȘtre dans un premier temps assez lente mais on peut ĂȘtre a peu prĂšs sĂ»rs que çà va monter Ă  moyen terme si on est patient, beaucoup de choses l’indiquent, c’est dĂ©jĂ  çà :o)

Il faut Ă©galement observer que dans les pĂ©riodes assez durablement difficiles comme actuellement, les valeurs d’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique peuvent ĂȘtre plus favorisĂ©es et les entreprises de ce secteur ont plus de marges dans cette situation, ce qui peut justifier plus globalement des fonds cleantechs aussi.

Pour ne pas oublier, autre chose qui devrait monter mais à acheter sur repli (le plus possible vers 1060 ou plus bas) c’est l’or.

Concernant la Russie et East Capital Russian, sauf erreur Edouard est encore en Russie dans les fonds Commodities et Carmignac Emerging Discovery entre autres par exemple il me semble.

Sur la Russie je pense qu’aprĂšs la hausse depuis novembre 2008 jusqu’à janvier et avril 2010 assez en ligne droite, on est entrĂ© dans une zone plus volatile et il y a un lien entre les matiĂšres premiĂšres et l’activitĂ© en Chine entre autres. On est donc lĂ  aussi plus en pĂ©riode de trading et quand l’indice russe descend en dessous de 1400 et surtout plus bas çà devient achetable et au dessus de 1600/1750 il faut en principe allĂ©ger. Les objectifs moyen long terme sont toujours autour de 2200 mais çà va ĂȘtre un peu long.

Les fonds Moyen-Orient ne sont pas trĂšs valorisĂ©s (il y a entre autres un JPM Middle East chez Linxea) mais c’est trĂšs volatil. Un des petits intĂ©rĂȘts car c’est trĂšs partiel est de jouer le prix du gaz qui est Ă  la hausse et part de bas.

Energy Markets MarchĂ©s de l’énergie Commodities’ Biggest Collapse Since Lehman Fell Signals Bear Market Ahead Plus grand effondrement des produits de base depuis l’effondrement de Lehman signaux de Bear Market Ă  venir
By Millie Munshi and Elizabeth Campbell - Jun 1, 2010 Par Millie Munshi et Elizabeth Campbell

Commodities extended their decline led by a 2.9 percent slump in crude oil and 3.8 percent drop in copper.
Produits de base ont prolongé leur déclin dirigé par un effondrement de 2,9 pour cent dans le pétrole brut et de 3,8 pour cent en baisse de cuivre.

The biggest slump in commodities since Lehman Brothers Holdings Inc. collapsed is undermining Wall Street forecasts for accelerating economic growth and higher prices for everything from copper to crude oil.
La plus grande chute des matiĂšres premiĂšres depuis l’effondrement de Lehman Brothers Holdings Inc effondrĂ© sape les prĂ©visisons de Wall Street concernant l’ accĂ©lĂ©ration de la croissance Ă©conomique et l’augmentation des prix du cuivre et du pĂ©trole brut.

The Journal of Commerce Industrial Price Commodity Smoothed Price Index that tracks the growth rate of steel, cattle hides, tallow and burlap plunged 57 percent in May, two years after a decline that foreshadowed the worst recession in half a century. The index of 18 industrial materials declined the most since October 2008 as Europe’s debt crisis widened and China took steps to curb growth.
Le Journal of Commerce des prix des produits de base lissĂ©e Prix Index qui permet de suivre le taux de croissance de l’acier, les cuirs de bovins, de suif et de toile de jute ont plongĂ© de 57 pour cent en mai, deux ans aprĂšs un dĂ©clin qui laissait prĂ©sager la pire rĂ©cession depuis un demi-siĂšcle. L’indice des 18 mĂ©taux industriels ont le plus diminuĂ© depuis Octobre 2008 en tant que crise de la dette de l’Europe Ă©largie et de la Chine a pris des mesures pour freiner la croissance.

Commodities extended their slump today, led by declines in industrial metals and energy prices, as separate reports showed manufacturing slowdowns last month in China, Europe and the US
Les matiĂšres premiĂšres ont Ă©tendu leur chute aujourd’hui, conduit par la baisse des mĂ©taux industriels et les prix de l’énergie, comme des rapports distincts ont montrĂ© un ralentissement de fabrication le mois dernier en Chine, en Europe et aux États-Unis

“As risk-taking falls, expected growth is reduced,” said Colin P. Fenton , the chief executive officer of Curium Capital Advisors LLC in Boston, who was a commodity analyst at Goldman Sachs Group Inc. and Stanley Druckenmiller’s Duquesne Capital Management LLC hedge fund.
« Comme la prise de risque chute, la croissance prĂ©vue est rĂ©duite Â», a dĂ©clarĂ© Colin P. Fenton , le Chef de la direction de Curium Capital Advisors LLC Ă  Boston, qui Ă©tait un analyste matiĂšres premiĂšres chez Goldman Sachs Group Inc et Stanley Druckenmiller de Duquesne Capital Management LLC de couverture Fonds. “Demand for commodities is going to be softer than it might otherwise have been.” « La demande pour les produits de base va ĂȘtre plus doux qu’il aurait pu autrement. Â»

While the Organization for Economic Cooperation and Development raised its growth forecasts for this year and next on May 26, investors are dumping holdings at the fastest pace since February.
Alors que l’Organisation pour la CoopĂ©ration Ă©conomique et du dĂ©veloppement revu en hausse ses prĂ©visions de croissance pour cette annĂ©e et la suivante le 26 mai, les investisseurs se dĂ©barassent de leurs participations, au rythme le plus rapide depuis FĂ©vrier.

Supply and Demand Offre et demande

The Journal of Commerce Industrial Price Commodity Smoothed Price Index reflects clearer signs of supply and demand than futures markets because half the items it tracks don’t trade on exchanges used by speculators, said Lakshman Achuthan , the managing director at the New York-based Economic Cycle Research Institute.
Le Journal of Commerce des prix des produits de base lissĂ©es Indice des prix reflĂšte plus clairement les signes de l’offre et la demande de marchĂ©s Ă  terme parce que la moitiĂ© des produits qu’il pistes ne sont pas nĂ©gociĂ©s sur des bourses utilisĂ© par les spĂ©culateurs, a dĂ©clarĂ© Lakshman Achuthan , le directeur gĂ©nĂ©ral au siĂšge Ă  New York Ă©conomique Institut de recherche du cycle.
The gauge dropped to 25.97 on May 28 from 60.56 on April 30. L’indicateur est tombĂ© Ă  25,97 le 28 mai Ă  partir de 60.56 le 30 avril.

In June 2008, a month after the index reached its peak, the Paris-based OECD said the US would grow at a 1.1 percent rate the following year.
En Juin 2008, un mois aprĂšs l’indice a atteint son apogĂ©e, l’OCDE basĂ© Ă  Paris a dĂ©clarĂ© que la croissance aux États-Unis croĂźtra Ă  un taux de 1,1 pour cent l’annĂ©e suivante.
Commodities continued to drop, and in October 2008, the index fell at a 56 percent annual rate, which was then the lowest level since 1949.
Produits de base ont continuĂ© Ă  baisser, et en Octobre 2008, l’indice a diminuĂ© Ă  un taux annuel de pour cent 56, qui Ă©tait alors le plus bas niveau depuis 1949.

Almost two months later, the National Bureau of Economic Research, the panel that dates American business cycles, said the US was in a recession.
Presque deux mois plus tard, le NBER, l’ensemble qui date les cycles Ă©conomiques amĂ©ricains, a dĂ©clarĂ© que États-Unis Ă©taient en rĂ©cession.
The world’s largest economy shrank 2.4 percent, the worst contraction since 1946.
La plus grande Ă©conomie mondiale s’est contractĂ©e de 2,4 pour cent, la pire contraction depuis 1946.

Now, “the collapse in the commodity index is telling us that the peak in global industrial growth is imminent, it’s here right now,” Achuthan said. Maintenant, «l’effondrement de l’indice de base est de nous dire que le pic de croissance industrielle mondiale est imminente, c’est ici maintenant», a dĂ©clarĂ© Achuthan.
“Markets are going to have to deal with the reality of a slowdown.” « Les marchĂ©s vont devoir faire face Ă  la rĂ©alitĂ© d’un ralentissement. Â»

Manufacturing Indexes Slide Fabrication Indice glisse

China’s Purchasing Managers’ Index slid to 53.9 from 55.7 in April, the Federation of Logistics and Purchasing said today. That was less than the median 54.5 estimate in a Bloomberg survey of 18 economists.
Chine Purchasing Managers 'Index a glissĂ© Ă  53,9 de 55,7 en avril, la FĂ©dĂ©ration de la logistique et les achats, a dĂ©clarĂ© aujourd’hui. Cela a Ă©tĂ© infĂ©rieure Ă  la mĂ©diane 54,5 estimation dans un sondage de Bloomberg de 18 Ă©conomistes.
A monthly gauge of manufacturing in the euro region fell to 55.8 from 57.6, Markit Economics said.
Une jauge mensuel de la fabrication dans la région euro a chuté à 55,8 de 57,6, Markit Economics a dit.
The Institute for Supply Management said its US factory index dropped to 59.7 in May from 60.4 in April.
L’Institute for Supply Management amĂ©ricain a dĂ©clarĂ© que son indice de l’usine a chutĂ© Ă  59,7 en mai contre 60,4 ans en avril.

Europe’s debt crisis is only starting to weigh on global growth, said Michael Aronstein , a strategist at Oscar Gruss & Son Inc. who predicted the 2008 commodity plunge and is betting against a rally this year.
La crise de la dette de l’Europe ne fait que commencer Ă  peser sur la croissance mondiale, a dĂ©clarĂ© Michael Aronstein , stratĂ©giste chez Oscar Gruss & Son Inc qui avait prĂ©dit la marchandise plonger 2008 et fait le pari contre un rallye de cette annĂ©e.

The European Union announced an almost $1 trillion loan package last month to halt a slide in the euro and local bonds that threatened to shatter the currency union. L’Union europĂ©enne a annoncĂ© un prĂȘt de $ 1000000000000 paquet presque le mois dernier pour mettre fin Ă  une glissade de l’euro et des obligations locales qui menaçait de briser l’union monĂ©taire.
Budget cuts across the region may curb demand for Chinese imports as well as commodities including gasoline, aluminum and steel.
Les compressions budgĂ©taires en Europe peuvent rĂ©duire la demande pour les importations chinoises ainsi que des produits de base y compris l’essence, l’aluminium et l’acier.

Raw materials may drop another 10 percent because the economy is on the “cusp” of deflation, said Philip Gotthelf , the president of Equidex Brokerage Group Inc. in Closter, New Jersey.
Les matiĂšres premiĂšres peuvent faire une autre chute de 10 pour cent, car l’économie est sur le point "de dĂ©flation, a dĂ©clarĂ© Philip Gotthelf , le prĂ©sident de Courtage Equidex Group Inc Closter, New Jersey.
That would drive the Reuters/Jefferies CRB Index of 19 commodity futures down 22 percent from a Jan. 6 peak and into what investors consider a bear market.
Cela conduirait la Reuters / Jefferies CRB Index de 19 de marchandises à terme à diminuer de 22 pour cent à partir du sommet du 6 janvier dans ce que les investisseurs considÚrent comme un marché baissier.
The gauge plunged 8.2 percent in May, the most in 18 months. La jauge plongé 8,2 pour cent en mai, le plus en 18 mois.

Gotthelf correctly predicted in October 2008 that oil would fall below $40 a barrel and said he is now shorting most commodities and buying gold.
Gotthelf avait correctement prĂ©dit en Octobre 2008 que le pĂ©trole chute sous les 40 dollars le baril et a dĂ©clarĂ© qu’il est vendeur sur la plupart des matĂ©riaux de base maintenant et Ă  l’achat d’or.

The CRB index fell 0.9 percent to 252.39 today.
L’indice CRB a baissĂ© de 0,9 pour cent Ă  252,39 aujourd’hui.
Nickel tumbled 4 percent, and crude oil dropped almost 2 percent. Nickel a chuté de 4 pour cent, et le pétrole brut a chuté de prÚs de 2 pour cent.

Economic forecasts have been rising.
Les prévisions économiques ont été en hausse.
As a group, the OECD’s 30 member nations will grow 2.7 percent this year, the organization said.
En tant que groupe, de l’OCDE les 30 pays membres augmentera de 2,7 pour cent cette annĂ©e, a dĂ©clarĂ© l’organisation.
The expansion will reach 3.2 percent in the US and 10.1 percent in China, according to separate surveys of economists by Bloomberg last month.
L’expansion atteindra 3,2 pour cent aux États-Unis et 10,1 pour cent en Chine, selon les enquĂȘtes distinctes d’économistes interrogĂ©s par Bloomberg le mois dernier.

“The market is underestimating the strength of the fundamentals and overestimating the impact that the European sovereign-funding issues will have on growth,” Jeffrey Currie , a Goldman Sachs analyst, said in an interview from London.
« Le marchĂ© est sous-estimer la force des principes fondamentaux et de surestimer l’impact que les questions de financement europĂ©en aura sur la croissance Â», Jeffrey Currie , un analyste de Goldman Sachs, a dĂ©clarĂ© dans une interview Ă  Londres. He says the decline is a “buying opportunity.”
Il dit que le dĂ©clin est une opportunitĂ© d’achat ».

Freeport-McMoRan Copper & Gold Inc. Chief Executive Officer Richard C. Adkerson told analysts on a conference call May 11 that while “there is still a lot of uncertainty” about the world economy and its reliance on demand from China, the Phoenix-based mining company sees “some pockets of demand improvement” and is taking steps to ramp up copper production.
Freeport-McMoRan Copper & Gold Inc chef de la direction Richard C. Adkerson a dĂ©clarĂ© aux analystes lors d’une tĂ©lĂ©confĂ©rence 11 mai que tout « il ya encore beaucoup d’incertitude Â» sur l’économie mondiale et de sa dĂ©pendance Ă  la demande de la Chine, basĂ©e Ă  Phoenix sociĂ©tĂ© miniĂšre voit « quelques poches d’amĂ©lioration de la demande Â» et prend des mesures pour accĂ©lĂ©rer la production de cuivre.

“There are headwinds, concerns both in Europe and in Asia that are making investors rethink their decisions and maybe take some profits, but I believe that the longer-term growth story remains intact,” said Michael Cuggino , who manages about $6 billion at Permanent Portfolio Funds in San Francisco.
«Il ya des vents contraires, concernant Ă  la fois l’ Europe et l’ Asie qui font des investisseurs repenser leurs dĂ©cisions et peut-ĂȘtre prendre quelques bĂ©nĂ©fices, mais je crois que la croissance long terme reste intacte", a dĂ©clarĂ© Michael Cuggino , qui gĂšre environ 6 milliards de dollars permanent Portefeuille de fonds Ă  San Francisco. “I don’t think it’s a broader slowdown. «Je ne pense pas que c’est un plus large ralentissement. I think it’s a correction.” Je pense que c’est une correction. "

Lower Prices Baisse des prix

Inflation is almost non-existent.
L’inflation est quasi inexistante.
In April, US consumer prices unexpectedly dropped 0.1 percent, the first decrease since March 2009, government data show.
En avril, les prix des consommateurs américains a chuté de façon inattendue de 0,1 pour cent, la premiÚre baisse depuis Mars 2009, les données du gouvernement montrent.
In the 12 months ended in April, the cost of living rose 2.2 percent, following a 2.3 percent year-over-year gain in March.
Au cours des 12 mois terminĂ©s en avril, le coĂ»t de la vie a augmentĂ© de 2,2 pour cent, suite Ă  un pour cent l’annĂ©e sur annĂ©e gain de 2,3 en Mars.

Bank of America Merrill Lynch says prices will continue to deteriorate.
Bank of America Merrill Lynch déclare que les prix vont continuer à se détériorer.
On May 25, the Charlotte, North Carolina-based bank cut its oil forecast for the second half of the year to $78 from $92.
Le 25 mai, la Charlotte, banque basĂ©e en Caroline du Nord a rĂ©duit ses prĂ©visions de pĂ©trole pour le second semestre de l’annĂ©e Ă  78 $ de 92 $.
Doane Agricultural Services Co. in St. Louis said May 18 that corn will drop 14 percent by October to $3.25 a bushel. Corn futures for December delivery dropped 1.3 percent today to $3.7525.
Doane services agricoles Co. Ă  Saint-Louis a dĂ©clarĂ© 18 mai que le maĂŻs sera en baisse de 14 pour cent, en Octobre, Ă  3,25 $ le boisseau. Terme du maĂŻs pour livraison DĂ©cembre chutĂ© de 1,3 pour cent aujourd’hui Ă  3,7525 $.

Copper, a commodity former Federal Reserve Chairman Alan Greenspan saw as an economic indicator, declined 7.4 percent in May, the biggest monthly slide since January.
Le cuivre, un produit que l’ ancien prĂ©sident de la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale Alan Greenspan a vu comme un indicateur Ă©conomique, a baissĂ© de 7,4 pour cent en mai, le plus grand toboggan mensuelle depuis Janvier.
Burlap, used for industrial packaging, is down 9.7 percent this year, almost matching its 9.9 percent drop in 2008.
Toile de jute, utilisé pour les emballages industriels, est en baisse de 9,7 pour cent cette année, presque autant que sa baisse de 9,9 pour cent en 2008.

Manufacturing Risk Risque de fabrication

“If commodity prices are coming down, there is some downside risk to the manufacturing sector,” said Chris Rupkey , the chief financial economist at Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ Ltd.
"Si les prix des produits de base baissent, il ya quelque risque à la baisse pour le secteur manufacturier», a déclaré Chris Rupkey , économiste en chef de la financiÚre de Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ Ltd in New York. à New York.
“It’s too early to see it in people’s numbers yet, but if I had to guess, people will shave their estimates” for growth this year, he said.
« Il est trop tĂŽt pour le voir dans le nombre de personnes, mais si je devais deviner, les gens vont raser leurs estimations Â» pour la croissance cette annĂ©e, at-il dit.

Commodities last fell into a bear market in 2008, when the CRB plunged 56 percent in five months as the US suffered the worst financial crisis since the Great Depression, growth contracted on a global basis for the first time since 1981 and the Journal of Commerce index was below zero.
Produits de base sont tombĂ©s la derniĂšre fois dans un marchĂ© baissier en 2008, lorsque 'indice CRB plongĂ© de 56 pour cent en cinq mois alors que les États-Unis ont subi la pire crise financiĂšre depuis la Grande DĂ©pression, la croissance s’était contractĂ© Ă  l’échelon mondial pour la premiĂšre fois 1981 et le Journal of Commerce Index depuis a Ă©tĂ© en dessous de zĂ©ro.

Now, a slowdown in Europe, the biggest destination for Chinese exports, will “badly hurt” the Asian country, said Lewis Wan , the chief investment officer for Pride Investments Group, which oversees $150 million in Hong Kong.
Maintenant, un ralentissement en Europe, la plus grande destination pour les exportations chinoises, blessera « griĂšvement Â» le pays asiatique, a dit Lewis Wan , le directeur de l’investissement pour les investissements Pride Group, qui supervise les 150 millions de dollars Ă  Hong Kong.
The Shanghai Stock Exchange Composite Index has tumbled 22 percent this year as the government enacted measures to cool its property market.
La Bourse de Shanghai Composite Index a chuté de 22 pour cent cette année, le gouvernement a promulgué des mesures pour calmer son marché immobilier.

As of last month, the European Union’s economy was expected to grow 1.1 percent this year after contracting 4.1 percent in 2009, the biggest drop since 1992, according to 19 economists surveyed by Bloomberg.
Depuis le mois dernier, l’Union europĂ©enne l’économie devait croĂźtre de 1,1 pour cent cette annĂ©e aprĂšs avoir contractĂ© de 4,1 pour cent en 2009, la plus forte baisse depuis 1992, selon les 19 Ă©conomistes interrogĂ©s par Bloomberg.

Euro Outlook Euro en perspective

A “wave of fiscal austerity” in Europe will depress the expansion in the region, in the US and in China, according to Arnab Das , the head of global market research at Roubini Global Economics in London.
Une vague d’austĂ©ritĂ© budgĂ©taire "en Europe pĂšsera sur l’expansion dans la rĂ©gion, aux États-Unis et en Chine, selon Arnab Das , le directeur de la recherche au marchĂ© mondial Roubini Global Economics Ă  Londres.
Today, the euro touched $1.2111, the lowest level against the dollar since April 2006, as European unemployment climbed.
Aujourd’hui, l’euro a touchĂ© 1,2111 $, son plus bas niveau face au dollar depuis avril 2006, alors que le chĂŽmage a grimpĂ© en Europe.

Last month, Spain was forced to rescue banks and policy makers including Italian Prime Minister Silvio Berlusconi said they would cut spending to combat a financial “tsunami” in the region.
Le mois dernier, l’Espagne a Ă©tĂ© contrainte de sauver les banques et les dĂ©cideurs politiques, y compris le Premier ministre italien Silvio Berlusconi a dĂ©clarĂ© qu’ils rĂ©duiraient les dĂ©penses financiĂšres pour lutter contre un « tsunami Â» dans la rĂ©gion.

Investors are getting less bullish, according to the US Commodity Futures Trading Commission.
Les investisseurs sont devenus moins optimistes, selon la US Commodity Futures Trading Commission.
Speculative net-long positions , or bets on rising prices, for 16 commodity futures have dropped 33 percent in the past three weeks, CFTC data show.
That’s the lowest level since Feb. 9, after the net-longs plunged 58 percent from a 20-month high on Jan. 12.
Les positions spĂ©culatives acheteuses longues , ou les paris sur la hausse des prix, pour 16 contrats Ă  terme sur matiĂšres premiĂšres ont chutĂ© de 33 pour cent au cours des trois derniĂšres semaines, les donnĂ©es montrent CFTC. C’est le plus bas niveau depuis le 9 fĂ©vrier, aprĂšs le plongeon des positions longues acheteuses de 58 pour cent Ă  partir de 20 mois Ă©levĂ© le 12 janvier.

“It’s the uncertainty that’s the biggest problem,” said John Kinsey , who helps manage C$1 billion ($995 million) at Caldwell Investment Management Ltd. in Toronto.
«C’est l’incertitude qui est le plus gros problĂšme", a dĂ©clarĂ© John Kinsey , qui permet de gĂ©rer 1 milliard de dollars ($ 995,000,000) Ă  Caldwell Investment Management Ltd, Ă  Toronto.
“Commodities are being attacked with these concerns about the debt situation in Europe and the steps that China has taken to tighten.
"Les matiÚres premiÚres sont attaquées par ces préoccupations concernant la situation de la dette en Europe et sur les mesures que la Chine a pris pour les réduire. People are afraid this is going to slow the economy.
Les gens ont peur de ce qui se passe Ă  ralentir l’économie.
It’s hard to see a way out of it.
” Il est difficile de voir un moyen de s’en sortir. "

To contact the reporter on this story: Millie Munshi in New York at mmunshi@bloomberg.net ; Elizabeth Campbell in New York at ecampbell14@bloomberg.net

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Bon j’arrĂȘte de perdre mon temps avec toi, lĂ  il te faut un psychiatre Cimazur.

UE 06.12 MarchĂ©s des Ă©nergies renouvelables toujours en croissance malgrĂ© la consolidation d’entreprises du secteur

Les surcapacitĂ©s, la baisse des investissements, des prix et l’avenir incertain des subventions gouvernementales, se traduira par davantage de consolidation parmi les entreprises des Ă©nergies renouvelables au cours de l’annĂ©e, selon Ernst & Young, dĂ©gageant ainsi les perspectives d‘avenir, les principaux gagnants et la reprise d’autant plus forte du secteur.

Les fusions et acquisitions au premier trimestre 2012 ont augmentĂ© de 41% dans le monde Ă  21,7 milliards de dollars par rapport au trimestre prĂ©cĂ©dent dans les Ă©nergies renouvelables et vont continuer Ă  croĂźtre cette annĂ©e. Une grande partie des transactions sont le fait d’entreprises qui cherchent Ă  contrĂŽler leur chaĂźne d’approvisionnement, rĂ©duire les coĂ»ts, ou accĂ©der Ă  de nouveaux marchĂ©s. L’accĂšs au capital restera le plus grand diffĂ©renciateur pour les entreprises Ă  la fois sur les marchĂ©s des technologies et des infrastructures pour l’avenir proche.

Les investissements dans les Ă©nergies renouvelables Ă  l’échelle mondiale ont progressĂ© de 6,5 % en 2011, atteignant 263 milliards de dollars. Les investissements dans les Ă©nergies propres, hors R&D, ont ainsi augmentĂ© de 600 % depuis 2004.

La combinaison de la baisse des prix et des investissements croissants a accĂ©lĂ©rĂ© l’installation de la capacitĂ© de production des Ă©nergies renouvelables avec un record de 83,5 gigawatts (GW) en 2011. PrĂšs de 30 GW de nouvelles centrales solaires et 43 GW d’énergie Ă©olienne ont Ă©tĂ© dĂ©ployĂ©s. La capacitĂ© de production de l’énergie renouvelable reprĂ©sente dĂ©sormais 565 GW, soit prĂšs de 50 % de plus que la puissance Ă©lectronuclĂ©aire en 2010.

Les Etats-Unis reprennent la tĂȘte de la course

Les pays du G20 ont représenté plus de 95 % des investissements en 2011.
Les Etats-Unis ont accru les dĂ©penses en matiĂšre d’énergies renouvelables de 33% l’an dernier Ă  55,9 milliards de dollars par rapport Ă  2010, dĂ©passant la Chine pour la premiĂšre fois depuis 2008. Celle-ci a investi 47,4 milliards de dollars en 2011 soit une hausse de 1%. La proposition de budget du prĂ©sident Barack Obama pour 2013 confirme un objectif de 80% de sources d’énergies « propres » pour les Etats-Unis Ă  horizon 2035. L’incertitude du renouvellement de crĂ©dits d’impĂŽt et un manque continu d’engagement Ă  long terme en politique Ă©nergĂ©tique dans une annĂ©e Ă©lectorale exacerbe toutefois le scĂ©nario d’expansion-rĂ©cession aux Etats-Unis.

Les investissements dans les EnR en Europe ont augmentĂ© de 4 %, pour atteindre 99,3 milliards de dollars. MalgrĂ© cette faible hausse, elle reste la zone la plus attractive en 2011. L’Allemagne (30,6 milliards de dollars), l’Italie (28 milliards de dollars), le Royaume-Uni (9,4 milliards de dollars) font partie des pays ayant attirĂ© le plus d’investissements privĂ©s en 2011. La France a connu le cinquiĂšme taux de croissance annuel avec une hausse des investissements de 36 %, mais reste loin derriĂšre ses voisins europĂ©ens avec des investissements Ă  hauteur de 5 milliards de dollars. Plus de 80 % des investissements en France ont concernĂ© l’énergie solaire (4,4 milliards de dollars), les installations ont augmentĂ© de 145 %.

L’Europe, comme d’autres parties du monde, se retrouve face Ă  d’énormes pressions relatives Ă  des dĂ©fis tels que le changement climatique, la dĂ©pendance croissante face aux importations d’énergie, les tensions de plus en plus importantes en matiĂšre de ressources et le besoin d’assurer un accĂšs Ă  une Ă©nergie abordable et sĂ»re pour tous les consommateurs.

Pour atteindre ces objectifs, l’UE est en train de mettre en place une politique Ă©nergĂ©tique d’envergure qui couvrira tout l’éventail des sources d’énergies, des carburants fossiles (pĂ©trole, gaz et charbon) Ă  l’énergie nuclĂ©aire en passant par les Ă©nergies renouvelables (solaire, Ă©olienne, biomasse, gĂ©othermique, hydro-Ă©lectrique et marĂ©motrice).

Le but de l’Union est de dĂ©velopper une Ă©conomie qui consommerait peu de carbone tout en rendant les ressources Ă©nergĂ©tiques plus durables et plus sĂ»res et en assurant des prix peu Ă©levĂ©s pour les consommateurs.

Les investissements sont actuellement les plus favorables en Amérique latine

Climascopio est le nouvel outil créé par la Banque interamĂ©ricaine de dĂ©veloppement (BID) en partenariat avec le cabinet Bloomberg New Energy Finance. Il dĂ©termine en temps rĂ©el les pays oĂč les investissements liĂ©s aux Ă©nergies renouvelables sont les plus favorables. Le BrĂ©sil, le Nicaragua et le Panama occupent actuellement la meilleure position.

MalgrĂ© une croissance Ă©conomique supĂ©rieure Ă  6% et des ressources naturelles exceptionnelles, le potentiel de dĂ©veloppement des Ă©nergies renouvelables de l’AmĂ©rique latine et des CaraĂŻbes reste sous-exploitĂ©. En 2011, seuls 10% des investissements mondiaux enregistrĂ©s pour ce secteur Ă©taient destinĂ©s Ă  la rĂ©gion. Avec 34 millions de personnes n’ayant toujours pas accĂšs Ă  l’électricitĂ©, l’AmĂ©rique latine compte parmi les marchĂ©s les plus dynamiques de la planĂšte dans le secteur Ă©nergĂ©tique.

Les Ă©nergies renouvelables reprĂ©sentent dĂ©jĂ  7% de la capacitĂ© Ă©nergĂ©tique installĂ©e en AmĂ©rique latine, soit quelque 301 gigawatts. L’éolien, qui y est plus compĂ©titif que le gaz qui y est pourtant peu cher, compte parmi les secteurs les plus prometteurs. Des prĂ©visions de croissance de l’ordre de 8000 mĂ©gawatts pour les trois prochaines annĂ©es sont estimĂ©es, essentiellement au BrĂ©sil, en Colombie et en Argentine. Le Nicaragua se distingue par son excellent potentiel pour le dĂ©veloppement de la gĂ©othermie. Les indicateurs y sont favorables dans le domaine des politiques d’énergies propres, de la structure du secteur Ă©nergĂ©tique et de la disponibilitĂ© de microcrĂ©dits verts. Au BrĂ©sil, les Ă©nergies renouvelables ont entraĂźnĂ© 70 milliards de dollars d’investissement entre 2006 et 2011. La moitiĂ© Ă©tait destinĂ©e aux agrocarburants. L’AmĂ©rique du Sud est le second producteur mondial de biogazole et de bioĂ©thanol. En matiĂšre d’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique, l’AmĂ©rique latine et les CaraĂŻbes pourraient rĂ©duire leur consommation d’électricitĂ© de 10% au cours de la prochaine dĂ©cennie en adoptant des technologies Ă©conomes en Ă©nergie largement disponibles. Une telle rĂ©duction Ă©viterait 36 milliards de $ d’investissements

La puissance PV installĂ©e devrait croĂźtre de 300 Ă  500% d’ici 2016 dans le monde

L’énergie solaire a attirĂ© 128 milliards de dollars (+44 %) et compte pour plus de la moitiĂ© des investissements en Ă©nergies renouvelables des pays du G20. La diminution du coĂ»t des modules solaires a rendu cette Ă©nergie trĂšs attractive, compensant l’affaiblissement des mĂ©canismes de soutien. Le prix de l’énergie du vent a Ă©galement baissĂ© en 2011.

Dans son rapport « Les tĂ©nĂšbres avant l’aube » (Solar Power : Darkest before the dawn) McKinsey prĂ©voit que le solaire va continuer de croĂźtre grĂące Ă  la poursuite de la baisse des coĂ»ts de 10 % par an en moyenne d’ici Ă  2020. Elle a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© de 75% au cours des 7 derniĂšres annĂ©es. La capacitĂ© de production devrait doubler dans les trois Ă  cinq prochaines annĂ©es. Dans le pire des scĂ©narii, au moins 400 Ă  600 gigawatts (GW) supplĂ©mentaires devraient ĂȘtre installĂ©s d’ici Ă  2020. Entre 10 et 30 leaders devraient sortir renforcĂ©s de cette consolidation.

Selon le scĂ©nario modĂ©rĂ© de l’Epia, la puissance photovoltaĂŻque installĂ©e devrait croĂźtre de 300 Ă  500% d’ici 2016. La croissance viendra plus fortement de pays hors d’Europe (la Chine, la rĂ©gion Asie-Pacifique, les AmĂ©riques et, dans une moindre mesure, l’Afrique). En 2016, le Vieux continent pourrait ainsi disposer d’une puissance PV installĂ©e de quelque 95 GW au moins, soit un peu plus de 45% du total mondial.

Analyse Powerpoint de l’Epia :

http://www.epia.org/index.php?eID=tx_nawsecuredl&u=0&file=fileadmin/EPIA_docs/documents/Events/EPIA-SolarExpo-9May-GMO.pdf&t=1338688556&hash=110d57b2a209066d65c22003b49685f5

Point intĂ©ressant du rapport Mc Kinsey, la paritĂ© rĂ©seau qui s’étend rapidement dans tous les pays du monde entre les coĂ»ts des Ă©nergies renouvelables et ceux des Ă©nergies conventionnelles et qui touche dĂ©jĂ  plus de la moitiĂ© des pays au monde, va bouleverser le secteur de l’énergie dans son ensemble. Dans les pays Ă©mergents ne bĂ©nĂ©ficiant pas d’infrastructures Ă©lectriques, les Ă©nergies renouvelables vont permettre d’apporter l’électricitĂ© Ă  des millions de personnes vivant en zones rurales. Mais mĂȘme dans les pays de l’OCDE, une croissance rapide de l’énergie dĂ©centralisĂ©e pourrait changer la donne. D’ici moins d’une dizaine d’annĂ©es, le solaire reprĂ©sentera une alternative crĂ©dible lorsqu’il s’agira de construire de nouvelles infrastructures Ă©nergĂ©tiques.

Selon la derniĂšre Ă©tude de Pike Research, le secteur des smart-grids devrait croĂźtre d’environ 23% par an d’ici 2018, passant de 4 milliards de $ en 2012 Ă  13 milliards de $ en 2018. L’Asie-Pacifique devrait ĂȘtre le principal marchĂ©, passant de 1 Ă  5 milliards de dollars en 6 ans, suivi par l’AmĂ©rique du Nord passant de 974 millions de $ Ă  4 milliards de $.

Green Univers 06.12 Goldman Sachs prĂ©voit 40 Mds$ d’investissements dans les Ă©nergies renouvelables en 10 ans

Goldman Sachs vient d’annoncer qu’elle investira 40 Mds$ (31,9 Mds€) dans les dix prochaines annĂ©es dans les Ă©nergies renouvelables, Ă  travers des financements et des investissements directs.

Sa logique est simple : ce secteur reprĂ©senterait une Ă©norme opportunitĂ© pour les investisseurs, car « selon certaines estimations, les investissements globaux dans les infrastructures Ă©nergĂ©tiques pour les Ă©nergies renouvelables vont doubler pour atteindre 395 Mds$ par an en 2020 Â», explique la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine dans son rapport 2011

http://www.goldmansachs.com/s/esg-2011/images/Goldman_Sachs-ESG_Report2011.pdf

Cette perspective semblerait ĂȘtre corroborĂ©e par l’annonce du gouvernement chinois qui prĂ©voit d’investir 27 Mds$ en 2012 dans l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique et les Ă©nergies propres. Parmi les autres secteurs Ă©voquĂ©s se trouvent les vĂ©hicules propres. Le gouvernement avait dĂ©jĂ  prĂ©sentĂ© une feuille de route trĂšs ambitieuse en avril pour cette filiĂšre qui vise 500 000 vĂ©hicules propres vendus en 2015 et 5 millions en 2020. Ce nouveau soutien du gouvernement ne fait donc que rassurer des constructeurs qui commencent Ă  pĂ©nĂ©trer sur ce marchĂ©, tels Renault, ou d’autres qu’y songent, comme BMW. Pour 2020, PĂ©kin vise une rĂ©duction de ses Ă©missions de CO2 d’entre 40 et 45% par rapport Ă  2003 ainsi que 15% des Ă©nergies renouvelables dans le mix Ă©nergĂ©tique du pays.

Le BrĂ©sil, Inde et l’Arabie Saoudite parmi d’autres ont Ă©galement affichĂ© des objectifs ambitieux (109 milliards de dollars sur 20 ans pour la production de plus du 1/3 de l’électricitĂ© du pays Ă  partir de sources renouvelables).

Timing favorable

Goldman Sachs a commencĂ© ses activitĂ©s vertes en 2005, depuis, il y a investi 24 Mds $ (19,1 Mds €). Pour la seule annĂ©e 2011, la banque a financĂ© des projets dans le monde pour un investissement de 4,8 Mds $, ce qui rendrait le chiffre de 40 Mds$ facilement atteignable Ă  ce rythme. La banque souligne par ailleurs qu’elle dĂ©tient l’un des portefeuilles d’immeubles de bureaux « verts » les plus vastes au monde et notĂ© que le secteur des Ă©nergies alternatives Ă©tait vu comme promis Ă  une croissance rapide.

Les secteurs ciblĂ©s par la banque sont l’énergie solaire, l’éolien et l’hydrolien, les biocarburants, la biomasse, l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique, le stockage Ă©nergĂ©tique, les transports propres ou encore les LED.

Afin de souligner la pertinence du timing pour les investissements verts, Stuart Bernstein, responsable global des technologies propres de Goldman Sachs, n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  comparer l’opportunitĂ© d’investir dans les cleantech aujourd’hui avec l’opportunitĂ© d’investir dans les Ă©conomies du BrĂ©sil, de la Russie, de l’Inde et de la Chine il y a dix ans.

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La finance, le BTP et l’agriculture dĂ©trĂŽnĂ©s par les Ă©nergies renouvelables en Afrique

Selon une enquĂȘte publiĂ©e le 9 aoĂ»t par le cabinet d’études Havas Horizons, les investisseurs internationaux seraient aujourd’hui plus enclin Ă  financer le dĂ©veloppement des Ă©nergies vertes en Afrique. Les Ă©nergies renouvelables apparaissent en effet comme le secteur le plus prometteur du continent Ă  l’horizon 2020 et beaucoup se disent prĂȘts Ă  y renforcer leurs participations.

Des investissements de moins en moins risqués

Si l’intĂ©gration du risque climatique dans leurs portefeuilles de gestion est encore loin d’ĂȘtre systĂ©matique, les grands investisseurs internationaux que sont les fonds de pension, les assureurs, les fonds souveraines, ou les fondations et fonds de dotation,** savent gĂ©nĂ©ralement reconnaĂźtre les filiĂšres d’avenir sur lesquelles miser**. Or, selon l’enquĂȘte d’Havas Horizons, service dĂ©diĂ© aux pays Ă©mergents lancĂ© par l’agence Havas et l’institut Choiseul, les Ă©nergies renouvelables en Afrique seraient dĂ©sormais un secteur d’activitĂ© largement favorable Ă  l’investissement.

« Les investisseurs croient en la capacitĂ© du continent africain Ă  devenir une rĂ©fĂ©rence mondiale pour les Ă©nergies renouvelables, activitĂ© d’ores et dĂ©jĂ  privilĂ©giĂ©e dans leurs investissements », souligne l’enquĂȘte menĂ©e auprĂšs de 55 institutions financiĂšres et bancaires (qui exercent dĂ©jĂ  une activitĂ© en Afrique).

ConsidĂ©rĂ©s comme les secteurs les plus prometteurs d’Afrique en 2015, la finance, le BTP et l’agriculture ont donc Ă©tĂ© dĂ©trĂŽnĂ©s cette annĂ©e par la filiĂšre Ă©nergĂ©tique qui reprĂ©sente aujourd’hui un potentiel de retour sur investissement trĂšs significatif. Investir dans les renouvelables serait mĂȘme de moins en moins risquĂ©, **l’énergie solaire reprĂ©sentant « la solution Ă©nergĂ©tique jugĂ©e la plus prometteuse d’ici 2020 » **grĂące au taux d’ensoleillement Ă©levĂ© de nombreux pays africains.

Plus d’énergies renouvelables et moins d’énergies fossiles

Si les ressources africaines (eau, vent, soleil, hydrocarbures) sont, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, suffisantes pour atteindre l’autonomie Ă©nergĂ©tique et dĂ©velopper l’électrification du territoire, le mix Ă©nergĂ©tique de continent est encore largement dominĂ© par les Ă©nergies fossiles. Mais les rĂ©centes Ă©volutions des cours du pĂ©trole, perçu comme une trĂšs mauvaise nouvelle pour les exportateurs de brut, ont poussĂ© l’Afrique Ă  s’inscrire dans une nouvelle tendance globale de dĂ©veloppement des Ă©nergies renouvelables au dĂ©triment des hydrocarbures.

MalgrĂ© la chute des cours des matiĂšres premiĂšres et du pĂ©trole en particulier, les investisseurs interrogĂ©s restent d’ailleurs « confiants » pour le continent et confirment « leur volontĂ© d’y maintenir voire d’y renforcer leurs investissements ». « Avec son potentiel solaire, hydrologique, Ă©olien et thermal, le continent peut devenir une rĂ©fĂ©rence mondiale en la matiĂšre », affirment les sondĂ©s.

Cet optimisme s’oriente actuellement vers cinq Etats Ă  fort potentiel Ă©nergĂ©tique, parmi les quels le Nigeria, la CĂŽte d’Ivoire, le Kenya, le Maroc, ou encore l’Afrique du Sud. Ces deux derniers ont misĂ© sur le dĂ©veloppement du solaire et 51% des investisseurs sondĂ©s y jugent cette Ă©nergie prometteuse. Plus globalement, 91% des investisseurs sont confiants sur les perspectives Ă©conomiques du continent d’ici 2020, mais perçoivent toutefois des freins aux investissements, principalement liĂ©s Ă  l’instabilitĂ© politique et aux risques juridiques.

Pays d’Afrique les plus favorables aux Ă©nergies renouvelables selon les investisseurs :

  1. Le Nigeria en 1Ăšre position avec 33% des voix.
  2. La Cîte d’Ivoire arrive en 2ùme position (22%).
  3. Le Maroc et le Kenya occupent la 3Ăšme place (respectivement 19%).
  4. L’Afrique du Sud, elle, occupe la 4ùme place (11%)

Taux de croissance général moyen Afrique 2016 : 2,5%, 2020 : 4% selon ICAEW

http://lenergeek.com/2016/08/29/les-investisseurs-internationaux-se-tournent-vers-les-energies-renouvelables-en-afrique/

http://presse.havasparis.com/financer-la-croissance-africaine-a-lhorizon-2020/

En complément :

Record Ă  la baisse des prix du solaire et de l’éolien en AmĂ©rique latine notamment :

DĂ©jĂ  historique par sa taille et par l’importance prise par l’éolien, l’appel d’offres multi-Ă©nergies dont les rĂ©sultats ont Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©s le 17 aoĂ»t dernier au Chili et reprĂ©sentant environ 20% de la consommation Ă©lectrique du pays, est aussi exceptionnel par les tarifs affichĂ©s dans le photovoltaĂŻque. Le dĂ©veloppeur espagnol Solarpack Corporacion Tecnologica y a dĂ©crochĂ© un contrat de 20 ans pour un parc de 120 MW au tarif de 29,10 dollars par mĂ©gawatt-heure (25,6 euros). Un record mondial, infĂ©rieur Ă  celui de 29,9 $/MWh proposĂ© Ă  DubaĂŻ en mai dernier. Les compĂ©titeurs Ă©taient 84 entreprises internationales pour sept fois le volume demandĂ©.

L’énergie la plus chĂšre du monde Ă©tant dĂ©sormais notamment celle de l’EPR

A noter le** Portugal** avec une situation similaire Ă  la France en terme de diversitĂ© de ressources d’énergies renouvelables, une densitĂ© de population identique et malgrĂ© moins de ressource hydroĂ©lectrique, atteint une consommation de** prĂšs de 70% d’énergies renouvelables **et plus de 100% certains mois !

Meilleurs fonds Ecologie Linxea actuels :

  1. Parvest Environmental Opportunities C LU0406802339

  2. Parvest Global Environment C LU0347711466

Meilleurs fonds Energies alternatives Linxea actuels :

  1. BGF New Energy A2 LU0124384867

  2. RobecoSAM Smart Energy EUR B LU0175571735

Le tableau ci-dessous des performances comparĂ©es de l’annĂ©e, sur 1 an, 3 ans et 5 ans des fonds « Ă©cologie Â» « Ă©nergies alternatives Â» et « Ă©nergies (fossiles) Â», confirment bien, hormis depuis 1 an avec les accords ponctuels temporaires de l’Opep, le net avantage sur la durĂ©e des fonds Ă©cologie puis Ă©nergies alternatives et renouvelables.

**Les meilleurs fonds écologie font prÚs de 13% annuels depuis 5 ans. **

Meilleurs fonds Ecologie sur année, 1 an, 3 ans, 5 ans en % :

Nordea 1 - Global Climate and Environment Fund BP EUR LU0348926287 + 17,82 + 19,86 + 47,68 ** + 118,14**

Ecofi Enjeux Futurs C FR0010592022 + 2,59 + 4,71 + 42,41 + 115,08

Parvest Global Environment Classic-Capitalisation LU0347711466 + 15,16 + 17,77 + 35,71 + 98,60

UBS (Lux) - Global Sustainable Innovators (EUR) P LU0130799603 + 15,01 + 17,68 + 40,73 + 89,84

Parvest Climate Impact Classic-Capitalisation LU0406802339 + 16,21 + 17,94 + 38,42 + 89,12

Meilleurs fonds énergies alternatives

BlackRock Global Funds - New Energy Fund A2 LU0124384867 + 4,53 + 6,18 + 26,38 + 59,74

BlackRock Global Funds - New Energy Fund A2 EUR LU0171289902 + 4,75 + 5,81 + 26,39 + 59,65

Pictet-Clean Energy P EUR LU0280435388 6,48 + 7,38 + 17,00 + 54,11

Meilleurs fonds énergies (fossiles)

SG Actions Energie C FR0000423147 + 29,21 + 31,58 + 7,52 + 25,19

Amundi ETF MSCI Europe Energy UCITS ETF FR0010930644 + 30,04 + 36,92 + 13,97 + 23,10

Lyxor UCITS ETF Stoxx Europe 600 Oil & Gas FR0010344960 + 26,82 + 32,56 + 11,61 + 21,02

Parvest Equity World Energy Classic-Capitalisation LU0823414635 + 37,21 + 40,20 + 4,29 + 15,63

Bonjour,

Il est plus intĂ©ressant d’utiliser des panneaux « hybrides Â» (PV + thermique) si l’on veut rĂ©cupĂ©rer plus de 80% de l’énergie solaire ! et ils ne sont gĂ©nĂ©ralement pas chinois ! (Dualsun, Systovi etc - panneaux - sont français, Nelskamp - tuiles solaires - allemand etc)

Vus les prix de certains matériaux le recyclage du solaire est rentable ce qui devrait éviter les dérives :

http://lenergeek.com/2017/03/28/recyclage-des-panneaux-solaires-veolia/

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