Actualités de l'immobilier et marché

pour les parts de SCPI c’est assez complexe puisqu’il y a en général de nombreux biens et que ceux ci sont " expertisés " pour déterminer la valorisation globale .

ce que je peux dire de ma petite expérience c’est que là où j’investis , les biens sont rares et je n’ai même pas le temps d’aller visiter qu’ils sont déjà vendus.

en 3 mois ca fait 3 biens différents que je n’ai pas eu le temps de visiter . à peine l’annonce en ligne et déjà vendu ( donc je suppose sans négo au niveau du prix ).

2 petits appart et un immeuble de rapport qui comportait 3 apparts et un local commercial au rez de chaussée …partis comme des petits pains

qui a dit que les investisseurs se désintéressaient de l’immo ? ce que je vois ne vas pas dans le sens de la baisse des prix .

je m’auto réponds …j’en reviens pas …

je réfléchis sur un dossier qui est mis en ligne vendredi …je prends RDV pour visiter mardi soir ( demain ) et pof …début d’AM trop tard c’est vendu…

ca part comme des petits pains …

mais où sont ceux qui nous prédisaient une catastrophe immobilière ?

bon a force d’opiniatreté j’ai réussi à faire une offre qui vient d’etre acceptée …mais c’est dur dur de trouver des biens qui ne se vendent pas dans la journée …

l’agent immobilier m’a expliqué que les investisseurs de la grande métropole située à 80km trouvant les prix trop élevés chez eux , viennent chasser sur nos terres et achètent sans meme se déplacer …

A propos des aides fiscales à l’investissement immobilier:

https://www.cbanque.com/actu/67670/la-cour-des-comptes-juge-les-dispositifs-pinel-et-scellier-couteux-et-inefficaces

Couteux pour les finances publiques, et certainement plus profitable aux promoteurs qu’aux particuliers investisseurs …

…Cette politique des banques permet-elle d’amortir la hausse des prix de l’immobilier, ou au contraire contribue-t-elle à la nourrir ? la poule ou l’oeuf ?

heureusement ca ne sera pas le 1er rapport à passer aux oubliettes …

comment vont ils faire pour fiancer les manque cruel de résidences séniors et EHPAD s’ils suppriment le LMNP ? …

on voit encore là l’incompétence des "experts " qui ne comprennent pas que tes des dominos , quand on en bouge un , ils bougent tous .

Bonjour Lindes, je suis surpris que tu n’aies pas relevé une des propositions vers la fin de l’article !!! … je cite:

« Interdire l’imputation des déficits fonciers sur les autres revenus et celle des intérêts d’emprunt sur le revenu imposable. »

Ceci dit, tu as raison, les rapports oubliés foisonnent (là, cela ressemble plutôt à un « brainstorming » décousu), mais bon « semez, semez… »

[quote=jrb2]

oui je l’avais lue mais comme je pense que ce rapport ne donnera pas lieu à une suite , je ne vais pas réagir .

avec le temps j’en ai vu passer des projets et des « idées » , mais au final on doit toujours s’attendre à un certain immobilisme .

la seule vraie nouveauté que je trouve marquante de ces 10 dernières années est peut être le PFU à 30% . à part ca je n’ai jamais vu une niche fiscale supprimée ou qui ne soit remplacée par une qui soit équivalente ( dans l’immobilier ).

et ce n’est pas nouveau .

je me souviens que mon 1er investissement locatif défiscalisant je l’ai fait sur Mérignac dans la fin des années 90 .

je l’ai revendu en 2008 avec une belle PV ( ne me demandez pas combien je ne me souviens plus des chiffres exacts ).

** L’impact du télétravail sur le marché des bureaux **
23 juin 2020/par Guy Marty

l immobilier toujours plus cher ? vidéo
Vidéo - Après 1 an de Covid, l'immobilier toujours plus cher? - Boursorama

30.07.09 Marché de l’immobilier : une demande encore très fragile en 2009 selon HSBC

Les transactions de logements « restent faibles » et la légère hausse constatée au printemps, notamment grâce au dispositif Scellier qui a surtout permis de réduire les stocks de logements neufs, « ne suffit pas à anticiper un renversement du marché ».

Dans sa dernière note de conjoncture, la banque HSBC se veut encore très prudente sur la reprise du marché de l’immobilier en 2009. La demande de logements est « encore très fragile » et « est de plus contrainte par l’évolution du marché du travail : la remontée du chômage fait en effet peser une incertitude sur les revenus futurs qui renforce l’aversion au risque et donc l’attentisme ».

S’agissant des prix, les analystes de HSBC estiment que la baisse devrait persister mais sans s’amplifier. Ils anticipent toujours un recul de 7 % en moyenne pour les logements anciens et de 5 % pour le prix des logements neufs.

DEE CA 07.09 Analyse des tendances dans l’immobilier neuf et ancien, en France et en Angleterre.

Il devrait y avoir en 2010 un retour graduel des acheteurs et des baisses de prix plus modérées dans l’ancien.

Dans le neuf, le relatif rebond des ventes et la réduction de l’offre pourraient même permettre une stabilisation des prix.

http://kiosque-eco.credit-agricole.fr/medias/ECO_Immo_Juillet_2009.pdf

03.09.09 Point de vue d’E. Carmignac sur l’immobilier France :

Est-ce le moment d’acheter de la pierre ?

Ce n’est concevable que si on a envie de vivre chez soi. On peut aussi acheter une résidence secondaire, pour se faire plaisir. Mais je ne vois pas vraiment l’intérêt de l’investissement locatif aujourd’hui. Pourquoi ? Parce que d’un point de vue général, l’immobilier est trop cher par rapport au pouvoir d’achat disponible des ménages. La pierre ne peut donc plus remplir son rôle de protection de l’épargne sur long terme, à moins d’une forte reprise de l’inflation. Et ce n’est pas notre scénario.

http://www.challenges.fr/magazine/encouverture/0178.021339/?xtmc=carmignac&x%20tcr=2

18.09.09 « Nous sommes à l’an un de la baisse des prix » dans l’immobilier :

Pour Alexandre Mirlicourtois, directeur des études économiques au sein du cabinet de conseils Xerfi, l’immobilier est clairement entré dans un nouveau cycle. Les prix des transactions devraient encore diminuer durant plusieurs années.

Les prix de l’immobilier ont baissé de 7,8% en un an à Paris. Pour les notaires d’Ile-de-France, il s’agit de la plus forte baisse depuis 1995. Quelle est votre analyse ?

Première observation : les prix de l’immobilier sont en baisse dans tous les arrondissements. Seconde observation : le recul des prix est désormais une tendance nationale.

Cela veut-il dire que nous sommes entrés dans un nouveau cycle immobilier ?

Oui. Nous nous situons clairement dans un changement de cycle. En 2009, nous sommes à l’an un de la baisse des prix. Ce recul intervient après un cycle de forte hausse, entre 1997 et 2007, qui a déconnecté les prix immobiliers de la réalité économique.

Le retournement du marché n’est donc pas dû à la crise économique, mais à une déconnection avec les revenus des Français ?

Ceux qui pensent que c’est la crise qui a retourné le marché de l’immobilier se trompent. Dès 2008, des premières alertes sont apparues, indépendamment de la situation économique. On peut cependant mettre sur le compte du marasme économique une partie de l’ampleur du retournement. La crainte de perdre son emploi ou la baisse du moral des ménages ne favorisent pas les transactions immobilières.

Pourtant les taux des crédits sont au plus bas, cela pourrait inciter les acheteurs à franchir le pas ?

Les taux d’intérêts peuvent jouer, mais c’est un facteur mineur. Quelqu’un qui perd son emploi ne va pas acheter un logement car les taux sont bas. Surtout, les dossiers de demande de crédit ne passent pas auprès des banques. Même si ces dernières ne changent pas leurs conditions d’attribution, les dossiers sont moins bons, du fait d’un environnement économique dégradé.

L’économiste Jacques Friggit a développé la théorie du tunnel. Selon lui, les prix de l’immobilier et le revenu des Français sont liés. Ils avancent ensemble dans un tunnel. Lorsque le prix de l’immobilier sort du tunnel, il y revient forcement quelques années plus tard. Selon ses analystes, le prix des transactions est sorti du tunnel depuis l’an 2 000. Les prix devraient donc reculer de 40% dans les 5 à 7 ans pour y retourner. Qu’en pensez-vous ?

L’analyse de Jacques Friggit est bonne, mais j’y oppose un argument sur l’ampleur de la baisse. Car la structure des crédits a changé. La durée d’un emprunt s’est allongée : aujourd’hui 27% des prêts courent sur 25 ans ou plus. Ce phénomène a permis aux ménages d’accepter une partie de la hausse. Il devrait donc limiter la baisse.

Les loyers reculent aussi. Le marché locatif est-il lié à celui des transactions ?

Le marché locatif est principalement influencé par le climat économique. De plus, beaucoup de biens immobiliers destinés à la vente ne trouvent pas preneur. Ils sont donc mis à la location. Cela étoffe l’offre et le choix des locataires.

La baisse des prix va-t-elle se poursuivre ?

Je ne vois pas comment à court terme, le cycle pourrait se retourner, du moins d’ici à la fin de l’année 2010. L’avantage est clairement dans le camp des acheteurs et des locataires.

Bonsoir à tous

Immobilier en Europe: l’Espagne sinistrée, la France encore chère, l’Allemagne bon marché (SP)
vendredi, 26 juil. 2013 à 17:11

Dans une Europe en crise, les prix de l’immobilier résidentiel devraient baisser en 2013 et 2014, en particulier dans une Espagne en récession ou en France, encore chère, mais pas en Allemagne, qui demeure bon marché, selon une étude de Standard and Poor’s.

Selon les estimations de l’agence de notation, l’Espagne devrait accuser la baisse la plus prononcée (-8%) cette année, suivie des Pays-Bas (-5,5%), de la France (-4%), du Portugal (-3,5%) et de l’Italie (-3%).

En Espagne, le marché immobilier demeure plombé par une économie en récession, un stock de logements invendus très élevé (635.000 à fin 2012), un chômage record (27,1% au premier trimestre) et un endettement des ménages qui se résorbe très lentement, détaille SP.

Dans ce contexte, et même si certains indicateurs – consommation des ménages, ventes au détail… – laissent augurer une « stabilisation progressive dans les 12 mois à venir », les fondamentaux du marché demeurent défavorables.

« Le rythme auquel la Sareb (la structure de défaisance créée afin d’assainir le bilan des établissements financiers du pays, NDLR) va remettre sur le marché ces logements invendus, influencera directement les prix dans les années à venir », note SP. Après une chute de 28,4% depuis leur pic du mois de mars 2008, les prix de l’immobilier espagnol devraient reculer de 8% cette année.

Au Portugal, lui aussi en sévère récession, les prix ne devraient se contracter que de 3,5% en 2013, dans la mesure où ils avaient peu augmenté entre 1990 et le début de la crise financière mondiale, en 2007. Et ils devraient se stabiliser l’an prochain (-0,5%), estime SP, tablant sur une amélioration de l’économie portugaise.

La mauvaise conjoncture économique, la hausse du chômage et la perte de confiance des ménages devraient aussi entraîner un recul des prix aux Pays-Bas (-5,5%) et en Italie (-3%) en 2013, selon le scénario de l’agence de notation américaine.

Si la France affiche elle aussi des indicateurs économiques en berne, son marché immobilier demeure « très cher et n’est qu’au début de sa phase de correction », analyse SP, jugeant que « les primo-accédants aux revenus modestes souffriront le plus pour pénétrer le marché de l’immobilier résidentiel ».

« La baisse des taux d’intérêt des prêts immobiliers, l’augmentation constante des prêts immobiliers concédés par les institutions financières françaises, et le déséquilibre entre l’offre et la demande de logement », expliquent ce maintien de prix élevés dans l’Hexagone.

En Irlande, après une correction de l’ordre de 50% en six ans, le marché immobilier devrait voir ses prix se stabiliser (-0,9%) cette année et l’an prochain.

A l’opposé, le marché immobilier allemand – sous évalué de 20% selon certains indicateurs – devrait continuer de croître de 3% en 2013, prédit SP, qui prévoit aussi une hausse de 2,5% au Royaume-Uni et de 0,5% en Belgique.

ref/mch/cb/az

© 2013 AFP

Bonjour Gilles

Au niveau des crédits immobiliers je viens de clôturer mon dossier

Tu peux :
Société Générale : 1.30 pour 10 ans
Caisse d epargne : 1.7 pour 10 ans

Par contre attention ne pas faire fixation sur le taux il faut regarder l ensemble

Bonne journee

Logements neufs: les ventes des promoteurs s’envolent début 2015
AFP le 21/05/2015 à 07:30, mis à jour à 07:44

Les ventes de logements neufs des promoteurs se redressent depuis six mois, et celles réalisées auprès d
Les ventes de logements neufs des promoteurs se redressent depuis six mois, et celles réalisées auprès des investisseurs particuliers s’envolent même de 60% au premier trimestre sur un anr ( AFP/Archives / Philippe Huguen )

Les ventes de logements neufs des promoteurs se redressent depuis six mois, et celles réalisées auprès des investisseurs particuliers s’envolent même de 60% au premier trimestre sur un an, incitant les professionnels à l’optimisme.

De janvier à mars, les ventes de logements neufs ont progressé de 10,4% sur un an, à 25.826 logements, selon les chiffres publiés jeudi par la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI).

Parmi elles, les ventes au détail de logements neufs ont bondi de 20% tandis que les ventes en bloc reculaient en revanche de 23% sur un an, et celles de logements en résidences services baissaient de 7,7%.

Déjà au dernier trimestre de l’an dernier, les ventes de logements neufs avaient progressé de 12,5%, faisant naître un espoir de reprise dès 2015, pour un marché sinistré ces dernières années.

Cette reprise est pour l’instant portée par les investisseurs particuliers, auprès desquels les ventes ont bondi de 59,4% tandis que les ventes aux accédants à la propriété régressaient de 3,3%, en dépit de taux d’intérêt toujours très bas.

Les ventes aux investisseurs ont été relancées dès le mois de septembre, grâce aux assouplissements apportés au dispositif fiscal Pinel (ex-Duflot), rappelle la FPI.

« Les besoins sont là, la confiance commence à revenir, le contexte macro-économique est plus favorable », souligne le président de la FPI François Payelle, mais le redémarrage des ventes aux investisseurs n’est « que le premier étage de la fusée ».

Toutefois, « pour consolider ce début de reprise », il faut que s’y ajoutent « les deux autres étages », l’accession à la propriété, et un lancement de nouveaux projets « en nombre suffisant, permettant enfin de répondre à la demande ».

De leur côté, les mises en vente ont progressé de 6,5% au premier trimestre sur un an, pour concerner 20.969 logements, contre 19.683 à la même période un an plus tôt.

Elles demeurent toutefois bien inférieures à leur niveau des années 2011-2012 (environ 28.000), ce qui « témoigne du net ralentissement de la construction observé au cours de l’année 2014 », dit la FPI.

Les prix de vente des logements sont restés quasi stables (-0,6%) à 3.945 euros le m2 en moyenne en France, sur les trois premiers mois de l’année, avec des évolutions très disparates d’une agglomération à l’autre.

Ils ont progressé de 7,6% à Montpellier et 7,1% à Rennes, tandis qu’ils baissaient de 14,5% à Caen et de 13,5% à Arcachon.