SCHRODERS

Vers une reprise des marchés émergents

Bonsoir Ă  tous

StratĂ©gie d’investissement Mai 2014

Bonne lecture

Saisir les opportunités sur les marchés obligataires internationaux

Se prĂ©parer Ă  la hausse des taux d’intĂ©rĂȘt

StratĂ©gie d’investissement mensuelle
de l’équipe de gestion diversifiĂ©e de Schroders / Juin 2014

** " we favour the US, Japan and Emerging Markets " **

Opinions mensuelles – AoĂ»t 2014

[b]" Mise à jour des prévisions : la reprise se confirme mais les vents contraires persistent (page 2)

‱ Nous avons abaissĂ© nos prĂ©visions de croissance mondiale pour 2014 et 2015 respectivement Ă  2,6% et 2,8 %, en raison de perspectives peu rĂ©jouissantes comparativement aux cycles passĂ©s. La dĂ©gradation pour 2014 reflĂšte un effet de base suite Ă  un premier semestre faible et des rĂ©ductions modestes sur le second semestre Ă  la fois aux Etats-Unis et dans la zone euro. Pour 2015 nous pensons que les vents contraires structurels vont persister, et conduire notamment Ă  une moindre performance du cĂŽtĂ© de l’offre aux Etats-Unis du fait de tendances dĂ©mographiques et de productivitĂ© dĂ©favorables. Nous percevons les dĂ©ceptions passĂ©es sur la croissance amĂ©ricaine davantage comme un Ă©lĂ©ment fondamental plutĂŽt qu’une suite de consĂ©quences d’évĂšnements malheureux.

‱ De telles perspectives aux Etats-Unis signifient que le taux de chĂŽmage devrait Ă  nouveau diminuer et l’inflation accĂ©lĂ©rer en 2015 avec la pression sur les coĂ»ts, et inciter la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale (Fed) Ă  dĂ©marrer une normalisation des taux en milieu d’annĂ©e. La Banque d’Angleterre (BoE) est susceptible de rejoindre la Fed dans sa politique de resserrement, mais la Banque Centrale EuropĂ©enne (BCE) et la Banque du Japon (BoJ) devraient renforcer leurs politiques monĂ©taires accommodantes.

‱ Notre scĂ©nario de risques reste orientĂ© Ă  la baisse en raison de la dĂ©flation au sein de la zone euro, et d’une aggravation de la crise Russie-Ukraine qui pourrait constituer la principale incertitude.

Europe : augmentation des risques baissiers (page 8)

‱ La faiblesse de la croissance et de l’inflation dans la zone euro constitue une prĂ©occupation qui nous a conduits Ă  abaisser nos prĂ©visions de croissance et d’inflation. Cependant, les marchĂ©s semblent ĂȘtre solides, portĂ©s par la conviction que la BCE pourrait dĂ©voiler son propre programme d’assouplissement quantitatif (QE).

‱ Le Royaume-Uni continue de rĂ©sister Ă  la tendance en Europe en affichant toujours une forte croissance. On peut penser qu’il y aura un lĂ©ger ralentissement vers la fin de l’annĂ©e en raison d’une faible croissance des salaires et d’un ralentissement du marchĂ© du logement. Cependant, la banque d’Angleterre devrait continuer Ă  prĂ©parer les marchĂ©s Ă  la perspective d’une hausse des taux d’intĂ©rĂȘt.

Mise à jour des prévisions pour les marchés émergents : politiques monétaires et Politique (page 13)

‱ C’est l’ensemble des politiques monĂ©taires et de la Politique (tout court) qui a pesĂ© sur nos rĂ©visions de croissance des marchĂ©s Ă©mergents : les sanctions Ă  l’encontre de la Russie, les Ă©lections au BrĂ©sil, les interventions en Chine et les efforts de rĂ©forme en Inde sont autant d’élĂ©ments qui auront un impact sur la croissance de la zone. "[/b]

Bonjour Ă  tous

L’intĂ©rĂȘt de ce point est de rejoindre l analyse de FidĂ©lity postĂ©e par Didier6 et de donner lĂ  aussi les consĂ©quences et rĂ©percussions.

Bonne lecture

Bonjour Ă  tous

et bonne lecture

L'économie japonaise devrait passer à la vitesse supérieure en 2015

Bonsoir Ă  tous

Asie toute

Bonsoir Ă  tous

Allocation décemb 2014

Bonne lecture

Et voila

Un peu de lecture

Bonsoir Ă  tous

Point sur les convertibles

Bonne lecture

Bonjour Ă  tous

Allocation d’actifs Schroeders 4/2015

Bonne lecture

Bonjour Ă  tous

« Les entreprises envoient Ă©galement des signaux positifs. En Europe, la saison des rĂ©sultats des sociĂ©tĂ©s europĂ©ennes a Ă©tĂ© relativement positive. Les chiffres d’affaires et les bĂ©nĂ©fices se sont globalement amĂ©liorĂ©s. L’augmentation des ventes indique notamment que les gains de rentabilitĂ© ne sont pas simplement dus Ă  des mesures de rĂ©duction des coĂ»ts. En outre, la croissance des chiffres d’affaires n’a pas Ă©tĂ© dictĂ©e seulement par des taux de change favorables ; de nombreuses entreprises europĂ©ennes ont fait Ă©tat d’une accĂ©lĂ©ration de leur croissance organique s’expliquant par le rebond de la demande sous-jacente.
A noter Ă©galement que l’impact favorable attendu de la baisse des prix du pĂ©trole sur la consommation ne s’est pas encore entiĂšrement matĂ©rialisĂ©. Tous ces facteurs devraient encore soutenir les actions de la zone euro et la volatilitĂ© liĂ©e Ă  la situation de la GrĂšce pourrait fournir des points d’entrĂ©e intĂ©ressants sur la classe d’actifs. Â»

Bonsoir Ă  tous

Allocation juillet 2015 : Actions Us en 1er; Europe; Japon

Bonne lecture

Bonjour Ă  tous


Selon nous, les rĂ©sultats qu’obtiendront les partis au pouvoir dĂ©pendront des performances Ă©conomiques lors des prochains mois. L’Espagne et le Portugal ont mis en oeuvre des rĂ©formes structurelles bien plus tĂŽt que d’autres (comme l’Italie et la France) ; par consĂ©quent, ils en rĂ©coltent dĂ©jĂ  les avantages : le PIB espagnol devrait enregistrer son taux de croissance le plus soutenu depuis 2007 (2,8 %) et le PIB portugais son taux le plus Ă©levĂ© depuis 2010 (1,6 %). L’accĂ©lĂ©ration de la croissance espagnole, qui est vraiment palpable depuis le mois d’avril, a coĂŻncidĂ© sans surprise avec un redressement du soutien accordĂ© au parti de Mariano Rajoy. Bien que les taux de chĂŽmage restent un vrai problĂšme dans les deux pays, ils ne sont plus aussi Ă©levĂ©s et diminuent plus rapidement que ceux des autres pays de la zone euro.
Les mesures radicales déployées pour


Bonne lecture

Cette sociĂ©tĂ© de gestion a collectĂ© en France plus de 800 millions d’euros en 2016


Publié le 7 Février 2017

La société de gestion Schroders a organisé sa conférence annuelle à Paris la semaine derniÚre

Schroders gĂšre 433,5 milliards d’euros d’encours. La sociĂ©tĂ© est prĂ©sente dans 27 pays avec plus de 4000 collaborateurs dont prĂšs de 500 dĂ©diĂ©es Ă  la gestion de portefeuille.

La conférence a été ouverte par Karine Szenberg, Directeur Général de Schroders France, qui a mis en avant le développement du bureau parisien.

Celui-ci est rapidement passĂ© de 14 Ă  28 personnes, accompagnant une collecte nette de 800 millions d’euros en 2016 portant l’encours Ă  5,5 milliards en France notamment sur le crĂ©dit mais aussi sur les expertises absolute return et infrastructures.

Il regroupe une Ă©quipe de distribution au service d’une clientĂšle professionnelle (institutionnelle et distribution intermĂ©diĂ©e) ainsi que deux expertises d’investissement : immobilier et dette infrastructures.

A noter Ă  ce titre qu’un pĂŽle dĂ©diĂ© Ă  la dette infrastructure a Ă©tĂ© créé Ă  Paris en 2015, avec une Ă©quipe de 8 personnes au service d’une clientĂšle mondiale. Les encours confiĂ©s Ă  l’équipe dĂ©diĂ©e aux financements d’infrastructures atteignent prĂšs d’un milliard d’euros. L’expertise en immobilier cumule 720 millions d’euros.

Anticipations prudentes pour 2017...

Azad Zangana, économiste et stratégiste senior, a partagé son analyse des évolutions, perspectives et enjeux macroéconomiques pour 2017.

Il constate que le Brexit, l’élection de Donald Trump et le rĂ©fĂ©rendum en Italie ont contribuĂ© Ă  crĂ©er un climat d’incertitude sur les politiques Ă©conomiques dĂ©sormais Ă  son plus haut niveau.

L’économiste Ă©met des doutes sur les politiques budgĂ©taire, commerciale et Ă©conomique menĂ©e par le PrĂ©sident Trump, qui annonce par exemple la crĂ©ation de 25 millions de nouveaux emplois quand les besoins potentiels totalisent au mieux 11,5 millions de postes. Il met ainsi en garde sur les Ă©ventuelles dĂ©ceptions Ă  venir.

En Europe, Azad Zangana alerte sur le retour du risque politique, avec de nombreuses Ă©chĂ©ances Ă©lectorales au cours de l’annĂ©e (Pays-Bas, Allemagne
). « La probabilitĂ© de victoire du Front National en France est faible mais elle aurait un impact extrĂȘme sur le marchĂ© » selon lui.

CĂŽtĂ© Ă©mergents, le stratĂ©giste estime qu’il y a du progrĂšs sur ces marchĂ©s mais que le dollar fort devrait pĂ©naliser certains pays. Il prĂŽne ainsi une gestion active et sĂ©lective sur cet univers.

Des risques potentiels sur l'obligataire...

Philippe Lespinard, Directeur de la gestion obligataire, a poursuivi en dressant une feuille de route pour 2017 et mettant en exergue trois thĂšmes de long terme qu’il prĂ©sente comme des risques sur ces marchĂ©s.

Il tient notamment un discours trĂšs sĂ©vĂšre sur l’Italie, le qualifiant de « pire pays de l’UE » et « maillon faible de l’Europe » si l’on excepte la GrĂšce. « C’est le pays oĂč un accident politique peut arriver » explique-t-il.

Opinion similaire sur la Grande-Bretagne qui se trouve dans « une position vulnérable » avec une croissance déséquilibrée selon Philippe Lespinard qui « craint un ralentissement ».

Enfin, il dĂ©crit la « trinitĂ© impossible » de la Chine : l’équilibre instable du taux de change, du taux d’intĂ©rĂȘt et de la croissance du crĂ©dit.

Ainsi, « la volatilité va monter, ce qui est une bonne nouvelle pour les gérants actifs » conclut le Directeur de la gestion obligataire qui privilégie les gestions flexibles et non contraintes, les convertibles mondiales, la titrisation de bonne qualité, les bancaires américaines et la dette privée.

Émergents : des opportunitĂ©s Ă  condition d'ĂȘtre sĂ©lectifs...

Deux experts des marchĂ©s Ă©mergents ont Ă©galement prĂ©sentĂ© leurs perspectives d’investissement.

Abdallah Guezour, Gérant Dette émergente, évite la dette en devise dure mais remarque des poches de valeur à exploiter sur la dette locale (Argentine, Brésil, Mexique, Indonésie, Russie et Afrique du Sud). « Un certain nombre de ces pays sont mieux équipés pour faire face à des chocs exogÚnes » a-t-il commenté.

Karine Szenberg a profitĂ© de sa prĂ©sence pour lui demander ce qu’il « attend comme performance en 2016 ? Juste un chiffre ». La rĂ©ponse fut tout aussi concrĂšte : « on pourra faire des rendements de l’ordre de 8% Ă  10% sur notre fonds de dette Ă©mergente en 2017. 1/3 sur le « carry Â», 1/3 sur le « capital appreciation Â», 1/3 sur les devises ».

MĂȘme question pour Tom Wilson, Responsable de l’équipe Actions Ă©mergentes, plus mesurĂ© mais qui attend nĂ©anmoins une croissance du bĂ©nĂ©fice par action sur sa classe d’actifs de l’ordre de 10% Ă  15%. « But nobody like that question » ajoute le gĂ©rant qui met en relief des valorisations et un positionnement attractifs l’amenant Ă  surpondĂ©rer la Russie, le BrĂ©sil, la CorĂ©e, la Hongrie, les Émirats arabes unis et l’Argentine.

La gestion alternative comme vecteur de diversification...

Schroders est également reconnue en France pour son expertise sur les stratégies long-short.

Lionel Rayon gĂšre le fonds Schroder ISF European Alpha Absolute Return et nous explique qu’il faut « s’intĂ©resser Ă  ce type de stratĂ©gies quel que soit le contexte de marchĂ© ».

L’intĂ©rĂȘt majeur rĂ©side dans la dĂ©corrĂ©lation qu’elles apportent dans un portefeuille par rapport aux actifs traditionnels « qui semblent pleinement valorisĂ©s et risquent de subir des Ă©pisodes difficiles » prĂ©cise le gĂ©rant.

« IntĂ©grer des solutions alternatives liquides dans des portefeuilles plus traditionnels permet une meilleure diversification face Ă  une allocation long only, un potentiel d’amortissement Ă  la baisse en pĂ©riode de stress des marchĂ©s et une amĂ©lioration du profil de rendement/risque » complĂšte Benoit Leandri, SpĂ©cialiste produits de l’équipe Quantitative Equity Product, « notre boulot n’est pas de prĂ©dire les marchĂ©s mais de nous y adapter et de bĂ©nĂ©ficier de la volatilitĂ© ».

La sociĂ©tĂ© dĂ©crit la gestion alternative comme ayant pour objectif de proposer des stratĂ©gies diffĂ©rentes et non de faire du timing de marchĂ©. « Sinon, autant prendre un ETF et faire du levier » n’hĂ©site pas Ă  dire Lionel Rayon qui regrette que les investisseurs s’intĂ©ressent surtout Ă  son fonds « quand ils ont les chocottes ».

Une façon de rappeler que cette gestion n’est pas uniquement utile en pĂ©riode de stress mais peut s’intĂ©grer dans tout portefeuille diversifié