Bonsoir Ă tous.
Comme en 2013, 2014, afin de mieux préparer l’année 2015, idées des gérants et de nous aussi, perspectives …
Bonne lecture
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Revue des grandes classes d’actifs (2015)
Pour un investisseur en euros, il était de bon ton d’être exposé aux actions japonaises, américaines ainsi qu’aux petites et moyennes valeurs et aux obligations périphériques de la zone euro.
Jocelyn Jovène | 14/12/2015
L’année 2015 s’est en grande partie faite sur la capacité à bien prévoir… l’évolution des devises : quand les actions européennes ont, au global, rapporté un peu plus de 3% depuis le début de l’année, les actions américains (S&P 500, NASDAQ) ont rapporté entre 7% et 14% en euros, les actions japonaises (TOPIX) a bondi de 18%. Les valeurs moyennes européennes (Stoxx Europe Mid 200) ont bondi de près de 15% depuis le 1er janvier.
En revanche, les actions émergentes (MSCI Emerging Markets) ont chuté de 11%, mais derrière cette correction, les actions de Shanghai (CSI 300) ont bondi de 11% quand celles de Hong-Kong ont cédé 1%.
Dans l’univers obligataire, il fallait faire preuve d’un bon timing. Rappelons que jusqu’en avril, le rendement à 10 ans du Bund n’a cessé de reculer avant de rebondir violemment en avril sur des éléments techniques – notamment l’excès de positions pariant sur une poursuite de la baisse du Bund et faible capacité d’absorption du marché (manque de liquidité).
Depuis le début de l’année, le rendement à 10 ans du Bund a pris 2 points de base à 0,57% (sur la base des cours du 11 décembre), quand le 10 ans américain s’est apprécié de 4 points de base à 2,23%. Ces évolutions modestes illustrent les incertitudes sur la croissance des principales zones économiques de la planète, même si les statistiques (chômage aux Etats-Unis, distribution de crédit et consommation domestique en Europe) confortent à ce stade la thèse d’une reprise toujours molle de l’activité.
Les anticipations d’inflation sont en revanche toujours sous pression, notamment aux Etats-Unis où elles sont toujours sous les 2% (1,82% le 10 décembre selon la Fed) et expliquent vraisemblablement pourquoi les rendements obligataires ont du mal à remonter plus fortement. Là encore, la situation pourrait évoluer, certains économistes estimant qu’à partir de l’an prochain, les effets de base soutiendront une remontée des indices de prix à la consommation.
Détenir de la dette des pays périphériques de la zone euro (Portugal, Italie en particulier) n’était pas une mauvaise affaire, puisque les rendements à 10 ans de ces pays ont reculé de 31 points de base à 1,55% pour l’Italie et 2,43% pour le Portugal. Le rendement espagnol, s’il n’a baissé que de 4 points de base depuis le 1er janvier, offre 1,63% de rendement, soit 60 points de base sous le rendement à 10 ans américain…
La Grèce, qui a connu un parcours très volatil sur fond de nouveau sauvetage à l’été dernier, a finalement vu le rendement à 10 ans de sa dette reculer de 95 points de base, à 8,45%.
Dans l’univers du crédit, l’écartement des spreads et les difficultés dans secteur de l’énergie ont pesé sur le haut rendement américain, qui perdait 2% à fin novembre (et 11% sur les tranches notées « CCC »).
Au sein de l’univers euro, les performances ont été inégales avec un gain de 0,4% à fin novembre pour le crédit de qualité (« Investment Grade ») et de 3,2% pour le haut rendement.
Parmi les grands perdants de l’année, il y a bien évidemment les matières premières, plombées par la chute du cours du pétrole. L’indice S&P GSCI perd 25% depuis le début de l’année après une chute de 32% en 2014 et de 1% en 2013 – chute en grande partie liée au pétrole, qui a plongé de respectivement 33% cette année et 43% l’année précédente.
Au sein des devises, le différentiel de croissance entre les Etats-Unis et l’Europe et la perspective d’une divergence des politiques monétaires des deux zones ont continué de peser sur l’euro. Mais les déclarations de la BCE début décembre semblent avoir mis un terme à cette tendance baissière de la monnaie unique.
Une fois encore le sort de la plupart des classes d’actifs reposera sur la politique de la Fed. La perspective d’un resserrement monétaire, mis en avant puis reporté à plusieurs reprises tout au long de l’année, a largement contribué à un regain de volatilité sur la plupart des classes d’actifs. Les marchés émergents (dette en dollars, devises et actions) ont le plus souffert de la communication de la Fed, mais d’autres classes d’actifs pourraient également en pâtir si la Réserve fédérale continue d’entretenir le flou sur ses intentions.
Performance en devises locales
Source: Factset, Morningstar.
L’année 2015 illustrée
Beaucoup de vues consensuelles ont marqué l’évolution des différentes classes d’actifs. Rapide aperçu en images.
Jocelyn Jovène | 14/12/2015
Volatilité. C’est sans doute l’un des mots qui résumera assez bien la performance des marchés financiers en 2015.
La volatilité s’emballe
Source : Factset, Morningstar.
Baptisé « indice de la peur », cet indicateur s’est envolé pendant l’été en pleine crise boursière liée à la Chine. Et la semaine dernière, alors que les marchés corrigeaient de nouveau, il s’est envolé de plus de 65%. Certes, on n’a pas observé les niveaux extrêmes atteints pendant la crise financière de 2008, mais le pic atteint en 2015 est inédit, et illustre plutôt bien les inquiétudes des investisseurs quant à l’avenir de la croissance économique mondiale – qui semble avoir le plus grand mal à se raffermir, en dépit des injections massives de liquidités des banques centrales.
Le pétrole s’effondre
Source : Factset, Morningstar.
C’est l’autre histoire marquante de 2015. Bonne nouvelle pour les pays consommateurs, beaucoup moins bonne pour les pays producteurs mais aussi pour les marchés car le pétrole joue un rôle non négligeable dans les anticipations d’inflation de nombreux pays développés. Après avoir chuté de 43% en 2014, le cours de l’or noir s’est effondré de 33% depuis le début de l’année pour retrouver les plus bas niveaux de 2009. Des banques influentes sur le marché des matières premières ont même estimé que le prix du pétrole pourrait encore chuter vers les 20 dollars.
Cette chute est la résultante d’un déséquilibre entre une demande qui croît moins vite que l’offre, elle-même subissant une guerre d’influence entre le bloc pas très uni de l’OPEP et les Etats-Unis, devenu le premier producteur mondial de pétrole. Les experts de Morningstar estimaient récemment que le cours du pétrole pourrait se stabiliser courant 2017.
Les actions européennes patinent
Source : Factset, Morningstar.
L’année 2015 a été l’année des actions européennes. Classe d’actifs très sous-pondérée dans les allocations jusqu’en 2013 et relativement décotée, elles bénéficient depuis l’an dernier d’un regain d’intérêt qui s’est traduit par des afflux de capitaux et une nette appréciation des multiples, à tel point qu’il s’agit d’un pari très consensuel aujourd’hui. Or, compte tenu des interrogations sur la croissance mondiale et d’une divergence des politiques monétaires, les actions européennes ont besoin de trouver un nouveau moteur de performance – reste celui des profits des entreprises dont l’allumage, espéré cette année, ne s’est guère manifesté.
Le dollar dans un canal haussier
Source: Factset, Morningstar.
Cela aura été l’autre grande histoire, elle aussi très consensuelle, de 2015… jusqu’à ce mois-ci. La perspective d’une divergence des politiques monétaires liées au décalage de cycle entre les Etats-Unis et les autres pays développés a largement profité au billet vert. L’euro, qui avait perdu 11% face au dollar en 2014, cède encore 9% depuis le début de l’année. La perspective d’une parité entre les deux devises était jusqu’ici encore largement anticipée par les investisseurs.
Le consensus était tel que certains d’entre eux ont été surpris lorsque, début décembre, Mario Draghi a déçu les attentes des marchés en n’augmentant pas le montant des achats mensuels d’actifs de la BCE, entrainant un rebond de la monnaie unique. Si la Fed décidait de ne pas relever ses taux directeurs, comme anticipé cette semaine par les investisseurs, cette nouvelle tendance d’appréciation de l’euro pourrait bien se poursuivre et s’amplifier.
La courbe américaine s’aplatit
Source: Factset, Morningstar.
L’autre pari très consensuel des investisseurs c’est bien évidemment la Fed, dont le marché attend un resserrement de la politique monétaire avec à la clef une remontée des taux longs. Ce pari, déjà formulé début 2014, ne s’est pas concrétisé. Il n’a guère fonctionné en 2015.
La hausse des taux directeurs s’est fait attendre et n’a pas encore pris corps. Pourtant depuis la fin du mois d’octobre, le rendement à 2 ans des bons du Trésor a bondi, s’appréciant de 30 points de base et de 26 points de base depuis le début de l’année. Sur les mêmes périodes en revanche, le 10 ans n’a progressé que de 14 et 4 points de base respectivement.
Tendance sudiste affirmée depuis le début de la semaine …qui n’est pas indolore et qui peut evidemment se prolonger … ou pas.
Un peu de recul pour relativiser, en considérant les performances YTD, et MTD … on constate effectivement que Mars prend la direction d’un mois « sans », et vraisemblablement d’un mois « Moins », comme le faisait remarquer Fabiobis.
Il n’en reste pas moins que le YTD reste parfaitement honorable, même si l’on s’attache très vite à nos PVs, comme le faisait remarquer Avvel
Alors que faire maintenant ?
1- « se mettre au vert » pour conserver ce qui peut l’être de la progression du trimestre , quitte à revenir plus tard ?
2- Ne rien faire en attendant de voir ce qui va se passer ensuite ?
3- Considérer que ce n’est qu’un creux passager, occasion au contraire de renforcer ?
Mon avis perso, qui n’a pas changé, est que cela dépend beaucoup de la composition de son portefeuille, de son exposition, de l’ancienneté des positions.
Avec une exposition importante, et récente, il faut peut-être songer à limiter la casse effectivement.
Avec une exposition plus prudente, je considère plutôt qu’il faut la conserver, et surveiller pour eventuellement renforcer, toujours avec mesure et pondération … à ce jour, la baisse ne me semble pas encore assez marquée pour le faire, et en tous cas pas globalement (à voir secteur par secteur).
My 2 cents …
Bonjour Fabiobis
Effectivement un risque, mais au risque de me répéter, cela dépend beaucoup de son expo (et aussi de son horizon) ....
Limiter la casse lorsque l'on est très exposé peut être sage, en particulier du côté des "danseuses" (...dans cette catégorie là , je range effectivement les Biotechs).
Il est également possible, et sans sortir, d'amortir une descente ultérieure en ajoutant quelques lignettes qui fonctionnent généralement en sens inverse .... bien que restant personnelement à l'écart des fonds "Bear" par principe, c'est une possibilité, ainsi que les fonds Or (en progression ces derniers jours, mais avec une ampleur moindre que la baisse de l'autre côté, et sont négatifs en MTD).
... et je reste aussi convaincu que les rotations à 180% amènent plus de risque sur le long terme que les ajustements progressifs, à savoir celui de cumuler les actions à contre-sens.
Par « horizon », je n’entendais pas les sommets de progression que tu vises pour ton bas de laine … mais horizon temporel … si tu comptes par exemple sur tes PVs pour payer ton 2ème tiers provisionnel !
Right, mais le point concernant la baisse de l’€ reste cependant interessant … d’ailleurs, plutôt que de baisse de l’€, il serait à mon avis plus juste de parler de hausse du $, celui-ci ne s’étant pas apprécié uniquement par rapport à l’€, mais relativement à une foule d’autre devises, entre autres côté Emergents
Bonjour Philippe91 … à vrai dire je n’écoute pas l’individu comme le messie, un son parmi d’autres, mais ma remarque était dictée par la distinction que je fais entre ce qui peut faire évoluer les marchés boursiers d’un côté, surtout ces temps derniers (et par conséquent nos bas de laine) , et l’économie réelle de l’autre … il y a souvent dichotomie entre intérêt personnel et intérêt collectif, même si dans un monde idéal, les 2 devraient se rejoindre !
Quant à prédire un crash … un jour … il aura forcément raison, et d’autres avec lui, un jour
Et pas qu’en 2015 !
Un article que j’ai trouvé interessant, sur la capacité de récupération d’un portefeuille en fonction de sa composition, lors d’un événement de type crack et dans les années qui suivent l’évenement (voir le tableau)
Bien sur les portefeuilles considérés sont « US centric » mais les constats et idées de base peuvent être étendus… et confirment quelques règles de bon sens, même si l’histoire ne se répète jamais à l’identique.
1- La diversification et l’équilibre sont importants (répartition entre grandes caps et autres, entre actions et obligations)
2- Après un crack, il ne sert à rien de liquider ce qui reste de sa poche actions, au contraire
3- « Reequilibrer » son portefeuille annuellement pour conserver sa répartition cible (ex, après un crack où le compartiment action a plus chuté que le compartiment obli, recharger le premier au détriment du second pour profiter de la remontée)
A méditer…
'Jour all, Morning, Guten Tag…
Fin de semaine toujours interessante .
La question "faut-il rester exposé aux actions ?", (du moins pour le moment " ayant été discutée plus haut, avec une tendance qui penche vers une réponse plutôt positive, avec un degré d'exposition que chacun établira en fonction de ce qu'il est prêt à perdre (ou de son avidité ) ... celle qui suit est le secteur à privilégier à l'intérieur de cette poche, ou les ajustements à y réaliser.
Surpondérer l'Europe semble recueillir de nombreux suffrages, pour différentes raisons, plus ou moins liées (QE, petits signaux positifs encore timides d'amélioration éco, baisse du cout du pétrole, baisse de l'€/$...).... et je suis plutôt d'accord.
D’un autre côté, faut-il abandonner totalement la portion US de la poche actions ? … pour ma part, après l’avoir allégée plus tôt dans l’année pour renforcer ailleurs sans accroitre significativement mon exposition globale, je ne réduis pas mes lignes US à 0 pour l’heure… malgré les soubressauts de la semaine passée, et la chute plus accentuée de vendredi, liée à l’angoisse que les chiffres de l’emploi n’induisent une remontée des taux plus tôt qu’anticipé (tiens, je croyais que c’était déjà dans les cours, cette remontée des taux à venir !).
La raison en est qu’au delà du souci de conserver une allocation un peu diversifiée, que les US donnent tout de même le ton la plupart du temps (et même si j’ai pu lire une démonstration non dénuée d’intérêt prédisant un CAC à 10000 dans 2 ans ailleurs sur ce forum ), le facteur change n’est pas un élément à négliger non plus, et quelques images comparant l’évolution du DAX comparé au SP500, du SP500 et de la parité €/$, et de mes lignes DWS Aktien Deutchland vs Vanguard US opportunities sur 1 mois, me montrent que la résultante intégrant le change n’est pas si différente … pour l’heure !
… A suivre !
Très juste pour CAC et DAX ce matin, sans préjuger de la suite … et pour ce qui est de Wall-Street, si S&P500, Dow et Nasdaq ont reculé hier, la parité €/$ a également reculé du même ordre de grandeur (cf mon post précédent dans cette file) .
Donc je reste sur la même position, à savoir ne pas s’affoler aux soubressauts au jour le jour.
Post Edit… les futures US sont d’ailleurs vertes à cet instant (11:30), ce qui n’augure pas de la suite de la journée évidemment, et l’€/$ continue à la baisse
lol…à la fin des années 90 le magasine MVVA avait posé cette question : " à quand le CAC à 10 000 pts " aux 10 "meilleurs " spécialistes de la place parisienne .
les plus optimistes avaient pronostiqué : 5 ans
les plus pessimistes avaient pronostiqué : 10 ans…
alors les prévisions des analystes …
Après il était sensé vendre des produits financiers avant tout . Voyant qu il s’ était complètement planté , il continue à marteler ses arguments sur le terrain économique . Il n’ a pas franchement tort sur tout , mais ses outrances , sa posture de jusqu’ au-boutiste le disqualifie pour moi . A force de crier au loup en permanence à la fin on n’ écoute plus …
Ceci JRB2 si tu Ă©tais vraiment convaincu par ses arguments , tu ne serais pas comme tous les autres ici , en assurance vie .
Un jour en effet ca va pêter et il vous dira " je vous l’ avais bien dit bande de crétins ! ’ car Delamarche appelle tous ceux qui ne pensent pas comme lui, des crétins…
En gros BFM utilise Delamarche comme un Georges Marchais de l’ économie, sorte de pantin qui sert à faire du buzz . Et lui ca lui donne une tribune à peu de frais
Oui tout le monde a compris que cette hausse des marchés actions et oblig est complètement artificielle et déconnectée de la réalité économique …
Mais quand l’ argent tombe tout seul , faut vraiment être idiot ou idéaliste pour ne pas le prendre ou en d autres termes tant que l orchestre joue la musique , on danse
Après il, comme d’ autres , finira par avoir raison à un moment ou à un autre mais d ici là on espère tous ici s’être rempli les poches
Pour le plaisir :
http://leseconoclastes.fr/olivier-delamarche/
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=> lĂ il faut fuir !
Un gars des éconoclastes comme Pierre Sabatier est nettement plus crédible car il n’ est pas là à faire son numéro de clown triste . Lui je l’ écoute
bonjour,
ce que je crains c’est qu’à trop attendre, la danseuse entame son régime weight watchers avant l’été… je le vois déjà sur l’Agregus pour cette semaine
J’ai l’impression que pour les traders, n’importe quel prétexte est désormais bon pour récupérer ses PV.
Souvenons nous ce qui s’était passé l’année dernière, pas d’arbitrage Morningstar, et PV qui ont fondu comme neige au soleil.
Je garde mes uc sous le coude (-10% pour sécuriser), mais pas rassuré pour la suite …
Côté expo je me base sur les UC agressif Linxea (max 40% jusqu’à présent), justement pour ne pas avoir à choisir par moi même . Lorsque j’ajoute des fonds, je conserve la même répartition. Idem lorsque je sécurise sur le fond euro. Je le fais donc « à la grosse louche ».
J’ajuste en fonction du feeling, quite à faire quelques allers / retours. Ayant plusieurs contrats je peux permettre de faire une baisse sur l’un tout en compensant sur l’autre. Je suis d’accord, ca n’est pas très fin, mais j’ai été échaudé l’année dernière (juillet je crois ?), où espérant une remontée… qui n’est pas venue, au final j’avais perdu toutes les PV (rattrapée en fin d’année).
Ma stratégie pour la fin de mois étant, si ca continue à baisser, je sécurise au fur et à mesure, sinon je remonterai petit à petit.
Je devrais peut etre prendre un profil moins agressif mais sur une plus grande partie du capital, les variations (et opérations) seraient moins intenses pour une PV similaire. Mais le fameux « QE » m’incite à prendre plus de risques… peut être à tort…
Pas d’horizon précis, en gros plus ça monte, mieux c’est
Les Bear, j’ai essayé aveuglément une seule fois en 2012 (sur les conseils du site topinvest95, mes premiers pas en AV). Résultat : -8% en 1 semaine… je n’ai pas réitéré… : les algos ne peuvent pas prévoir les interventions de Super Mario.
hi hi j’avais bien compris
Pas d’horizon temporel, le bas de laine devra servir d’apport pour un achat immo (souviens toi l’autre fil ).
L’apport monte, le prix des logements baisse, les 2 se rejoindront tôt ou tard… (enfin avec l’aide d’un bon crédit tout de même)
Bonsoir … je remonte un de mes propres posts après un petit tour « au vert » pendant lequel les indices sont passés au rouge ! … comme le faisait remarquer Avvel dans une autre file, on ne peut decidement pas s’absenter ! !!
Et la question posée précedemment reste d’actualité: où placer son seuil de ré-entrée… -5% (çà c’est fait), -10% .(çà y est presque) … -20 % … moins encore !!!
Toujours pas d’avis ?
C’est justement ce qui est expliqué dans le post précédent, non ?
Bonsoir,
Je rebondis ici sur ces pertinentes remarques postées dans une autre file ...
Sans préjuger de la suite la semaine prochaine du rouge qui a envahi le tableau des indices aujourd'hui, il est effectivement judicieux de se poser la question de la suite
Que l'on soit déjà depuis un moment en position d'attente d'une correction pour se replacer, déjà aux abris ou en train de s'y précipiter, que faire ensuite ?
1- Profiter sans attendre de ce début de coup de mou pour se renforcer (j'entendais encore ce matin un gestionnaire de portefeuille dire qu'il fallait profiter de toutes les occasions de le faire) ?
2- Attendre un peu que la correction s'accentue pour que cela vaille le coup .... **et alors où placer son seuil de ré-entrée (de mon point de vue progressive)... -5%, -10% .... ?**
3- Rester aux abris , partir en vacances pendant quelques mois et voir Ă ce moment oĂą en sont les choses ?
On peut aussi bien sur prendre la position de rester « IN », auquel cas ces questions restent tout aussi valides pour un eventuel renforcement.
Des avis ?