LE GRAND DEBAT

Ce grand débat c’est parfois du n’importe quoi .

Tout le monde veut interdire le glyphosate . J’ai pris la parole pour rétablir la vérité que voici.

LE 19 SEPTEMBRE 2012, le biologiste français Gilles-Éric Séralini, de l’université de Caen, publie avec ses collègues dans la revue Food and Chemical Toxicology une étude très controversée sur des rats nourris avec des OGM traités au glyphosate qui auraient pour cette raison développé d’énormes tumeurs.
Le rédacteur en chef de cette revue a retiré cette publication .
IL a édité un numéro spécial dans lequel les spécialistes de l’époque ont pu apporter de très vives critiques sur ces travaux .

Non seulement ses convictions anti –OGM l’on incité à utiliser des souris dont 40 % sont attentes de tumeurs ( cela était connu depuis 1940 ) et ce quelque soit leur nourriture , mais ce qui est déplorable c’est de s’être enrichi de façon honteuse en monnayant ses travaux avec les médias ( le nouvel ob.)
Les premiers articles dans les médias couvrant la découverte ne faisaient que reprendre les conclusions très inquiétantes de l’étude : l’alimentation de maïs OGM traité avec du Roundup (glyphosate) provoquait l’apparition de tumeurs terrifiantes chez les rats. Et la plupart des autres médias, qui n’avaient pas accès à la publication scientifique, n’ont fait que
reprendre ces informations dramatiques, les illustrant par les très spectaculaires photos de rats blancs à la silhouette déformée.

. Six ans plus tard, une étude plus rigoureuse invalide ces résultats inquiétants.
Quatre ans après son lancement, un projet de recherche européen visant à évaluer les risques pour la santé d’un type de maïs génétiquement modifié vient de livrer ses conclusions: « Aucun risque potentiel pour les humains et les animaux n’a été identifié. »
Tout commence en juillet 2012, lorsque la Commission européenne décide de mettre 15 millions d’euros sur la table pour évaluer l’intérêt de demander aux producteurs d’OGM la réalisation d’essais de 90 jours chez les rongeurs pour pouvoir obtenir une autorisation de commercialisation. Un premier projet, est lancé dans la foulée pour évaluer l’impact sanitaire chez des rats d’une alimentation à base de maïs MON810, une semence modifiée pour pouvoir résister aux insectes.

Plusieurs dizaines de partenaires académiques de toute l’Union européenne sont impliqués avec à leur tête le Professeur Bernard Salles de Montpellier
Plusieurs études ont été menées de front, toutes chez des rats. Certains animaux ont été nourris avec du maïs génétiquement modifié de type NK603 (conçu pour résister au glyphosate, un herbicide), d’autres avec le même maïs OGM traité avec du glyphosate et, enfin, un groupe « contrôle » a reçu du maïs non modifié. Ce maïs NK603 est le même que celui utilisé par le Pr Séralini lors de son expérience de 2012. Après trois mois à ce régime, rythmés par de nombreuses prises de sang et analyses d’urine, les animaux ont finalement été euthanasiés, puis examinés dans les moindres détails. Et les les résultats n’ont rien à voir avec ceux retrouvés par l’équipe de Séralini six ans plus tôt. « Il n’y a pas eu d’effets indésirables liés à l’administration de maïs OGM NK603 cultivé avec ou sans Roundup », écrivent les auteurs. Et ils ne se sont pas arrêtés là. En parallèle, ils ont mené une autre étude sur deux ans, comme l’avait fait le Pr Séralini. Contrairement à ce dernier, ils ne se sont pas contentés de 10 animaux par groupe, comme l’avait fait le biologiste, mais de 100. Et là encore, ils n’ont rien trouvé. Pas plus de tumeurs que dans le groupe nourri au maïs non modifié. Pas non plus de réactions du système immunitaire.

Comme je suis ni un écolo ( bien que je continue bénévolement à faire des conférences grand public ou des articles ,sur les énergies renouvelables ; l’hydrogène , énergie du futur ou le photovoltaïque est ‘il aujourd’hui rentable ? ) ni un anti écolo , mais un simple scientifique rigoureux , je tiens aussi à vous préciser que j’ai la preuve absolue qu’un glyphosate vendu en Espagne engendre de très graves problème , à savoir la mort de certains animaux . Ceci est donc la preuve que le glyphosate n’est en rien impliqué dans tout ce que raconte les écologistes , mais que les problèmes peuvent provenir du tensioactif.

Il faut savoir une chose . Si vous pulvérisez du glyphosate sur une plante il n’Y aura aucun effet . Il faut lui adjoindre un tensioactifs qui permettra au glyphosate de pénétrer jusqu’aux racines . Si cette molécule a été découverte par des chercheurs Russes de mémoire en 1929 , ce n’est que très longtemps après que l’on a découvert sa propriété comme herbicide . Pour terminer , lorsque j’entends Nicolas Hulot prétendre que d’ici quatre ans on pourrait lui trouver un remplacent , c’est de l’utopie .
Comment va faire la SNCF qui utilise 9000 tonnes de glyphosate par an pour entretenir ses voies ?

Enfin , je terminerai en disant que lorsque je modifie l’encyclopédie que tout le monde connait sur internet , le lendemain mes propos ont été effacé par les écolo

Le « retour de l’ISF »
Rapport socialiste sur les conséquences de l’ISF (publié dans la presse économique janvier 2016) que j’ai déjà posté sur ce forum
71 000 français on crée à l’étranger une entreprise d’au moins 10 salariés ce qui correspond à une perte d’emplois d’environ un million
11 000 personnes exploitent leur brevet à l’étranger
Depuis 2000 , évasion fiscale estimée à 200 Milliards .

Publication sur les 300 plus grosses fortunes en Suisse
On y trouve environ une cinquantaine de français
Si on prends les 19 premiers leur patrimoine est de 100 milliards

Début 2016 , je vais à ma banque avec 20 000 Eu. à placer sur un compte
je reviens au bout d’un an récupérer mon fric .
Assujetti à l’ISF , avec un TMi de 30 % , j’ai perdu 4 Eu.
Avec un TMi de 45 % , j’ai perdu 40 Eu ;
Avec la disparition de l’ISF , cet impôt confiscatoire n’existe plus

En conclusion
Tous les experts estimes que depuis la création de l’ ISF , environ 300 milliards ont quitté la France .
Si cet argent était resté il aurait rapporté au moins 8 % par an à l’état ce qui correspond à 24 milliards à comparer aux 4 milliards que rapportait l’ISF