Document d'intermédiation

Bonjour,

toujours dans notre chère FRANCE la technique « du parapluie »; Et dire que « certains » se demandent encore pourquoi notre pays manque de compétitivité.

Bonjour,

Question identique suite à un arbitrage demandé 29/12/2014. Attente liée au fameux document intermédiation ?

Une question concernant l’évaluation ou le commentaire qui accompagne l’arbitrage le pourcentage d’allocation vis à vis du profil:

L’analyse de l’allocation est-elle approfondie en tenant compte des UC sélectionnées ou prend-elle en compte seulement le poids UC/contrat ?

Formalisme supplémentaire à portée juridique protectrice pour l’assureur ou gain de sécurité pour le détenteur du contrat qui ferait son premier arbitrage (style Moniteur accompagnateur avant le permis ?)

Merci de votre éclairage?

Bien cordialement

Bonjour Linxie,

Si je suis votre réponse concernant les arbitrages fin 2014 après 26/12,
ACMN valide les demandes avec VL 02/01/2015 ou reportée au delà en cas de VL non présente à la date du 02/01.
Nous sommes déjà le 08/01,
sommes nous proches d’un fonctionnement rétabli après la période de gel ? Attente se termine aujourd’hui ou demain ?

Concernant le process de contrôle ACMN de l’appréciation du risque selon le choix exprimé du client, la présentation retenue paraît ambiguë, car ne tenant pas compte du choix fait par le souscripteur: quelles UC ou quels trackers sont choisis semble plus une approche qualitative nécessaire qu’occulte l’approche quantitative seule basée sur le poids en % des UC dans la demande, les deux aspects sont complémentaires.

Comment apprécier l’exposition au risque d’une pondération (en % des UC d’une allocation) si l’on considère exclusivement un poids qui ne reflète en aucun cas l’orientation personnelle de l’allocation, même s’il est vrai qu’en cas de marché baissier,
plus de 97% des UC disponibles en Linxea évolution passe en progression négative selon un horizon hebdomadaire (exemple de la période de octobre-novembre dernier, ne pourrait pas avoir une autre réflexion qui offrirait un choix plus large en termes d’UC ou de trackers qui pourraient fournir une alternative en cas de baisse généralisée ou sectorielle (pétrole est un bon exemple à court et à long terme ou choix d’un secteur banque, ressources naturelles, santé, etc…)
Les trackers Short existent et sont peu nombreux ou très rares dans les contrats d’Assurance Vie, et pourtant il sont bien utiles en couverture de risque.
Bien sûr, certains fonds permettent d’être exposé de façon moins risquée en cas de marché baissier
comme les FONDS carmignac global bond ou autre Tempteton Global tot return (qui ne néglige pas les phases baissières de EUR-USD) mais ces fonds peu nombreux ne permettent pas une exposition aussi sûre en cas de repli, même s’ils sont très souvent efficaces.

Le process proposé par ACMN met en confrontation un point de vue théorique du particulier qui est plus un point de vue long terme plus distant d’une période de difficultés de marchés, qu’il s’agisse d’un point culminant après une hausse forte ou encore d’un retournement potentiel,
il n’y a pas de contradiction entre 2 points de vue d’un même particulier, mais un changement de lunettes ( roses ou noires )
Comme les corrélations entre fonds qui sont très variables selon que les marchés sont en hausse ou en baisse,
dépendantes de l’évolution des marchés, les décorrélations entre fonds disparaissent ou les corrélations grimpent et toutes les bases long terme n’ont plus de réalité, la volatilité est y est pour quelque chose.
Le particulier qui ne souhaite pas être exposé à un risque de marché qu’il perçoit, peut trouver que le choix est forcément limité (peu voire pas de trackers short, pas d’ obligations CT USA par exemple), lui proposer un process « aveugle » d’évaluation du risque (aveugle car ne tenant pas compte du choix, si l’on choisit un fonds Russie ou Japon , le profil est très différent d’un choix de Carmignac Global BD, ou de Templeton Global Tot ret) mais considérer qu’il n’y aurait qu’une réponse d’exposition Long terme et non de prise en compte du risque Court terme, c’est imposer une réflexion condamnée par étroitesse de choix, le choix est très limité pour les phases baissières de marchés dans l’offre offerte de fonds, puisqu’il privilégie le risque et la vue long terme sur les marchés, ce qui pourrait être pour certains un choix d’aveuglement et non une lecture large des marchés.
L’exposition à long terme sur des obligations est aussi risquée car la longue baisse des taux depuis plusieurs décennies fait craindre un risque théorique de remontée des taux, ce risque existe, c’est un risque qui pourrait faire mal, mais quand ??
Quand dans un scénario catastrophe qui serait la sortie de la Grèce de la zone €, le risque (dixit France 2) le risque serait non négligeable pour les particuliers évalué à 50 milliards, serait ce au travers de l’impôt ou d’un prélèvement sur les fonds € présents en Avie??
Le risque est toujours à considérer, les armes offertes aux particuliers sont sans garanties, les lacunes des contrats d’Avie hexagonaux sont bien présentes et le process ACMN fait sourire ou ne paraît pas très pertinent si l’on doit considérer une vraie protection offerte aux particuliers, plus en direction des débutants mais sa portée est bien trop limitée et non mesurée (en confondant toutes les UC dans le même panier).

Pardon si mes explications sont formulées de façon non fluide, mais je voulais réagir, être un mouton n’est pas une réponse, les inventaires ACMN et l’intermédiation sont l’occasion de réagir car je suis loin d’être convaincu que la crise est derrière nous !

Bien cordialement à vous
Thierry

Merci aussi de joindre ce message à l’assureur. Process ne convient pas !