Bonjour,
tout d’abord un grand merci pour vos recommandations d’allocation de portefeuilles avec en proposant des fonds non seulement performants mais également raisonnables en frais, et en particulier des fonds quasi-indiciels !
Suite à la lecture du livre de Thomas Picketty sur « le Capital au XXIeme siècle » j’ai pris conscience des performances extraordinaires des endowment funds des grandes universités américaines Ivy League (en particulier celui de Yale longtemps géré par David Swensen).
Leur secret reposerait à la fois sur le fait qu’ils ne payent pas de taxes, mais surtout sur une forte diversification, incluant une exposition au private equity, aux hedges funds, à l’immobilier et aux ressources naturelles (oil&gas, forêts, mines…).
Pensez-vous que cela pourrait faire sens pour réduire encore le risque de nos portefeuilles d’introduire des lignes;
-long/short
-matières premières
-immobilier/SCPI
-small cap et small cap value
Quelles raisons vous ont amené à ne pas intégrer ce genre de fonds dans les portefeuilles actuels?
-ces classes d’actifs sont sur-valorisés?
-les fonds disponibles ne sont pas assez performants ou trop couteux en frais?
-les encours moyens des clients de linxea ne sont pas assez élevés pour permettre une telle diversification?
-ces actifs ne sont pas assez décorrélés des marchés action/obligation
je vous remercie pour les éléments de réponse que vous pourrez nous apporter.
Encore merci pour votre collaboration avec Linxea !
Bonjour,
sans réponse depuis maintenant 28 jours, je me permets de poser à nouveau ma question:
Bonjour,
tout d’abord un grand merci pour vos recommandations d’allocation de portefeuilles avec en proposant des fonds non seulement performants mais également raisonnables en frais, et en particulier des fonds quasi-indiciels !
Suite à la lecture du livre de Thomas Picketty sur « le Capital au XXIeme siècle » j’ai pris conscience des performances extraordinaires des endowment funds des grandes universités américaines Ivy League (en particulier celui de Yale longtemps géré par David Swensen).
Leur secret reposerait à la fois sur le fait qu’ils ne payent pas de taxes, mais surtout sur une forte diversification, incluant une exposition au private equity, aux hedges funds, à l’immobilier et aux ressources naturelles (oil&gas, forêts, mines…).
Pensez-vous que cela pourrait faire sens pour réduire encore le risque de nos portefeuilles d’introduire des lignes;
-long/short
-matières premières
-immobilier/SCPI
-small cap et small cap value
Quelles raisons vous ont amené à ne pas intégrer ce genre de fonds dans les portefeuilles actuels?
-ces classes d’actifs sont sur-valorisés?
-les fonds disponibles ne sont pas assez performants ou trop couteux en frais?
-les encours moyens des clients de linxea ne sont pas assez élevés pour permettre une telle diversification?
-ces actifs ne sont pas assez décorrélés des marchés action/obligation
je vous remercie pour les éléments de réponse que vous pourrez nous apporter.
Encore merci pour votre collaboration avec Linxea !