je viens de m’apercevoir d’une petite transaction datant d’octobre 2022.
Je l’avais zappé dans l’historique, je comprends mieux.
bien vu pour la question de Johann69
Dans le débat actuel, avec la baisse prochaine du taux du livret A, vient celui de la gestion des liquidités.
Je mets en place un dispositif de gestion progressive de ma poche liquidités en perspective du 1er aout.
Ce dispositif s’appuit sur ETF monde dans PEA de plus de 5 ans d’ancienneté.
Bonjour,
Je ne comprends pas très bien.
Transférer des liquidités d’un Livret A vers un ETF Monde sur le PEA, parce que la rémunération du livret A va baisser en août ?
Mais ça n’a rien à voir: risque, volatilité durée de détention, rôle sont complétement différent entre ces 2 actifs !
entièrement d’accord avec toi … Le livret A est une épargne de précaution rien avoir avec le pea qui fait partis des classe d’actif ACTION.
Bonjour,
Je pense que la mécanique d’Arrot est la suivante : vous apportez la somme des livrets sur le compte espèces et programmer des investissements progressifs sur l’ETF sur plusieurs mois ou années en fonction de la reconstitution de l’épargne de précaution.
En cas de coup de dur il vous reste la possibilité des retraits sans la clôture. A terme vous boostez la performance de votre épargne.
On peut réévaluez l’exposition tous les trois/six mois en fonction de l’aversion au risque.
Quel est l’intérêt de garder des capitaux sur le compte espèces du PEA ?
Le livA est certes faible mais c’est mieux que rien du tout
Garfield a perçu la mécanique qui sous tend ma stratégie de gestion des liquidités. Il l’a exprimé de façon simplifiée et plus claire que ce que j’aurais pu faire. (et ca marche aussi)
Voici un peu plus d’explications sur ma stratégie qui nécessite, j’en convient, une culture des marchés financiers :
Vous devez avoir un PEA, de préférence de 5 ans d’ancienneté. Il fonctionne alors comme un compte titres soumis seulement aux prélèvements sociaux sur les gains.
Tout achat d’ETF monde avec des liquidités (celles dans votre PEA puis LIV A, LDD…) doit être considéré comme du flux le temps d’engranger une performance d’au moins 5%. (profitez des frais d’achat à zéro chez votre banquier sur certains etf monde - bourse direct, saxo banque, boursorama..)
Poser un stop de protection à -2% du cours d’achat et le remonter en suivant.
Dés que la performance de l’achat dépasse +5% voir +10%, le stop de protection n’est plus réellement utile. Considérer, alors, l’achat comme du stock qui sera géré avec l’indicateur « peur du krach » (vente sur baisse de -10% en 10 jours)
l’Etf monde delivre une performance nette de frais et de prélèvements sociaux à minima de l’ordre de 7 à 8% dans la durée. Même avec 4-5% c’est encore interessant au prix d’un peu de gestion ou pas (cf approche DCA)
Bonjour,
Ce qui m’échappe dans votre stratégie c’est une fois que vous avez vendu (soit par peur du krach soit par stop de protection), et que les capitaux sont stockés sur le compte espèce du PEA, quel est votre critère pour repartir en achat?
Car le point d’entrée est primordial dans votre analyse (c’est celui en particulier qui détermine votre stop de protection).
je passe à l’achat quand le biais est haussier ou neutre (congestion) comme c’est le cas actuellement. Le sentiment que l’on a sur le marché est primordial.
je sors du marché sur vente stop ou « peur du krach »
En cas de dépression, le MACD (croisement de moyennes mobiles) part à la baisse en territoire négatif.
je reviens à l’achat avec l’indicateur MACD. Le croisement haussier du MACDLINE avec son signal en territoire négatif, est un signal d’achat.(a dire d’expert, on a raison au moins 2 fois sur 3 )
L’intérêt de « stocker » du cash dans la poche espèce d’un PEA de plus de 5 ans m’échappe toujours, pourquoi ne pas l’alimenter (d’autant plus facilement depuis la généralisation des virements instantanés) au fur et à mesure ?
Mais si vous vous y retrouvez c’est le principale !
Un stop de protection à -2% n’est pas un peu « light » ?
Faire de l’AT et du stock picking sur du world n’est il pas contreproductif vs « buy & hold » ? (gestion de l’émotion > « peur du krash » (le VIX parfois s’affole sans raison et retombe juste après) ; frais d’opérations ; …)
Tu fais mieux qu 'un indice World sur 5 ou 10 ans ?
bjr,
je fais la gestion du "stock " de etf monde avec l’indicateur « peur du krach ».
Il a fonctionné en 2008, 2020 et 2025.
Je « regrette » que le Krach 2025 n’ait pas été plus profond, car c’est dans les abimes que l’on fait de la performance. (rachat sur un point plus bas que le point de sortie). C’est une assurance !
voici l’analyse du dernier krach :
https://gratuit-5657359.webadorsite.com/nouveau-blog/2509066_ma-gestion-du-krach-droits-de-douanes-d-avril-2025-quel-resultat
Dans mes 2 PEA, à ce jour, la performance de mes lignes etf monde depuis mes achats massifs aprés krach d’avril (liquidation de toutes mes lignes) est de +10,44% et 8,6%. le PEA offre plus de réactivité que l’AV ou le PEE
En buy and hold sur 5 ou 10 ans , si c’est ta question, je fais légèrement mieux du fait des krach, celui de 2020 notamment.
Et en plus je dors tranquille…
oui a l’alimentation automatique. mais cette fonction n’est pas possible chez tous les banquiers. effectivement, faire du virement instantané depuis quel compte ???
le stop de protection de 2% sur etf monde moins volatile que le reste me semble calé vis à vis d’une bonne gestion du flux des « liquidités »
oui, le buy and hold, doublée d’un DCA, est une solution trés acceptable pour le stock géré à moyen long terme. Cela a le mérite d’être simple !
Gestion des liquidités :
Un petit rappel pour les indépendants (qui ont le nez dans le guidon) qui possèdent un compte courant d’associé au sein de leur entreprise. Une convention de trésorerie entre la société et ses associés permet de rémunérer le c/c d’associés. Les intérêts sont déductibles du résultat et taxés au PFU pour l’associé.
Les taux de référence sont déterminés à la date de clôture de l’exercice et tourne autour de 5% aujourd’hui, soit une rémunération nette de 3,5%.
Simple et efficace : laisser sa rémunération/dividendes et de prélever ce dont on a besoin pour vivre.