Pour tous ceux qui sâintĂ©ressent aux matiĂšres premiĂšres, aux US et aux impacts gĂ©opolitiquesâŠ
N.
des effets variables de la baisse des prix de lâimmobilierâŠ
N.
interessante rĂ©flexion sur les consĂ©quences (dans les 20 prochaines annĂ©es) de lâĂ©cart de croissance entre les US et lâEurope,
N.
Salut Ă tous
De quoi occuper studieusement votre WEâŠ
Au programme : discussion systĂšmes Ă©ducatifs et Ă©conomie, gouvernance au Japon, Etts-Unis etâŠprix du gazole en Inde
N.
Bonsoir Nessim,
Merci pour le apport de Natixis. Le dernier tableau (synthĂšse) est trĂšs intĂ©ressant : Jâai retenu les informations suivantes : hausse des taux Ă 10 ans en 2014. Attention pour les obligations.
croissance nĂ©gative en Europe en 2013, sauf lâAllemagne, et encore ! Croissance des Ă©mergents asiatiques et amĂ©rique latine, et mĂȘme Europe de lâEst. Forte croissance de la Chine (ce nâest plus comme dans le passĂ©, mais 8% câest excellent) lâEspagne se redresse bien, croissance Ă©gale Ă la France en 2014. Le taux de change mâa surpris : le dollar devrait donc sâapprĂ©cier par rapport Ă lâeuro. Ce serait excellent pour tous nos fonds exprimĂ©s en dollars.
Cordialement
[b]Salut Ă tous
Petite mise Ă jour : Japon et Italie,
N.[/b]
[b]LES EMERGENTS NE SONT PLUS CE QUâILS ETAIENT âŠ
ou
QUI VA JOUER DORENAVANT LE ROLE DE MOTEUR DE LA CROISSANCE MONDIALE ?[/b]
N.
pourquoi la BCE ne veut-elle pas participer Ă la guerre des changes ? etâŠ
le changement de modĂšle Ă©conomique de la chine : qui sont les victimes ?
N.
**QUI NGAGNERA LA GUERRE DES CHANGES ?**N.
QUE POURRAIT FAIRE LA BCE SI LA SITUATION ECONOMIQUE DE LA ZONE EURO CONTINUAIT A SE DEGRADER ?
N.
POURQUOI DANS CERTAINS PAYS LES ENTREPRISES NON FINANCIERES DETIENNENT-ELLES BEAUCOUP DE LIQUIDITES ?
La rĂ©ponse dans certains cas est plutĂŽt inquiĂ©tanteâŠ
N.
au programme :
- Ă©mergents et inflation
- faut-il craindre un krach obligataire ?
N.
**ELECTIONS EN ITALIE : QUITTE OU DOUBLE **N.
LES TENANTS ET ABOUTISSANTS DE LâEVOLUTION TECHNOLOGIQUEâŠ
On observe dans beaucoup de pays une décroissance trÚs inquiétante des gains de productivité, de la progression de la Productivité Globale des Facteurs. Dans ces pays, il semble que le progrÚs technique disparaisse.
Nous essayons dâabord dâidentifier les pays oĂč ce nâest pas le cas ; il sâagit des Etats-Unis, de la SuĂšde, de la Finlande, du Danemark, de la Suisse.
Nous essayons ensuite de comprendre pourquoi ces pays profitent toujours dâun progrĂšs technique important, alors quâil a disparu dans les autres pays. Est-ce liĂ© :
- Ă lâeffort dâinnovation et dâĂ©ducation ?
- Ă la structure de lâĂ©conomie (poids des secteurs Ă productivitĂ© Ă©levĂ©e) ?
- Ă lâeffort dâinvestissement des entreprises en nouvelles technologies ?
Nous montrons que les pays oĂč le progrĂšs technique existe ont : - un effort de R & D privĂ© trĂšs important,
- des dĂ©penses dâĂ©ducation supĂ©rieure Ă©levĂ©es,
- un investissement en nouvelles technologies important.
ON CONNAIT TOUS UN PAYS OĂč LES DEPENSES DâEDUCATION SONT TRES ELEVEES ET POURTANT^^^
N.
Inde : prudence face au dĂ©ficit commercial chroniqueLe MinistĂšre indien du Commerce et de lâIndustrie a publiĂ© aujourdâhui (11/03/2013) les chiffres du commerce extĂ©rieur, qui confirment de nouveau un dĂ©ficit commercial de 15 milliards de dollars pour le mois. Lâaggravation de ce dernier depuis 2008-2009 contribue Ă celle du dĂ©ficit courant. Nous montrons que la dĂ©pendance de lâInde vis-Ă -vis de deux biens : lâor noir et lâor jaune dâune part et la faiblesse relative de lâindustrie dâautre part sont les principaux facteurs explicatifs du dĂ©ficit commercial de lâĂ©conomie indienne. Il existe un risque que ce dĂ©ficit soit chronique sans rĂ©formes structurelles suffisantes. Or lâaggravation du dĂ©ficit commercial contribue Ă la dĂ©gradation du dĂ©ficit courant du pays, ce qui constituerait un dĂ©fi face au financement extĂ©rieur du dĂ©ficit courant.
N.
Excellent papier , merci** Nessim** ! Lâ industrie Indienne est toutefois bien plus importante que celle ⊠de Chine . Ce sont les Infrastructures qui font cruellement dĂ©faut lĂ -bas : les usines ne peuvent ni recevoir leurs fournitures ⊠ni livrer leurs produits finis par dĂ©faut de routes , trains , etc âŠ
En attente de rajeunissement politique , ce Pays et HSBC Indian sont en arrĂȘt sur image actuellement . Mais prĂȘts Ă bondir . A suivre !
**Chine : comment comprendre le renforcement des mesures restrictives sur le marché immobilier ?**RECHERCHE ECONOMIQUE
RĂ©dacteur :
Bei XU
La Chine vient de renforcer les mesures restrictives sur son marchĂ© immobilier. Cela aura certainement pour consĂ©quence le ralentissement de lâactivitĂ© de construction rĂ©sidentielle dans le pays.
Afin de comprendre lâesprit de cette annonce, nous verrons dâabord que les mesures administratives de ciblage de prix sont plutĂŽt des mesures dâurgence dans un contexte oĂč les prix Ă©taient revenus sur leur tendance haussiĂšre. Or des prix immobiliers Ă©levĂ©s et une tendance Ă la hausse
1/ reflÚtent le creusement des inégalités sociales ;
2/ constituent un frein Ă la consommation ;
3/ désincitent à réaliser des investissements productifs.
MĂȘme si le secteur immobilier est un levier important de croissance de court terme, le dĂ©veloppement du secteur tel que nous lâavons connu jusquâĂ prĂ©sent entraĂźne des problĂšmes urgents entravant la cohĂ©sion sociale et la pĂ©rennitĂ© de la croissance.
A moyen et long terme, seules des réformes en profondeur peuvent contribuer à un développement plus sain du marché immobilier en Chine.
On pourrait tirer les mĂȘmes conclusions pour le marchĂ© immo françaisâŠ
ce que nous devrions aussi faire en france :
2.restreindre fermement les acquisitions de biens immobiliers Ă fin dâinvestissement ou de spĂ©culation ; (2/3 des logements parisiens sont dĂ©tenus par des investisseurs !)
3.augmenter Ă la fois lâoffre de logements de catĂ©gorie standard et celle de terrains ; (ils faut 3 ans pour obtenir des permis de construire ! ou rendre des terrains constructibles )
4.accĂ©lĂ©rer la construction des logements sociaux ; (quand on dit quâil manque 500 000 logements en france, câest surtour des logements sociaux quâil nous manque)
« LA RENTREE PARLEMENTAIRE ITALIENNE⊠»
N.
QuâachĂštent les investisseurs (les Ă©pargnants) lorsque les taux dâintĂ©rĂȘt rĂ©els sont nĂ©gatifs ?
N.