je me pose actuellement la question de la diversification en priorité en** co-adhésion** (cf réponse ministérielle Bacquet…).
je dispose déjà du linxea vie et linxea spirit en co-adhésion.
j’ai parcouru le forum concernant AVENIR et ZEN.
j’ai le sentiment qu’AVENIR a fait l’objet de progrés ces derniers temps.
Si vous deviez choisir (contrat en co-adhésion oblige) entre les deux que conseilleriez- vous ?
merci
compléments suite échange avec Lucie : en coadhésion arbitrage en ligne sur ZEN (16h) - arbitrage papier +mail sur AVENIR (16h)… sinon 20h si contrat simple adhésion
options securisation des pv et arbitrages programmés : 0,2% sur ZEN - gratuit sur AVENIR
option **stop loss **: gratuit sur Avenir - non dispo sur ZEN ?
avantage de la** clause de préciput dans contrat de mariage** par acte notarié par rapport au co-adhésion :** débouclage au second décés** au lieu du premier décés. surtout interessant aprés 70 ans ! ce qui évite au conjoint survivant de ré-investir aprés 70 ans.
J’ai : Linxea Evolution, Vie et Avenir.
Par rapport à ta question :
1- en terme de gestion, Avenir est parfait pour l’instant et le plus rapide des 3 par rapport à mes contrats.
Versement complémentaire, arbitrage…pour moi très bien ils sont dans les temps voir moins que prévu donc parfait!!!
2- 2 fonds euros notamment opportunité ont de bonnes performances.
3- concernant les fonds et surtout avec le nouveau référencement des fonds sur Vie l’attrait de Zen disparait. Et tu as Vie
Et la tu dois regarder tous les fonds. Pour moi Zen n’apporte rien.
4- les fonds sur Avenir sont de bonnes qualités.
Concernant co-adhésion je peux rien dire je ne suis pas concerné
Je fais suite au post de bernard683 qui reproduit une réponse précédente de Linxie sur la co-adhésion en AVie.
Ma question pour linxie:
Sur l’ensemble des contrats de Linxea, dois-je comprendre que la co-adhésion n’est plus conditionnée par le passage préalable en régime de « communauté universelle » du mariage ?
Merci d’avance…
PS: Evidemment, il reste impossible de passer d’une adhésion simple à une co-adhésion pour un contrat AV déjà en cours, n’est-ce pas ?
Pour être plus complet voir la réponse de LinXea du 27/07 suite à l’une de mes questions :
[i]"Nous vous informons que tous nos contrats peuvent être souscrit en co-souscription ou co-adhésion avec la convention de préciput et dénouement au second décès.
Concernant la gestion en ligne, nous vous prions de trouver ci-dessous les particularités par contrat :
LinXea Vie : Seuls les arbitrages sont disponibles en ligne pour les co-adhésions.
LinXea Spirit : Possibilité d’effectuer des arbitrages, versements et rachats pour les co-adhésions.
LinXea Avenir : Pas de gestion en ligne pour les co-souscriptions
LinXea Zen : Possibilité d’effectuer des arbitrages, versements et rachats pour les co-souscriptions.
Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire.
Je ne pense pas qu’il soit possible de se désister partiellement du bénéfice d’un contrat d’assurance vie, sauf si la clause bénéficiaire précise qu’une partie seulement du contrat est au bénéfice d’une personne qui pourrait alors ( à vérifier ) se désister.
Perso j’ai posé la question il y a environ deux ans et il m’a été répondu, concernant la première hypothèse que non ce n’était pas possible.
J’ai donc opté avec mon épouse pour le schéma suivant, après mise en place d’une convention de préciput stipulant :
D’une part que tous nos biens sont communs,
D’autre part que 2 contrats d’assurance vie ( ouvert par chacun de nous à cet effet ) sont considérés comme biens propres. Ces contrats, outre les sommes à leur crédit, pourront servir de réceptacle aux donations / héritages à venir, que nous pourront affecter tout ou en partie à ces contrats
Cela nous permet donc :
De protéger le survivant au premier décès, résidence principale, patrimoine financier commun…, de garder en plus un ou les deux contrats du pré-décédé à son profit,
De gommer le principal inconvénient dans le cadre d’une succession avec communauté universelle ou convention de préciput, de ne pas faire bénéficier les enfants 2 fois des abattements, de laisser la possibilité, en cas de non besoin du conjoint survivant, de se désister du bénéfice de l’un ou des deux contrats du pré-décédé à leur profit,
De protéger, notamment en cas de séparation, une partie du patrimoine des époux en biens propres ce qui n’est pas le cas dans la communauté universelle.
‹ › tu ne parles pas de la réponse ministérielle BAQUET. Je sais que pour les contrats d’ assurances vie individuels, le fisc considère que vous avez chacun participé pour moitié à leur constitution. Aussi, si le conjoint survivant a des contrats individuels d’AV, la moitié sera rapportée à la succession du disparu. comment as tu résolu cette question ? ‹ ›
Les fonds propres le sont par nature et non par destination, donc l’origine des fonds est ‹ ‹ propre › › et le reste car ceux-ci sont versés sur des supports désignés en nom ‹ ‹ propre › › chez l’assureur, les contrats l’étant aussi dans la convention de préciput.
Il faut donc garder la preuve de l’origine ‹ ‹ propre › › de ceux-ci, sinon effectivement, il peut y avoir requalification. La réponse ministérielle BAQUET ne concerne pas ces contrats ‹ ‹ fonds propres › ›.
Nos autres contrats sont pour le moment un peu mieux lotis mais l’assureur est motivé pour passer full on line (voir même en dématérialisation complète) d’ici fin 2015.
La co-souscription/co-adhésion est en effet possible entre époux si ceux-ci sont mariés sous un régime communautaire (communauté légale ou universelle). Toutefois, pour un dénouement au second décès, la co-souscription/co-adhésion est possible seulement en cas de communauté universelle avec clause d’attribution intégrale au conjoint survivant ou en cas de communauté légale avec clause de préciput citant le contrat d’assurance.
Pour répondre à votre deuxième question, si chaque époux a souscrit séparément son contrat et souhaite ajouter son conjoint comme co-souscripteur/co-adhérent assuré du contrat, il est impossible de procéder à une telle modification. En effet, il n’est pas possible d’ajouter en cours de contrat un nouveau contractant et un nouvel assuré. Il s’agirait d’une novation
Pour ma part, la clause de préciput, insérée dans le contrat matrimonial à un avantage par rapport à une souscription en co-adhésion car pour ce dernier il faut que la couple soit stable et qu’il n’y ait pas un risque de divorce car le partage ne se fera pas dans les meilleures conditions.
La clause de préciput permet de léguer à son conjoint un ou plusieurs biens communs. Cette clause peut être incluse dès la conclusion du mariage mais également au cours de celui-ci. Le conjoint survivant peut ainsi prélever sur le patrimoine commun, et avant tout partage un ou plusieurs biens ou une somme d’argent.
Chaque couple est un cas particulier qui ne ressemble à aucun autre. La meilleure chose à faire est de consulter un notaire pour obtenir une réponse satisfaisante à sa situation.
J’ai ouvert un contrat suravenir pour son fonds euros suravenir opportunités. Oui ils ont enfin la fonctionnalité de versements complémentaires par prélèvement (ouf).
Je ne connais pas les questions spécifiques à la co adhésion. Je l’éviterai autant que possible car ça complique la gestion.
J’ouvre en priorité les contrats avec des fonds euros performants (ici spirit et avenir) et fg inférieurs (spirit), j’ai vie qui a des fonctionnalités online supérieures aux autres contrats, et j’ouvrirai du zen uniquement pour la diversification, car de loin pour l’instant je ne lui vois rien qui attire spécialement le regard si ce n’est le fait qu’il est plus cher ailleurs.
s’agissant de la co-adhésion elle présente de l’intérêt dans le cas de mariage suivant la communauté réduite aux acquets. >>>> impact lors du décès de l’un des époux…
(pour avvel) il n’ y a pas de complication de gestion dés lors que les deux co-adhérebts ont signé la possibilité à chacun d’intervenir en gestion.
je retiens que pour vous deux Avenir passerait devant Zen…
la consultation du notaire et ma propre compréhension.
le notaire met parfaitement en relation le droit avec la vie(protection) de la famille
S’agissant de la gestion patrimoniale ils sont souvent sur des approches trop conservatrices(pour ceux que je connais) et ne maîtrisent pas tous les paramètres des produits proposés.
je dirais donc que la complémentarité est source de richesse
nota : a défaut de sa propre compréhension, le recours à un gestionnaire de patrimoine indépendant peut être intéressant
il faut bien analyser ces questions en fonction de sa situation propre.
situation :
je prends l’exemple d’un couple de retraité marié sous le régime de la communauté légale réduite aux acquets avec deux enfants.
Il a épargné et s’est constitué un** patrimoine important** (financier et autres)
la première question à se poser est :
en cas de décés, de quoi le conjoint survivant a t-il besoin (financier notamment) pour terminer ses vieux jours dans de chaudes pantoufles.
Le surplus doit être projetté dans la sphère des successions. (de toutes façons les fils, filles, gendres, belles filles trouveront le pactole un jour et le fisc prendra ce qui lui sera dû). Compte-tenu de leur situation ils évaluent ce surplus à 300.000€
Du fait de l’importance du patrimoine financier, les deux époux ont fait le plein de contrats AV : 600.000€ avec clause bénéficiaire au conjoint survivant, à défaut aux enfants
tenant compte de la réponse « baquet » ces assurances vie sont en** co-adhésion.**
Au décés de l’un des époux, les contrats « co-adhésion » seront dénoués. Le survivant verra arriver 600.000€.
il se désistera de contrats à hauteur de 300.000€ (2 fois 152.500€) c’est à dire le surplus identifié plus haut.
Les enfants toucheront donc ces sommes sans droits de succession à payer et les héritiers (le conjoint survivant en l’occurrence) ne supportent pas les conséquences de la réponse Bacquet.
nota : si le survivant a plus de 70 ans, il faut aller plus loin dans la projection. (placement des 300.000€ qui lui restent)
moralité …chacun doit se raconter sa propre histoire et la projeter…
Bonjour,
Il semblerait qu’Arrot demande s’il est possible d’arbitrer en ligne en **co adhésion **sur AVENIR.Ce qui n’est plus possible dorénavant.
Voir piéce jointe.
Cordialement.