Investissement locatif : vaut-il mieux acheter en direct ou via une société?

Investissement locatif : vaut-il mieux acheter en direct ou via une société ?

IMMOBILIER Lorsque vous réalisez un investissement immobilier, vous avez le choix entre deux formules : l’acquisition en direct ou à travers une société, généralement une SCI. Si la majorité des investisseurs achètent en direct, ce n’est pourtant pas l’idéal pour anticiper sa transmission ou protéger son conjoint. Dans tous les cas, prenez votre décision avant de finaliser l’opération : il est, en effet, plus facile et moins coûteux de faire acheter un actif par la société que de lui en apporter un que vous possédez déjà.

VALÉRIE VALIN-STEIN extrait du Particulier

1 Quels sont les principaux atouts de l’achat d’un immeuble via une SCI ?

Le premier est de vous éviter le régime de l’indivision qui s’applique si vous achetez en direct un bien immobilier à plusieurs (conjoint, enfants…), sans formalisme préalable. Dans ce cas, vous vous retrouvez à la tête d’une quote-part de propriété proportionnelle à votre apport. Or, l’indivision est un régime juridiquement instable, incompatible avec une stratégie patrimoniale à long terme. En effet, tout indivisaire qui souhaite sortir de l’indivision est en droit de le faire. Les autres sont alors obligés de lui racheter sa part, sinon le bien est vendu.

Ensuite, si vous êtes en couple, la SCI permet d’assurer l’avenir de votre conjoint en lui évitant, notamment, une indivision avec les enfants (ou beaux-enfants). Il suffit, pour cela, d’instituer une cogérance et de prévoir que, lors du premier décès, le survivant prendra seul les rênes de la société. Si vous vivez en union libre, sachez que le concubin survivant n’hérite pas, mais vous pouvez accroître votre protection en prévoyant, lors de la constitution de la SCI, un « démembrement croisé ». Vous vous échangez mutuellement la nue-propriété ou l’usufruit de vos parts sociales. Au décès de l’un des concubins, l’usufruit qu’il détenait sur les parts sociales du survivant s’éteint. Ce dernier récupère alors la totalité des parts en pleine propriété.

2 Y a-t-il des avantages spécifiques en matière de transmission ?

Oui et non des moindres ! Transmettre les parts sociales d’une société vous permet, en effet, d’optimiser l’abattement sur les droits de donation entre parents et enfants (100 000 € tous les 15 ans) ou petits-enfants (31 865 €, également tous les 15 ans). Si les immeubles ont été financés à crédit, l’optimisation fiscale est même plus importante, car le montant du prêt vient s’imputer sur la ­valeur des parts.

En outre, la société vous permet de transmettre tout en gardant la main sur votre patrimoine. Comme vous jouissez d’une grande ­liberté dans la rédaction des ­statuts, vous allez pouvoir vous nommer vous-même gérant et préciser l’étendue de vos prérogatives pour administrer vos biens : acquisition, cession, travaux… Vous pouvez aussi fixer les règles d’entrée et de sortie dans la société : majorité, clauses d’agrément… Afin qu’ils puissent coller réellement à vos objectifs patrimoniaux, mieux vaut faire rédiger les statuts par un avocat ou un notaire. Comptez 2 000 €, en moyenne, c’est le prix pour garantir la sécurité juridique de votre projet. À noter : il est possible, pour 200 à 400 €, de créer votre SCI sur internet, mais vous n’aurez pas la possibilité de rédiger des clauses spécifiques.

3 La détention via une SCI permet-elle de réduire la fiscalité sur les loyers ?

Oui, dès lors que vous optez pour une imposition à l’impôt sur les sociétés (IS) et non à l’impôt sur le revenu (IR). Notez que cette option est obligatoire en cas de location meublée. S’ils sont soumis à l’IS, vos revenus sont fiscalisés à 26,5 % sur une base taxable diminuée des charges et amortissements réalisés sur les actifs. S’ils sont imposés à l’IR, ils sont taxés sur une base plus large, à votre taux marginal d’imposition (TMI) majoré des prélèvements sociaux. Par exemple, si vous êtes imposés à 41 %, vos revenus locatifs seront amputés de 58,2 %. Autre avantage de la SCI à l’IS : la possibilité de ne pas vous distribuer de dividendes et, ainsi, d’échapper à leur imposition. Les revenus restant dans la société, ils pourront être utilisés au moment de votre retraite ou récupérés par vos héritiers. Seul écueil, le calcul très défavorable des plus-values de cession qui réintègre les amortissements déduits chaque année. En apparence séduisante, l’option pour l’IS n’est réellement judicieuse que si vous envisagez de conserver votre patrimoine immobilier sur le long terme.

VALÉRIE VALIN-STEIN extrait du Particulier

peux tu argumenter STP ?

moi je fais partie de cette catégorie et je ne vois pas ce que tu veux dire .

c’est là où le bat blesse…

comment peux tu estimer avec justesse le prix de vente dans 15ans …

il s’agit donc d’hypothèses avec toute le glorieuse incertitude qu’elles comportent .

pourtant , concernant les prix de l’immo , tous les graphiques montrent qu’ils augmentent depuis 2013

Bonjour,
Pour l’investissement en direct, ne pas oublier que nous sommes en France! Si votre locataire a décidé de ne pas payer son loyer, il ne vous restera que vos yeux pour pleurer, ne compter surtout pas sur la justice pour vous aider!

tout dépend de la façon dont on a acheté.

l’emplacement et le prix sont déterminants.

il faut emprunter

et pour y voir le plus clair possible il faut décomposer les flux de trésorerie et calculer le TRI plus pertinent que le simple rapport loyers annuels/prix d’achat.

pour info je démarre un PINEL (appartement acheté en VEFA et livré ce mois ci).

j’ai été tenté de passer en marché libre.

la simulation fine qui permet de comprendre les flux de trésorerie m’en a dissuadé !!

attention aux idées reçues !

En PINEL, avec mes hypothéses j’obtiens un TRI de 6,5% (vente au bout de 15 ans)
le calcul du **rendement classique **donne en instantané (en PINEL) 3,4%
en loyer libre qui serait +50% de celui du PINEL j’obtiendrai un rendement classique de 5%

le calcul de rentabilité est effectivement sensible aux hypothèses et n’est donc pas « juste » .

Dans mon cas d’espèce : j’ai acheté en VEFA en ile de france à 400m du RER.(gare qui est un noeud ferroviaire avec plusieurs directions sur les gares de PARIS intramuros) ;

Réservation à l’automne 2017. signature en sept 2018. livraison ce mois ci avril 2021.

Compte tenu des ventes récentes de la dernières tranche avec le même investissement j’aurais aujourd’hui dans la même résidence un 2 pièces au lieu de 3 pièces soit +13,4% environ.

sur 15 ans j’ai pris un taux de revalorisation de 0,8%/an soit 13% environ au total.

j’ai également tenu compte de l’impôt sur la plus value en cas de revente

In fine j’obtiens mon** TRI de 6,5%.**

il faut dire que j’ai acheté au lancement du programme; et celui ci à bien marché pour le promoteur…!!

Immobilier locatif : jusqu’à 7 % de rentabilité
Publié par P. Chevillard le 8 février 2021

La rentabilité mesure la performance d’un investissement locatif. Comment la calculer ? Combien l’immobilier rapporte-t-il ? Quel est le vrai rendement locatif de la pierre ?

© Fotolia/Melinda Nagy
Un placement, c’est fait pour être rentable. Par exemple, vous placez 100 €. Un an plus tard, vous avez 104 €. L’opération vous rapporte donc 4 % par an. En matière d’investissement immobilier, il s’agit de connaître votre rendement locatif. Grosso modo, c’est le ratio entre ce que vous rapporte le logement que vous louez (loyers) et ce qu’il vous coûte (prix d’achat, crédit, entretien, taxes, etc.). Pour ce qui vous concerne, en tant qu’investisseur, la question prend une importance cruciale puisque votre opération immobilière ne doit pas vous faire perdre d’argent.

La rentabilité locative en bref. Le calcul de base prend en compte les loyers et le prix du logement ce qui permet d’obtenir le rendement brut. En lui ajoutant les charges et les impôts, vous obtenez la rentabilité nette. En intégrant les avantages fiscaux, on parle de rentabilité nette-nette. Reste à savoir comment ça marche précisément. Et surtout combien rapporte vraiment la pierre.

Investissement locatif : rendement ou rentabilité ?
Les mots ont un sens. Surtout en matière d’investissement immobilier. L’idée est donc de savoir précisément de quoi l’on parle pour bien faire la différence entre rendement et rentabilité.
Le rendement locatif. Stricto sensu, il concerne uniquement les revenus que votre logement va vous rapporter par rapport à son coût.
La rentabilité locative. Elle intègre les revenus générés par votre logement loué ET la variation de prix du logement dans lequel vous avez investi. Si l’on tient compte de tous les flux financiers (revente notamment), on parle de taux de rentabilité interne. Cet article traite essentiellement de rendement locatif.

Comment calculer le rendement d’un placement immobilier ?
La rentabilité brute. Elle s’obtient en divisant le loyer annuel par le prix du logement et en multipliant le résultat par 100. Il s’agit donc d’un rendement brut annuel. Exemple : un studio acheté 150.000 € et loué 650 € par mois rapporte 5,2 % bruts (650 x 12 /150.000 x 100 = 5,2).

Notre avis. Ce rendement locatif brut est un premier indicateur très utile. Il permet de comparer ce qui est comparable : pour chaque bien, en effet, les charges ou encore la fiscalité locale diffèrent. Cela dit, la rentabilité brute ne donne qu’une première indication et d’autres facteurs doivent être pris en compte pour un calcul plus précis.

La rentabilité nette de charges. Vous reprenez le calcul précédent. Dans le loyer annuel, vous retranchez la taxe foncière (elle est payée par le propriétaire investisseur, autrement dit par vous), les charges non récupérables sur le locataire et les frais de gestion. Au loyer annuel de notre studio, vous ôtez par exemple 600 € de taxe foncière, 10 % de frais de gestion et 400 € de charges non récupérables. Nouveau loyer annuel : 6.020 €. Rentabilité (ou rendement locatif) nette de charges : 4,01 %.

Notre avis. Ici, vous avez une idée bien plus précise du rendement locatif. Cette approche tient compte des entrées et des sorties d’argent et vous permet de mieux mesurer les tenants et les aboutissants de votre investissement immobilier. Vous intégrerez ces éléments dans la simulation financière qui vous permettra de bâtir votre plan de financement.

La rentabilité nette-nette. C’est la rentabilité nette de charges, plus les avantages fiscaux. Rappelons que les travaux, la taxe foncière ou encore les intérêts d’emprunt sont déductibles des loyers lorsque vous déclarez ces derniers au fisc. Vous pouvez également profiter de certains dispositifs de défiscalisation comme le Pinel ou le dispositif Censi-Bouvard dans l’immobilier neuf, ou encore les avantages fiscaux Cosse mais aussi Denormandie dans l’ancien.

Notre avis. L’évaluation précise de la rentabilité nette-nette relève du cas par cas : elle dépend du profil fiscal (notamment du taux d’imposition) de chaque bailleur et de chaque investissement. Pour en savoir plus, voir La fiscalité immobilière.

Malin : calculer la rentabilité locative avec la méthode Larcher. Pour avoir une idée plus précise du rendement locatif de votre investissement sans faire de lourds calculs, appliquez la méthode Larcher. Elle reprend la rentabilité brute en la calculant sur neuf mois de loyers (pas sur douze). On estime en effet que les charges et autres dépenses représentent 25% des loyers, ce qui équivaut à trois mois de loyers. Reprenons l’exemple de notre studio. La rentabilité avec la méthode Larcher se calcule comme suit : 650 x 9 / 150.000 x 100 = 3,90% Le rendement locatif net de ce bien se situe aux alentours de 3,90%.

Rentabilité locative : 5 conseils pour investir serein. Les éléments qui composent la rentabilité nette-nette doivent être le plus précis possible pour que vous puissiez bâtir un plan de financement solide. Voici cinq règles à respecter.

Faites attention aux simulations trop optimistes. Les hypothèses de hausse des loyers ou de prix de revente ne doivent pas être surestimées. Méfiez-vous des rendements locatifs annoncés trop élevés.
Intégrez dans vos calculs la taxe foncière, les charges et les travaux. Pour calculer votre rentabilité nette-nette, notez que la plupart de ces éléments sont déductibles des loyers lorsque vous les déclarez.
Tenez compte de la vacance locative. C’est la période durant laquelle le logement est vide (vous ne percevez pas de loyer, ce qui fait baisser le rendement). A titre indicatif, comptez deux mois de vacance locative par période de trois ans (taux de vacance locative de 5,50 %).
Gardez une marge de manœuvre financière. Vous devez être en mesure de faire face à une baisse d’environ 20 % de vos loyers annuels sans mettre en péril le remboursement de votre crédit.
Considérez les avantages fiscaux comme un bonus et pas comme une fin en soi. Ce qui compte, c’est la pierre : qualité de l’emplacement et du logement, dynamisme du marché pour la revente, etc.
Trouver un logement neuf avec défiscalisation Pinel

Immobilier locatif : combien ça rapporte ?
La rentabilité nette d’un investissement immobilier varie le plus souvent de 2 à 7 %, voire davantage dans certains cas.La performance dépend notamment du type de logement, sachant qu’au mètre carré, les petites surfaces rapportent davantage que les grandes. Ce qui mérite quelques explications pour investir en connaissance de cause.

Les studios et les T1. Ces petites surfaces rapportent davantage que les grandes au mètre carré, mais les locataires changent plus souvent. Un turn-over qui implique davantage de vacance locative et des remises en état plus fréquentes, ce qui impacte forcément le rendement locatif. En d’autres termes, le rendement plus élevé compense le risque plus important.

Les grands appartements et les maisons. Au mètre carré, ces grandes surfaces sont moins rentables. Mais leurs locataires sont plus stables puisqu’il s’agit le plus souvent de familles. En outre, elles ont tendance à s’approprier davantage la maison ou l’appartement. Du coup, elles l’entretiennent mieux, ce qui diminue les frais d’entretien supportés par le propriétaire-bailleur, frais d’entretien qui pèsent forcément sur la rentabilité. Ici, c’est la sécurité qui compense un rendement moins important.

Deux et trois pièces : le compromis. Ces logements marient les qualités des petites et des grandes surfaces : turn-over raisonnable, stabilité des locataires correcte, vacance locative et frais de remise en état limités.Leur rendement comme le risque restent corrects. Dans le neuf, ces logements sont bien adaptés aux investissements sous défiscalisation Pinel.

L’impact de l’emplacement. La rentabilité est plus faible sur les adresses les plus résidentielles, puisque ce sont les plus chères en termes de prix. Mais ces secteurs sont plus sûrs en termes de valorisation, ceci compensant cela. Ce n’est pas un hasard si l’investissement locatif à Paris garde de nombreux adeptes malgré un rendement locatif brut qui tourne autour de 3%. La capitale, très recherchée, souffre d’un manque de logements. Une offre inférieure à la demande qui garantit la valorisation du bien sur le long terme.

Conseil : pour bien mesurer les tenants et les aboutissants de votre placement immobilier, raisonnez comme les investisseurs financiers. Pour eux, la rentabilité rémunère le risque. Plus ce dernier est élevé, plus le rendement grimpe. Ainsi, un logement qui rapporte peu offre une grande sécurité : il résiste mieux à un éventuel retournement du marché immobilier et à une possible baisse des prix.

Le logement locatif, c’est rentable… Et après ?
Les atouts de la pierre. En toute objectivité, l’immobilier locatif affiche actuellement un très bon rapport risque/rentabilité, surtout lorsqu’il est comparé aux placements financiers. Ces derniers, lorsqu’ils sont peu risqués, rapportent de moins en moins. Les assurances-vie basées sur les fonds en euros (le capital est garanti à 100%), par exemple, rapporteront dans les 1 à 1,50% sur l’année 2021 (et ce sans tenir compte de la fiscalité et des prélèvements sociaux). Les placements qui rapportent davantage sont dans la plupart des cas bien plus incertains.

Immobilier locatif : les bons objectifs. La rentabilité est évidemment importante. Mais elle ne doit pas constituer l’unique critère de choix. L’idée est d’abord de bâtir un patrimoine durable. Vous devez également définir vos objectifs : mettre en location le plus longtemps possible, loger un enfant, reprendre le bien pour y vivre plus tard ou le revendre pour dégager une plus-value. Bref, l’idée, c’est savoir dès le départ ce que vous comptez faire du logement après la phase locative. Autant de stratégies qui obéissent aux mêmes règles : choisir un logement de qualité et une bonne adresse, les deux points-clés pour bien louer et bien revendre lorsque vous le souhaiterez. Pour en savoir plus, voir Choisir un bon emplacement.

Bonjour, Tout d’abord le prix du marché immobilier est très hétérogène d’une commune à une autre à cause d’une pénurie de logement neufs et anciens plus ou moins grande.
Ensuite, le prix du marché immobilier peut-il monter ? Il peut monter sous l’effet de l’inflation, mais pas du tout sur puisque l’on a pas du tout idée du taux d’inflation (>2%?). Alors, le prix de l’immobilier peut-il baisser ? En tout cas depuis 2008 ( environ 13 ans) le prix intrinsèque de l’immobilier a légèrement baissé. Pourquoi ? parce que depuis 2008, nous avons vécu une inflation proche de zéro, voire même une déflation (alimentaire) et donc une stagnation des salaires et des revenus.
Donc, les prix de l’immobilier devait donc encore stagner. Jusqu’à présent, les vendeurs ont du renoncer à intégrer le coût des frais Notariés de 8%. En moyenne, je dis bien en moyenne les acquéreurs ont déjà perdu de l’argent sur l’Immobilier. A cela, il faut rajouter les réparations et charges … En résumé, l’immobilier constitue dans l’esprit des gens une valeur refuge, en période de krach ! La pénurie de logements de qualité fait le reste.

Bonjour, je pense que ceux qui ont acheté de l’immobilier en direct, à des fins locatives, ces dix dernières années en sont pour leur frais ! Le Sujet a été argumenté et les SCPI sont suffisamment diverses pour pouvoir investir sans souci et de façon plus rentable. CDT

Bonjour j’ai déjà argumenté précédemment dans un autre message. Depuis douze ans nous sommes dans une période de non-inflation et en 2013 on était presque en déflation. Le coût des frais de Notaires qui pèsent pour 8%, se fait au dépend du vendeur. D’autre part, sur Douze mois de revenus locatifs il y a 5 mois d’Impôt foncier dont la TF…et les charges de syndic pour partie à charge du propriétaire aussi. Enfin si tout se passe moins bien que prévu le taux d’occupation n’est pas forcément de 100%, et enfin comme nous vivons une époque très particulière, si vous n’avez pas de travaux à chaque occupation c’est que vous avez de la chance. D’autre part, les lois Pinel etc…à défiscalisation permettent justement de « retomber sur ses pattes » comme on dit. Dans le cadre de la Loi « mixité » les copropriétaires qui payent un crédit sont confrontés à la présence de logement sociaux…non, vraiment je crois que l’économie participative ( SCPI ) est bien plus avantage. Et dans un monde où le temps passe à la vitesse d’un TGV le type d’investissement en direct entraîne à trop de problèmes. Certains passent entre les gouttes tant mieux, mais en règle général, nos dirigeants ont fait en sort de tuer l’investissement immobilier locatif ! D’ailleurs et là vous pourrez m’aider à trouver la réponse ; mais je crois que nos dirigeants et nos très « chers » dirigeants n’ont pas renouveler de Loi de défiscalisation mais je n’en suis pas sur. CDT

L’immobilier en Direct, pour obtenir des revenus locatifs, offre une rentabilité proche de 1% ! C’est démontré par tous les économistes ! Nonobstant, si vous avez la chance exceptionnelle (dans ce contexte de non-inflation) de faire une plus value durant ces dix dernières années et qu’avant 30 ans vous revendez le bien, boum badaboum, vous êtes Taxé lourdement. Les Dirigeants politiques ont tué l’immobilier en Direct. Les SCPI sont pour le moment plus avantageuse car elles offrent surtout moins de tracas. Cependant, les revenus fonciers sont tout autant taxés que pour un bien en direct. L’ensemble des Français environ 57% possède un bien pour y habiter. Pour le reste, ce sont bien souvent des Entrepreneurs du BTP (qui retapent de l’ancien) qui possèdent des biens à but locatif. Le Français moyen fuit les problèmes.

Bonjour, C’est un peu l’usine à gaz,
Je vais prendre juste un exemple que tout le monde peut lire tranquillement ;
" le rendement brut c’est les revenus bruts sur le prix d’acquisition disons pour un T3, 12000€/250.000€ = 4,8% brut
Si vous calculez en net, prenez l’Impôt foncier (dont la TF) c’est 5 mois au total de perdu ! soit 12000/12x7 = 7000€ ( 583€/mois…c’est pas encore la roue de la Fortune). Donc en net C’est 7000€/250.000€ =2,8% net… Je vous fait grâce des frais de syndic du en parti par le propriétaire et des travaux voire même de la casse !!! Quant à la plus value du bien au bout de dix ans, nous venons de vivre une période de non-inflation, voire de stagnation générale. L’acquéreur aura bien du mal à acheter le bien plus cher puisque les frais de Notaire sont de 8% soit 20.000€ de plus à ajouter au 250.000€ = 270.000€. Et, si vous le vendiez plus cher que 270.000€, après la remise en état suite aux locations, alors n’oubliez pas l’impôt sur la plus value. Pour bénéficier d’une exonération il faut vendre après 30 ans ! Bon courage

Je suis en train de tester une voie alternative à celles mentionnées avec l’immobilier indirect via un ETF (Lyxor FTSE EPRA/NAREIT Global Developed UCITS ETF)

Les dividendes me semblent honnêtes et la liquidité n’a rien à voir avec un vrai investissements dans l’immobilier.