Bonjour,
Y’a-t-il des fonds labellisés TEEC (transition énergétique et écologique pour le climat) dans les contrats Linxea (Avenir et Spirica particulièrement)?
A défaut des fonds « ISR »?
Merci!
Cdt,
Gyom
Bonjour,
Y’a-t-il des fonds labellisés TEEC (transition énergétique et écologique pour le climat) dans les contrats Linxea (Avenir et Spirica particulièrement)?
A défaut des fonds « ISR »?
Merci!
Cdt,
Gyom
« Le coût caché du sucre », par Candriam…
Publié le 24 Mai 2019
Règlementation accrue et évolutions des habitudes de consommation imposent aux entreprises de s’adapter
Au cours de ces 50 dernières années, l’obésité et d’autres pathologies liées au syndrome métabolique ont progressé à un rythme vertigineux. Candriam publie une recherche qui présente le sucre comme le nouveau facteur de risque majeur pour les entreprises du secteur de l’alimentation et des boissons.
Il apparaît de plus en plus clairement que le sucre représente désormais la principale cause d’obésité. Les études menées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) indiquent en effet que le sucre constitue un facteur déterminant essentiel de la masse corporelle. Malgré ces constatations, le développement de régimes alimentaires malsains a progressé à grande échelle. La consommation de sucres ajoutés et de graisses a considérablement augmenté et l’on estime désormais que plus d’un tiers de la population mondiale est en surpoids et que 13% de la population est obèse.
Les coûts liés à ces conditions sanitaires ont désormais atteint des niveaux sans précédent pour la société. Selon les estimations, ce sont 1 à 2% du PIB mondial qui sont dépensés pour atténuer les coûts sanitaires occasionnés par les mauvais régimes alimentaires. Afin de réduire ce fardeau, les organisations internationales et les gouvernements nationaux ont commencé à développer des politiques et des règlementations visant à réduire la consommation de sucre et à augmenter la transparence concernant les ingrédients, de façon à lutter contre la présence de sucre « caché » dans les produits alimentaires. De plus, les consommateurs, entraînés principalement par les « millennials », sont de plus en plus préoccupés par la qualité de leur alimentation et adoptent des habitudes de consommation plus saines et souvent exemptes de sucre. Le secteur de l’alimentation et des boissons est donc particulièrement exposé aux tendances en matière de règlementation et de consommation, lesquelles pourraient représenter une menace pour leurs profits et leur part de marché.
« En tant qu’investisseurs, nous nous efforçons d’intégrer à l’analyse des sociétés les risques ESG qui ont le potentiel d’affecter, parfois de manière substantielle, les perspectives financières des sociétés. A l’inverse, de nouvelles opportunités commerciales surgissent pour les sociétés offrant des solutions innovantes pour atténuer les risques ESG. Le cas du sucre, représentant à la fois un risque et une opportunité, illustre bien cette polarité » commente Wim Van Hyfte, Global Head of Responsible Investment and Research chez Candriam.
En tant qu’investisseur responsable, CANDRIAM évalue donc le positionnement des sociétés dans lesquelles il investit en analysant plusieurs catégories de facteurs, dont la santé et le bien-être. L’étude publiée identifie le sucre comme un risque majeur pour le secteur de l’alimentation et des boissons et propose un cadre d’analyse dynamique pour comprendre l’exposition au sucre des sociétés présentes en portefeuille. Les participations sont évaluées par rapport à leur exposition géographique à des marchés disposant d’une règlementation en matière de sucre déjà établie ou attendue et par rapport au contenu en sucre de leurs portefeuilles de produits, reflétant la conviction que la nutrition constitue un moteur sous-jacent de la croissance et de la profitabilité futures.
Graphe1
« Nous discutons avec les sociétés que nous détenons en portefeuille du contenu en sucre de leurs produits et des risques associés, afin de mieux comprendre leurs stratégies dans ce nouveau contexte de règlementation et de consommation. En tant qu’investisseurs responsables à long terme, nous incitons les sociétés au sein de notre portefeuille à considérer cette situation comme une opportunité d’améliorer leur croissance à long terme, grâce à la mise en place de la bonne stratégie et du meilleur portefeuille de produits en matière de nutrition » déclare Solange Le Jeune, Senior ESG Analyst chez Candriam.
Bonsoir Gyom
Je m’intéresse aussi à ces types de fonds.
Dans la liste des fonds Linxea chez Morningstar, vous trouvez les 2 fonds :
https://lt.morningstar.com/7fkk6wwlcf/fundquickrank/default.aspx
HSBC Europe Equity Green Transition AC :
https://lt.morningstar.com/7fkk6wwlcf/snapshot/snapshot.aspx?id=F0GBR0580R&SecurityToken=F0GBR0580R]2]1]FEEUR%24%24ALL_1016&source=fundquickrank&ClientFund=1&LanguageId=fr-FR&CurrencyId=EUR&UniverseId=FEEUR%24%24ALL_1016&BaseCurrencyId=EUR
site de la société de gestion :
https://www.assetmanagement.hsbc.com/fr/distributeurs/gfc/default.html?fundid=HFFF109&SH=AC
Mirova Global Green Bond Fund R/A (EUR) :
site de la société de gestion :
[i]http://ppu.am.natixis.com/MIROVA/fr-FR/PRO/LU1472740767/[/i]
C’est clair, merci!
Je reviens vers vous car dans les fonds de Linxea Avenir, de chez Mirova je ne vois que le fond « FRUCTI ISR OBLI EURO ».
Le fond Mirova Green Bond Global n’apparait pas. Idem d’ailleurs si je cherche ce fond via le XRay.
Via le Xray, seul le fond « Mirova Obli Euro RC » apparait en filtrant sur la société Mirova.
Je suis donc un peu perdu
Merci de votre aide.
Cdt,
Guillaume
Merci à tous pour votre aide.
Gyom
Bonjour Gyom,
Je complète la réponse des autres clients en précisant que dans le Xray, les fonds Mirova sont rattachés à la société de gestion Natixis Investment Managers International. Je pense que la bascule est en cours chez Morningstar.
LINXIE
On les voit en tapant, par exemple, « green » dans la zone libellé.