Epargne

Epargne : comment protéger ses économies de l’inflation
L’inflation revient ! comment s’en protéger

2,1 % : voici l’augmentation en septembre de l’Indice des prix à la consommation (IPC) sur les 12 derniers mois. De quoi donner à réfléchir aux épargnants alors que le Livret A plafonne toujours à 0,50 % net.

Sur quel support placer son argent pour ne pas perdre en pouvoir d’achat ? Avec seulement 0,5 % d’inflation en 2020, les Français n’avaient pas vraiment à réfléchir à la question. Mais en 2021, la hausse des prix s’accélère. L’indice des prix à la consommation a grimpé de 2,1% en France au cours des 12 derniers mois d’après les chiffres provisoires de l’Insee pour le mois de septembre. Son plus haut niveau depuis 2018. Dans ce contexte, le Livret A et son taux de 0,5% ne peut pas grand-chose. Il vous fait même perdre un peu pouvoir d’achat. Voici 4 placements susceptibles de vous protéger de l’inflation.

  1. Les fonds euros de l’assurance vie
    L’assurance vie comporte deux types de supports différents : les unités de compte, non garanties en capital, et les fonds euros, qui sont protégés. Les fonds euros sont l’un des rares placements qui peuvent permettre d’atteindre le niveau de l’inflation sans prendre de risque. Néanmoins, le choix du gestionnaire du contrat d’assurance vie est capital. En effet, tous les assureurs n’offrent pas les mêmes rendements. La moyenne du marché, avant fiscalité, était ainsi de seulement 1,28 % en 2020. Mais quelques noms se distinguent, à commencer par le fonds euros de Garance Epargne et son rendement de 2,75 % sur la même période.

  2. Les obligations indexées sur l’inflation
    Il existe un type de produit particulièrement utile pour se protéger des effets de l’inflation : les obligations indexées sur l’inflation (OII). Leurs rendements sont directement liés au niveau de la hausse des prix. Il est ainsi possible de faire l’acquisition d’obligations assimilables du Trésor de type OATi, émises par l’Etat français. « Si vous gardez l’obligation jusqu’à terme, le risque de perte en capital est faible », explique Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’Epargne et économiste

  3. L’investissement dans l’immobilier locatif
    L’immobilier plaît toujours, et encore plus lorsqu’il peut rapporter de l’argent régulièrement. C’est le cas d’un investissement locatif, qui consiste à acheter un bien en vue de le louer. Les loyers perçus permettent de rentabiliser l’opération et de payer tout ou partie du crédit immobilier souscrit. Qui plus est, ils peuvent évoluer à la hausse chaque année sur la base de l’Indice de référence des loyers (IRL), lui-même basé sur l’évolution des prix à la consommation au cours des derniers mois. L’inflation rentre donc en compte dans ce calcul, permettant à l’investissement dans l’immobilier locatif d’éviter de perdre en pouvoir d’achat. Si acheter un bien immobilier pour le louer ne vous séduit pas, vous pouvez aussi investir dans une Société Civile de Placement Immobilier (SCPI). Surnommé « Pierre papier », ce placement permet d’allouer une partie de son épargne dans l’immobilier en échange d’une part des loyers collectés par la SCPI.

  4. Les actions
    Tout comme les SCPI, les actions sont un support qui présente un risque de perte en capital. En période d’inflation, certaines actions présentent un intérêt accru, à commencer par celles d’entreprises qui peuvent facilement augmenter leurs prix. Il s’agit là des leaders de leur marché, de marques fortes ou d’entreprises très spécialisées. Un OPCVM leur est d’ailleurs dédié : le Amplegest Pricing Power (Ferrari, Airbus, Essilor-Luxottica, Sixt…).

Autre possibilité sur le marché action : les groupes bancaires. En effet, les banques se rémunèrent en partie sur le taux des crédits qu’elles accordent, un taux qui varie généralement à la hausse avec la reprise de l’inflation. À la clé pour elles ? Une rentabilité accrue, et donc des possibilités de voir les prix de leurs actions grimper en bourse. Au lieu de miser sur un seul établissement bancaire, vous pouvez opter pour des fonds ou des ETF investis à 100% dans le secteur de la banque et de la finance à l’image de Lyxor S&P 500 Banks ou encore de iShares Global Financials.

Pardon , pas la Chine , etc… investit en Bitcoin mais des chinois, etc achètent des bitcoins. Les banques centrales de ces pays achètent de l’or physique .

Des preuves?

Etat profond = complotisme

Bref aucune preuve de tout cela, aucun lien avec le thème de la file. On arrête avec le BTC , il y a une file pour cela .

Je suis à 100 % d ‹ accord avec ce qui est écrit ici. Bravo pour l › analyse.

Vraiment des abrutis, pas le moindre bitcoin dans la poche …

ahhhh en fait, si je comprends bien , c’est Nathalie Arthaud et Philippe Poutou qui sont derrière le BTC …

ah en plus il a une philosophie donc …

que des pays qui font réver …

Dites-vous bien que les Français n’ont pas plus d’un livret A devant eux, au crépuscule de leur carrière. C’est cela le drame ! Ils sont pauvres et ignorants. les Français sont des veaux, ils n’apprennent pas de leurs erreurs.

Pensez-vous que Bitcoin est inutile ?

Vous faites erreur, Bitcoin est totalement traçable, c’est pour cela que les trafiquants évitent de l’utiliser, en revanche les dollars et les euros… l’argent n’a pas d’odeur, la pègre s’en donne à cœur joie ! Prenez le temps d’étudier Bitcoin vous allez comprendre qu’il va révolutionner le monde la finance tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Vous utilisez le terme exact " la culture financière " il s’agit bien de culture. On a fait croire aux Français que s’intéresser à l’argent ce n’était pas bien ! Alors que la culture générale, les gens en raffolent. Les Français sont capables de faire 2 heures de file pour entrer dans une grande exposition. Il faut avoir envie de sacrifier un peu de temps de loisir à étudier la finance pour votre propre intérêt. Il faut un vrai investissement personnel pour se cultiver à la finance grand public. Comme cette matière n’est pas enseignée à l’école, de manière volontaire, bien sûre, c’est dans les familles que la transmission de la culture se transmet. Hélas les inégalités font que peu ont accès et croient l’inaccessibilité à cette connaissance par ignorance. Mais cela va éclore grâce aux réseaux sociaux et aux chaines libres sur You tube. Il y a tout à disposition en ligne pour vous former sur tout. C’est une question de choix personnel.

Je ne pense pas que les Français préfèrent l’épargne de précaution à l’épargne de retraite, c’est par ignorance, c’est juste un réflexe par peur du lendemain. C’est surtout ce manque de culture financière qui les maintiens dans l’erreur. Ils n’ont aucune visibilité sur leur horizon de temps. Tout vient de l’éducation financière. Que fait leur conseiller financier à la banque ? Il leur met la tête sous l’eau, ils sont crédules et se laissent embarquer dans des placements avec des frais élevés. C’est normal, c’est du commerce. Alors qui, l’école ? Si personne ne leur explique le mécanisme de l’argent, les Français ne comprennent pas la situation ubuesque de l’argent et la dette souveraine. C’est à chacun de s’occuper de ses finances car personne, ne le fera pour vous. Ne comptez et n’investissez que dans vous-même. Il faut une prise de conscience.

Je suis bien consciente des inégalités…

Tout ça pour dire que si vous voulez battre l’inflation il faut prendre plus de risques, il faut aller sur les actions. Risques = rendements.

En temps d’inflation, de guerre, de changement d’ordre mondial, les épargnants sont perdants. Pour protéger vos avoirs, l’investissement dans une sélection d’actifs, sauveront votre épargne.

Bonjour Sun7,
Je vous remercie pour cet exposé. Visiblement nous n’avons pas du tout le même point de vue sur la question de l’Ukraine. Je vous recommande la lecture :
Le Grand Échiquier : l’Amérique et le reste du monde (en anglais : The Grand Chessboard: American primacy and its geostrategic imperatives) de Zbigniew Brzeziński et publiée en 1997.

L’auteur y expose une analyse visionnaire 25 ans plus tôt de la situation telle que nous la vivons aujourd’hui.

Il faut trouver une solution pacifique car sinon nous retournerons à l’âge de pierre.

Un débat n’est pas fait pour que nous soyons d’accord mais pour apporter sa contribution.

pour ceux qui encourage la guerre :

“L’humanité devra mettre un terme à la guerre, ou la guerre mettra un terme à l’humanité.”
John Kennedy / Discours ONU le 25 septembre 1961.