Bonjour
Je souhaite ouvrir un compte titre, j’aimerai un retour d’expérience pour ceux qui en ont un depuis longtemps ?
Merci pour vos préconisations et conseils avisés en terme de garantie frais et documents déclaratif…
Bonne journée à vous
Quelles sont les meilleurs ETF sur un Linxea Avenir 1 ?
Vraiment ? Vous ne payez aucun frais sur le CTO Boursorama sur les ETF ?
Merci cela est en effet très intéressant. A étudier !
Bonjour,
Quel serait l’usage que vous comptez faire de ce compte titres et les supports qui vous intéressent ? Est-ce pour du trading actif sur des fréquences et montants importants ou juste pour de petits ordres occasionnels ?
Je vous dirais dans tous les cas d’aller vers une banque en ligne ou un courtier en ligne spécialisé. Évitez toutes les banques de réseau qui vous factureront des droits de garde et des frais importants sur chaque opération sans aucun avantage en contrepartie, sauf si vous souhaitez passer par un conseiller financier.
Avez-vous déjà des comptes voire un PEA dans une banque en ligne ? Si oui, la solution simple pour ne pas multiplier les intermédiaires et faciliter les opérations serait d’y ouvrir votre compte titres à des conditions généralement correctes. Ce ne sera cependant pas la solution la plus économique si vous recherchez les frais les plus bas. Auquel cas un courtier spécialisé type Bourse Direct ou Binck/Saxo sera imbattable. Après, certains ont aussi une préférence pour l’interface de l’un ou l’autre des sites ou des fonctions de trading très avancées qui ne sont pas toujours proposées par tous.
Tous étant des établissements financiers, ils auront le même niveau de garantie et vous fourniront tous les documents réglementaires, pas de différence à ce niveau.
Bonjour,
Dans ce cas, si vous avez déjà vos PEA chez Bourse Direct et si leur service et leur interface vous convient, pourquoi ne pas ouvrir un compte titres ordinaire au même endroit ? Leurs tarifs sont généralement parmi les plus bas du marché et ce sera plus pratique pour vous, vous pourrez continuer à passer tous vos ordres de la façon habituelle en choisissant le compte approprié.
Les raisons qui pourraient pousser à aller ailleurs seraient si des titres qui vous intéressent ne sont pas proposés par Bourse Direct, ou si un autre courtier propose des tarifs plus adaptés au montant des ordres que vous passez. En effet, certains sont mieux placés sur les petits ordres, d’autres sur les gros, avec des taux ou des forfaits de commission plus intéressants. Mais là c’est vraiment fonction de ce que vous prévoyez de faire, et dans une optique buy&hold de long terme, une différence de 0,1% ou de quelques euros sur un ordre sera marginale.
Et au pire, si dans quelques années vous changez d’avis, un PEA comme un compte titres se transfère, c’est un peu long mais beaucoup plus facile qu’une assurance vie ! Et en plus généralement votre nouveau courtier, ravi de vous accueillir, vous remboursera les frais de transfert
Bonjour
En effet je n’ai pas été très précis, désolé.
J’ai déjà un pea et pea PME (bourse direct) et je souhaite acheter des titres non éligible jusqu’ici.
C’est encore dans une vision long termes et des achats mensuels.
Je recherche a la fois les frais et les autres critères qui pourraient être important.
Merci en tout cas déjà
Bonjour
En effet je n’ai pas été très précis, désolé.
J’ai déjà un pea et pea PME (bourse direct) et je souhaite acheter des titres non éligible jusqu’ici.
C’est encore dans une vision long termes et des achats mensuels.
Je recherche a la fois les frais et les autres critères qui pourraient être important.
Merci en tout cas déjà
Merci beaucoup pour cette réflexion et votre avis avisé
Attention cto et assurance vie sont des enveloppes avec un intérêt Distinct.
La taxation sur les plus value pour le cri par exemple est un frein
Sur le CTO
Bonjour,
Je vous conseille Boursorama. Vous pouvez négocier les frais de courtage (0.04% pour ma part). Aussi ils proposent des ETF Blackrock gratuits depuis peu !
Degiro est aussi très bien !
Vous l’avez compris avec ces nouveaux produits, il n’y a plus aucun intérêt à détenir une assurance vie : les frais (même réduits) plombent largement l’avantage fiscal !
La fiscalité est exactement la même entre le cto et l’assurance vie : flat tax 30%
Sauf effectivement si vous détenez le contrat plus de 8 ans et avez moins de 150 000 euros dessus.
Mais ce que je dis, c’est qu’avec des frais de gestion sur l’ensemble du capital avec l’assurance vie, vous perdez tout ce que vous gagnez avec l’avantage fiscal !
Autant détenir un CTO avec des ETF gratuits (l’offre Boursomarkets de Boursorama) et ne jamais vendre(strategie buy and hold) . C’est en plus le plus rentable comme stratégie (voir Jack Bogles).
Auss, pouvoir choisir son cours d’exécution sur cto est bien plus pratique (je soupçonne aussi les assureurs d’arbitrer les clients sur les cours les moins favorables…)
Privilégiez les etf larges : monde ou sp500 de Blackrock Amundi/Lyxor ou Vanguard
L’autre intérêt fiscal du CTO est le démembrement, si l’on envisage la fiscalité à long terme, c’est à dire en incluant son propre décès.
Ex: Vous avez un CTO de 200 K investi en sociétés foncières qui distribuent peu ou prou 6% par an.
- Vous faites une donation de la nue propriété à votre enfant avant 60 ans. DMTG = 0
- Vous décédez à 80 ans, si le CTO vaut 300 K, l’enfant le reçoit en franchise fiscale et la plus value est nulle.
Avec une assurance vie il sera taxé à 20% sur les 150 K au delà de la franchise fiscale.
L’autre intérêt fiscal du CTO est le démembrement, si l’on envisage la fiscalité à long terme, c’est à dire en incluant son propre décès.
Ex: Vous avez un CTO de 200 K investi en sociétés foncières qui distribuent peu ou prou 6% par an.
- Vous faites une donation de la nue propriété à votre enfant avant 60 ans. DMTG = 0
- Vous décédez à 80 ans, si le CTO vaut 300 K, l’enfant le reçoit en franchise fiscale et la plus value est nulle.
Avec une assurance vie il sera taxé à 20% sur les 150 K au delà de la franchise fiscale.
Vous avez beau démembrer vos titres si on envisage la fiscalité à long terme votre enfant subira la taxation des plus values à la revente des titres de fait si vous achetez 200K de sociétés foncières et faites dans la foulée votre donation, à votre décès si vos titres valent 300K et votre enfant les vends il paiera 30 000€ de flat tax. Soit un capital net de 270 000€
Le différentiel sera encore plus important si vous avez acquis les titres plus jeune pour 150 000 que avant 60 ans ils valent 200 000 au moment de la donation et à votre décès 300 000 dans ce cas la revente après votre décès engendre 37 500€ de flat tax. Soit un capital net de 262 500€
ALors c’est vraiment histoire de calcul parce que là 300k en AV -152,5k abattement à 20% entraine 29 500€ de droit de succession mais une purge complète de la fiscalité. Faux également, il faut savoir que en réalité si le contrat AV contient 100k de PV l’assureur déduira d’abord les 17 200 de PS puis appliquera l’abattement et taxera 26 060 soit un capital net versé de 256 740€ Mais en optimisant le montant sur AV et CTO démembré on peut réduire la facture.
Pourtant au cours de votre vie l’AV pourrait vous être plus avantageuse puisque elle n’est pas définitive (contrairement à votre donation), vous pouvez sortir uniquement l’argent dont vous avez besoin alors que les distributions de 6% par an du CTO démembré vous seront versés directement et entreront donc à votre décès si vous ne dépensez pas tout dans votre actif successoral.
Enfin en matière de flexibilité vous restez libre de faire des rachats sur votre AV en cas d’imprévu en percevant 100% de votre rachat, alors que votre titres étant démembrées votre usufruit perd en valeur au fur de votre vieillissement réduisant votre quote part en cas de vente sans vous éviter l’imposition. De même si vous souhaitez percevoir l’intégralité de la cession sous forme de quasi-usufruit vous devrez obtenir l’accord du NP (ou prévu initialement dans la donation) et payer l’intégralité de l’impot sur la plus value qui aurait normalement été réparti entre NP et US.
et enfin la donation CTO entraine le passage devant le notaire qui facture des frais parfois illégal de « conseil » pour des actes réglementées comme des DMTG ainsi que dans tous les cas une facturation (légale) pour la rédaction de la convention de démembrement souvent proprotionnelle au montant démembrée.