Le regard du Chief Investment Officer (CIO)
… des Clients riches
Le regard du Chief Investment Officer (CIO)
… des Clients riches
Il Analyse tellement bien, ce que nous s avons
2 eme je suis pas riche
3 eme je prevere de donner a la compagnie des moins rich
mon argent. a savoir la compagnie Klaus von Bremer
je ne pas de cheville gonflee, mais quand je regard Morningstar
est les autres, je suis mieux servier par moi meme.
pardon a vous tous
Klaus
Monsieur
vous accepter de L; Or?
merci re votre Reponse
Quel impact de la Fed sur les actions européennes ?
Pour les stratégistes d’UBS, l’impact d’une hausse des taux directeurs de la Fed sur les actions européennes devrait être limité.
Jocelyn Jovène | 08/09/2015
Malgré des statistiques de l’emploi mitigées, les marchés intègrent une remontée prochaine des taux directeurs de la Fed , une première depuis près de 10 ans. La pression monte sur la banque centrale américaine, certains observateurs estimant qu’il serait préférable qu’une première hausse soit actée, faute de quoi s’ouvrirait une nouvelle période d’incertitude et de volatilité sur les marchés.
Une hausse des taux directeurs est un signal à double tranchant pour les actions. D’un côté, la Fed monte ses taux quand l’économie va mieux, ce qui implicitement signifie que les entreprises se portent mieux. Mais c’’est déjà le cas depuis plusieurs années et les marges, aux Etats-Unis notamment, sont à des niveaux élevés (tout comme les niveaux de valorisation).
D’un autre côté, la hausse des taux ouvre la porte à un renchérissement du coût de financement des entreprises et à une contraction des multiples de valorisation, ce qui n’est pas favorable à la classe d’actifs.
Les stratégistes d’UBS estiment dans une note publiée ce lundi que l’impact d’une hausse devrait être limité pour les actions européennes pour plusieurs raisons. Tout d’abord, l’annonce est largement anticipée par les marchés, ce qui devrait déjà éviter un krach obligataire du type de celui de 1994.
Ensuite, les stratégies monétaires divergent entre l’Europe et les Etats-Unis, ce qui se traduit par un écart entre les marchés obligataires américain et européen.
Enfin, le point de départ de la hausse des taux est particulièrement plus bas qu’au cours des précédents cycles de resserrement monétaire, ce qui, paradoxalement, pourrait ouvrir la porte à une phase d’expansion des multiples.
… et je vous souhaite la Bienvenue !