Ce qui voudrait dire que c’est le même fonctionnement qu’en étant associé de la SCPI alors que ce n’est pas le cas via une assurance vie. D’ailleurs, on n’achète pas des parts, mais des fractions de parts.
L’assureur ne gère pas sur son stock, ne porte pas le risque?
Étrange car le seul contrat est entre l’assuré et l’assureur. Et que l’assureur ne vend pas des parts à un nouvel assuré à la valeur de réalisation, mais bien au prix fort, au prix de souscription.
Je n’ai pas de retour d’expérience mais je me permets de rappeler les éléments de l’avenant :
"Pour un ordre de désinvestissement, le prix de transaction applicable à la SCPI correspond à la valeur de cession par l’assureur des parts de la SCPI. Par valeur de cession, il faut entendre le prix de retrait évalué par la société de gestion de la SCPI. Dans l’hypothèse où les parts de la SCPI ne peuvent être cédées à ce prix, le prix retenu sera la valeur de la réalisation calculée conformément à la note d’information de la SCPI. "
« En cas de désinvestissement partiel portant sur la SCPI en cours de trimestre, les parts de la SCPI donneront droit à distribution de revenus prorata temporis jusqu’au dernier jour du mois civil du rachat des parts. En cas de désinvestissement total portant sur les SCPI, en cours de trimestre, aucun revenu ne sera attribué sur les parts rachetées au titre dudit trimestre. »