Les marchés continuent d’être très chahutés au gré des publications des indicateurs macroéconomiques et de l’évolution du prix du baril de pétrole.
La visibilité sur l’évolution de la croissance économique en Chine et le degré de ses répercussions sur les économies développées demeure assez faible rendant les marchés nerveux.
Malgré tout le numéro deux de la réserve fédérale américaine Stanley Fischer s’est montré rassurant en affirmant que la politique monétaire américaine « serait ajustée à la lumière des événements économiques et financiers ».
Au final l’indice Eurostoxx 50 termine la semaine sur une forte baisse (-6,7%) tout comme les actions émergentes (-6,1%). Les actions américaines ont relativement mieux resisté et les indices d’obligations européennes privées comme souveraines remontent légèrement.
Les profils ont également souffert de la mauvaise performance des marchés. Les fonds d’actions européens et américains ont eu tendance à sous-performer leurs indices de référence sur le mois (excepté le fonds Renaissance qui a bien mieux résisté que ses pairs).