Les marchés ont fortement chuté pendant la première quinzaine du mois de Décembre. La baisse brutale et massive du prix du pétrole, la situation en Russie et dans les pays émergents, les élections anticipées en Grèce, et l’incertitude entourant les décisions des banques centrales sont autant de thèmes qui ont préoccupé les marchés, plus illiquides en cette fin d’année.
Il faut souligner les points positifs que le marche a tendance a negliger ces dernieres semaines : sur le long terme, un prix du pétrole bas devrait être
bénéfique à la reprise de la consommation aux Etats-Unis et en Europe. Les marges des entreprises consommatrices d’énergie s’en verront également améliorer. En Europe, cet impact positif est couplé avec la baisse de l’euro qui augmente la compétitivité des entreprises et devrait soutenir la croissance et réduire les risques de déflation.
Dans ce contexte, nous conservons notre scenatio central d’une reprise économique de la zone euro, bien qu’à un rythme faible.