Goldman Sachs

Bonjour,

Goldman Sachs : Goal : asset allocation update du 21 mai 2013

« GOAL Asset Allocation – Inchangé : surpondération action, sous-pondération obligations d’état
Nous pensons que la croissance mondiale va accélérer en passant de 3% en 2012 à 3.2% en 2013 et à 4.1% en 2014. Nous tablons sur une reprise des US au Q4 2013 et une croissance lente en Europe.
Actions : Nous restons surpondérés à 3 et 12 mois. Le rendement sera soutenu par un rebond de la croissance mondiale, la hausse des résultats des entreprises et l’ERP élevé.
Matières premières : Nous tablons sur une faible volatilité et une certaine stabilité avec hausse parallèle de l’offre et de la demande. Rendement 0% à 3 mois et 1.5% à 12 mois.
Crédit : Les spreads Investment Grade vont continuer à se resserrer grâce à la recherche de rendement. Nous pensons que les entreprises en profiterons mais n’augmenterons pas fortement leur levier.
Obligations d’Etat : Nous pensons qu’une hausse graduelle des taux conduira à des rendements négatifs donc nous restons sous-pondérés. Â»

Goldman Sachs redevient positif sur les actions

La banque conseille de surpondérer les actions pour les trois mois à venir, profitant des messages accommodants de la BCE.

Jocelyn Jovène08.09.2014

Après avoir joué la prudence sur les actions cet été, au moment où les marchés devenaient plus volatils, les stratégistes de Goldman Sachs ont adopté de nouveau une vue plus constructive sur la classe d’actifs.

Dans une étude datée du 5 septembre, ils « surpondèrent Â» les actions dans leur allocation modèle pour les 3 mois à venir, s’appuyant notamment sur le discours accommodant de la BCE.

La classe d’actifs devrait rapporter 3,3% aux investisseurs et 12% sur les 12 prochains mois, indique Goldman Sachs.

« Nous anticipons des performances solides dans toutes les grandes régions, tirées principalement par la croissance des résultats et des dividendes Â», écrit la banque.

Elle maintient par ailleurs son scénario d’une remontée des taux, qui ne s’est pas encore matérialisé, mais à un rythme plus lent qu’initialement anticipé.

En Europe, les stratégistes taux de la banque voient le rendement à 10 ans du Bund revenir à 1,3% d’ici la fin de l’année.

[quote=« traptuip Â»]

GOAL: Asset Allocation Update - 21 mai 2013 – Inchangé : surpondération action, sous-pondération obligations d’état

Nous pensons que la croissance mondiale va accélérer en passant de 3% en 2012 à 3.2% en 2013 et à 4.1% en 2014. Nous tablons sur une reprise des US au Q4 2013 et une croissance lente en Europe.
Actions : Nous restons surpondérés à 3 et 12 mois. Le rendement sera soutenu par un rebond de la croissance mondiale, la hausse des résultats des entreprises et l’ERP élevé.
Matières premières : Nous tablons sur une faible volatilité et une certaine stabilité avec hausse parallèle de l’offre et de la demande. Rendement 0% à 3 mois et 1.5% à 12 mois.
Crédit : Les spreads Investment Grade vont continuer à se resserrer grâce à la recherche de rendement. Nous pensons que les entreprises en profiterons mais n’augmenterons pas fortement leur levier.
Obligations d’Etat : Nous pensons qu’une hausse graduelle des taux conduira à des rendements négatifs donc nous restons sous-pondérés.[/quote]

Interessante lecture, avec un mois de recul :slight_smile: … mais aujourd’hui n’est pas demain et la suite sera interessante aussi

Bonsoir à tous,

Merci Loupi pour ta réponse sur la file obligations émergentes.

Concernant GOLDMAN SACS, je m’étonne que certains prennent la peine de lire des posts les concernant car je me souviens d’un excellent reportage sur ARTE et/ou BFM BUSINESS sur la finance noire ainsi que sur cette banque qui est sans doute une des entreprises qui a le plus d’emprise sur le monde, banque que l’on peut comparer à une pieuvre géante avec des mains manipulatrices privées (et publiques !! ) au bout de ses tentacules (serait-ce les fameuses « grosses mains Â» dont a parlé Loupi en 2013… ?).

Bonjour Loupi et merci pour ces liens (bravo pour le choix des mots clés!) qui me rappelle ces émissions et qui résume bien la situation et hélàs confirme que nous vivons dans un monde pourri !.. Bien sur, il reste la solution si l’on est bien informé (et ce n’est pas le cas pour nous !) de faire de l’argent quelque soit la situation des marchés…

Qui sait, peut être qu’un jour le bitcoin ou son équivalent remplacera le dollar mais « ils Â» ne laisseront jamais faire ça ?!!!

Bonjour,

Merci Traptuip pour ce résumé en français.

bonjour,
Merci tratuip, je note aussi dans le doc, sur les equitys,NEUTRAL un peu partout sur 3 mois (la digestion) puis SURPONDERATION Asie et Japon.(a priori, en fonction de la situation dans3 mois, surtout sur le Japon)).

Les prévisions de Goldman Sachs AM pour 2017

Publié le 23 Décembre 2016

Parmi les nombreuses publications de « prévisions boursières 2017 », celles de Goldman Sachs AM font partie des incontournables. Le contexte est particulier puisque trois anciens membres de Goldman Sachs rejoindront l’équipe économique du Président Trump à partir de janvier.

Certes, par le passé, les prévisions économiques de Goldman Sachs ne se sont pas toujours révélées justes.

Pas plus tard que fin 2015, la banque d’affaires et société de gestion américaine avait annoncé un rebond du pétrole et une baisse des écarts de taux en zone euro, qui s’étaient révélés être des paris perdants en début d’année 2016.

Ces paris « ratés » s’étaient traduits, dès le mois de février 2016, par une communication de Goldman Sachs à ses clients pour leur signifier l’abandon de 5 de ses 6 grands paris boursiers annoncés fin 2015. Les investisseurs avaient alors sanctionné l’action Goldman Sachs en Bourse, celle-ci ayant dévissé de 30% à New York entre novembre 2015 et juin 2016.

Malgré tout, en 2017, la situation pourrait bien changer. Les investisseurs ne s’y trompent pas : le cours de Bourse de Goldman Sachs a progressé d’environ 35% depuis le 8 novembre, jour de l’élection de Donald Trump.

Le prochain Président américain a en effet déjà annoncé que trois anciens banquiers de Goldman Sachs feront partie de son équipe économique, ce qui pourrait permettre à la banque d’affaires de voir ses intérêts être mieux défendus à partir de l’an prochain…

Des perspectives 2017 plutôt optimistes

Que nous dit Goldman Sachs AM pour 2017 ? En premier lieu, « Nous nous attendons en 2017 à une poursuite de la longue reprise économique post-crise » et donc à une poursuite de la croissance mondiale, affirme la société de gestion.

« Notre scénario de base est largement favorable aux actifs à risque », comprendre : largement favorable aux actions mais également aux obligations d’entreprises, en particulier sur les marchés émergents qui ont « sous-performé par rapport aux marchés développés entre 2011 et le début de l’année 2016 » et conservent toujours un potentiel de rattrapage.

Malgré cet enthousiasme, « Nous n’espérons qu’un faible rendement sur ces classes d’actifs traditionnelles, à cause 1) des valorisations élevées, 2) du potentiel de hausse limité pour les résultats d’entreprises par rapport aux niveaux actuels et 3) du potentiel limité de croissance économique » reconnaît GSAM.

Dans un précédent communiqué de novembre, publié juste après l’élection de Donald Trump, la banque d’affaires annonçait également d’autres paris pour 2017, notamment un renforcement du dollar face aux autres monnaies, mais aussi une importante méfiance sur l’économie chinoise, qui pourrait souffrir de la politique de Trump et voir sa devise se dévaluer significativement l’an prochain.

Etre actif et réactif

En somme, Goldman Sachs AM reconnaît que l’année 2017 ne devrait pas être un long fleuve tranquille.

Nuançant son optimisme initial, la société de gestion estime que « Les actions, les obligations d’entreprises et les actifs des marchés émergents pourraient s’échanger dans un large canal de prix, avec [des périodes de] volatilité temporaire qui pourraient se traduire par des périodes de faiblesses suivies de rebonds ».

Pour Goldman Sachs AM, cet environnement devrait bénéficier aux gérants actifs capables d’être réactifs en sachant profiter des trous d’air en identifiant les opportunités d’investissements lorsque celles-ci se présenteront.

Sans concessions face à Trump

Surtout, contrairement à ce que l’on pourrait penser, Goldman Sachs AM se montre sans concessions face au prochain Président américain.

La société de gestion souligne ainsi que « Le populisme est un défi pour la mondialisation et crée de nouveaux risques », avant d’ajouter que l’année 2017 sera marquée par « de possibles chocs en provenance de la prochaine administration américaine ».

« Les 100 premiers jours de l’administration Trump seront critiques pour évaluer sa politique et ses priorités, allant des taux d’imposition aux accords commerciaux » résume Goldman Sachs.

Face aux risques d’une remise en cause de certains accords commerciaux, « La réponse de la Chine et d’autres pays sera critique pour évaluer les implications [de ces décisions] pour l’économie et les marchés ».

Goldman Sachs qualifie ainsi 2017 d’année de « transition », où il faudra savoir jongler entre populisme, inflation, politique budgétaire et dérégulation de certains secteurs pour trouver les meilleurs investissements.

Goldman Sachs ne voit plus d’opportunités globales sur les actions à horizon 12 mois…

Publié le 19 Mai 2016

Goldman Sachs, dont les grands paris pour 2016 avaient été battus en brèche en début d’année (prévision d’un rebond du pétrole quelques semaines trop tôt, paris sur la dette italienne…) remet à jour ses prévisions de court et moyen terme dans une note de marché diffusée mardi 17 mai au soir aux Etats-Unis et mercredi matin en Europe. En voici les principaux extraits traduits.

Actions : pas d’opportunités globales à horizon 12 mois du point de vue américain

De cette mise à jour des prévisions financières de Goldman Sachs, on retiendra les idées suivantes :

« Nous rétrogradons les actions à "Neutre" à horizon 12 mois pour des raisons liées à leur valorisation et la croissance [de leur résultats] ».

« D’ici à ce que l’on assiste à une croissance soutenue des résultats, les actions ne semblent pas attractives, notamment en tenant compte des risques qui leur sont associés ».

Goldman Sachs envisage « un marché volatil mais sans tendance ».

Du côté des changes, la banque d’affaires affiche désormais sa « prévision d’un renforcement du dollar », faisant suite à l’affaiblissement de la monnaie américaine en mars et en avril.

Le renforcement du dollar pourrait plafonner le potentiel d’appréciation des actions américaines, et créer une pression à la baisse sur les prix de certaines matières premières, cotées en dollars.

La vision peu optimiste de GS est surtout valable d’un point de vue américain : la banque d’affaires continue de prévoir une légère hausse du Stoxx 600 européen d’ici la fin de l’année, mais cette hausse, rapportée en dollars, deviendrait négative si le dollar venait à se renforcer significativement.

4 risques majeurs sur les marchés

Dans ce cadre, les quatre principaux risques macroéconomiques identifiés par Goldman Sachs sont les suivants :

« un affaiblissement de la croissance chinoise »

« une montée générale du risque politique en Europe »

« un changement d’anticipations du marché dans le cycle de remontée des taux de la Fed »

« des déclins dans les prix de certaines matières premières, en particulier des métaux ».

La banque d’affaires américaine insiste sur le fait que les estimations actuellement optimistes des investisseurs sur la lenteur de la remontée des taux de la Fed à moyen-long terme « augmente le risque d’un choc sur les taux. Dans un tel cas, les actions et les obligations pourraient connaître un mouvement de ventes massives ». Mais nous n’en sommes pas là.

A contrario, de manière plus positive, Goldman Sachs affirme : « nous nous attendons désormais à une conjoncture moins défavorable sur le pétrole à horizon 3 mois, étant donné les perturbations concernant l’offre, et nous remontons globalement les matières premières à « neutre Â» ».

« Surpondérés en cash »

S’affichant averse aux risques, la « Firme » préfère augmenter ses poches de liquidités.

« Etant donné que nous ne voyons pas beaucoup de potentiel de création de valeur à travers les différentes classes d’actifs, et que nous voyons des risques de natures variées concernant ces différentes classes d’actifs, nous restons surpondérés en cash à court terme » explique Goldman Sachs.

Le « court terme » de Goldman Sachs désigne ici un horizon à 3 mois.

La préférence de Goldman Sachs va au crédit américain et européen

Malgré ses quelques mises en garde, Goldman Sachs termine sur l’idée que « Notre principale surpondération reste celle du crédit, où les valorisations et les fondamentaux apparaissent favorables » sur un horizon de 3 à 12 mois.

Quatre citations à retenir :

« Nous préférons le high yield américain [au sein de la branche "crédit"] alors que nous évitons l’investment grade américain dont les perspectives de rendement réel sont limitées ».

« Une stabilisation du prix des matières premières, couplé à la baisse de la corrélation avec le pétrole, rend selon nous le crédit high yield attractif rapporté aux risques qui lui sont associés ».

« Nous restons surpondérés sur l’investment grade européen par anticipation du nouvel assouplissement de la BCE qui va commencer le mois prochain » (référence à l’achat d’obligations du secteur privé annoncé en mars par la BCE et qui prendra effet en juin).

« Nous avons également une préférence pour les emprunts à mi-chemin du high yield et de l’investment grade sur le marché européen car les investisseurs remontent sur la courbe du risque à la recherche de rendement ».

Quel est l’impact d’une hausse des taux sur les actions ?

Pour Goldman Sachs, la remontée des rendements obligataires devrait pousser les investisseurs vers les secteurs plus cycliques des marchés actions.
Jocelyn Jovène | 08/06/2015

Après deux phases de correction brutale sur les marchés obligataires, comment vont évoluer les actions dans les semaines à venir et comment les investisseurs doivent-ils se positionner ?

Une question urgente à laquelle déjà des éléments de réponse ont été apportés (lire ici et là). Mais le regain de volatilité sur les marchés la semaine dernière (graphique) a conduit certains observateurs à refaire le point.

Source: Factset, Morningstar.

Pour les stratégistes de Goldman Sachs, dans un environnement de marché « normal », la corrélation entre obligations et actions est théoriquement négative : la hausse des taux est une mauvaise nouvelle pour les actions, et une baisse des taux est à l’inverse un élément positif.

Depuis la crise financière de 2008, cette relation a changé. La chute des taux a été plutôt un signal défavorable pour les actions, car elle reflétait une révision en baisse des prévisions de croissance et les craintes de déflation. A l’inverse, une hausse de taux signifiait un raffermissement de la croissance économique, perçu comme un élément favorable pour les actions.

Mais il y a un « si ». « Si les rendements obligataires progressent de façon plus graduelle à partir des niveaux actuels (ce que nous attendons), les actions devraient être plus en mesure d’absorber une remontée des taux, et grâce à un rebond des profits, de continuer à progresser », écrivent les stratégistes de la banque d’affaires.

Le problème est que jusqu’ici, les mouvements de taux ont été relativement brutaux, avec un rebond de 28 points de base pour le 10 ans américain et de 36 points de base pour le 10 ans allemand en une seule semaine.

Comment les investisseurs peuvent-ils se positionner. Pour Goldman Sachs, le premier élément à considérer est l’exposition aux secteurs « défensifs » versus secteurs « cycliques ». Jusqu’ici, la baisse des rendements était plutôt un élément positif pour les actions « défensives », car en l’absence de visibilité sur la croissance économique, les investisseurs privilégiaient les sociétés les plus défensives, capables de croître quel que soit l’environnement de marché.

« Avec l’amélioration de la croissance et la baisse de la prime de risque actions, les investisseurs se montrent plus enclins à payer davantage pour du levier opérationnel, des marges et des valeurs cycliques », expliquent les stratégistes de la banque. Bref, privilégier les valeurs qui profiteront le plus du rebond de l’activité économique.

La banque prévient toutefois qu’il est sans doute plus opportun de regarder des sociétés de consommation cyclique que des valeurs liées à l’industrie ou aux matières premières, où les investisseurs n’osent guère aller depuis l’effondrement des cours.

Et plutôt que de sortir complètement des « bond proxies », ces valeurs aux caractéristiques obligataires (versement d’un coupon régulier et visible), « les investisseurs devraient aller dans des poches du marché qui offrent un rendement raisonnable et qui sont capables d’accroître leur dividende. »

Goldman Sachs toujours positif sur les actions

La banque américaine anticipe une amélioration des chiffres de croissance qui favorisera les actions au détriment des obligations, et se montre plus prudente sur les matières premières.
Jocelyn Jovène | 15/04/2014

L’allocation d’actifs de Goldman Sachs évolue peu. Dans sa dernière livraison, datée du 11 avril, les stratégistes de la banque américaine recommandent de continuer à privilégier les actions sur des horizons des 3 et 12 mois, au détriment des obligations gouvernementales. Ils adoptent une position « neutre » sur les actions Asie-Pacifique hors Japon et « sous-pondérer » sur les matières premières.

« Nous nous attendons à ce que le rebond du momentum de croissance soit le principal moteur des marchés financiers à court terme », écrivent les stratégistes et économistes de Goldman Sachs.
Reprise du cycle

Selon les économistes de la banque, la croissance américaine devrait revenir vers un rythme annualisé de 3% après un premier trimestre marqué par le froid, grâce à la reprise de la consommation et des investissements, un moindre impact des économies budgétaires.

La zone euro devrait voir son rythme de croissance progresser de 1,6 point de pourcentage, mais les économistes de Goldman note que « l’essentiel de l’amélioration est derrière nous et nous n’attendons désormais qu’une croissance modeste au cours des trimestres à venir ».

La croissance du premier trimestre de la Chine devrait se situer vers 5% en rythme annualisé, mais pourrait bénéficier du redémarrage des économies développées à partir du deuxième trimestre.

Source: Goldman Sachs.
Les actions privilégiées

L’amélioration des conditions économiques sera favorable aux actions. « Nous nous attendons à de bonnes performances dans les années à venir car l’accélération de la croissance économique entraînera les profits des entreprises et un déclin des primes de risque », observe Goldman Sachs.

L’expansion des multiples de valorisation ne jouera pas un rôle majeur dans les mois à venir, et la réduction de la prime de risque sera absorbée par l’augmentation des rendements obligataires.

En termes de zones géographiques, l’Europe et le Japon sont privilégiées au détriment des actions américaines.
Prudence sur les taux et le crédit

Dans l’univers obligataires, Goldman sous-pondère les obligations gouvernementales sur des horizons de 3 et 12 mois. « Les rendements obligataires sont sous nos objectifs et nous pensons qu’ils vont remonter sur fond d’amélioration de la croissance américaine, de déplacement de la politique monétaire de la Fed vers la ‘forward guidance’ et d’un possible assouplissement quantitatif de la part de la BCE », prévoit la banque.

Dans l’univers du crédit, la recherche de rendement va se poursuivre, avec une réduction modeste des spreads. La partie « investment grade » devrait offrir un rendement ajusté du risque plus intéressant que le « high yield », précise la banque. Sa position est d’être neutre sur les Etats-Unis et l’Europe et de privilégier les émissions financières plutôt que les non-financières.
Sous-pondération des matières premières

« Nous voyons un risque significatif de baisse des matières premières », avertit Goldman Sachs, qui adopte une attitude plus prudente sur la classe d’actifs.

Cette vue peut surprendre si l’on considère un environnement économique plus porteur, mais la prudence de la banque s’explique surtout par des risques de déséquilibre de l’offre et de la demande, et par la constitution de stocks déjà significatif sur certaines matières premières (cas des matières premières agricoles).

Bonjour merci pour ce dossier

Plus fort que Dehirsch comme humour . On vient de leur fermer des officines de " Hidden Trade " sur décision de l’ Etat US .

Mais c’ est ce que l’ on appelle " PARLER D’ OR " en bon Français . Lequel a perdu ce jour - 2.5% d’ un coup . Quelle poisse .

La Banque de France aurait-elle vendu MINE de rien un poil de nos énormes réserves ? Raaaahhhh , non , je plaisante moi aussi .

Beau travail Donzi75 .

Et voilà ! Tout simplement extra . Bienvenue parmi nous .[/cente]

GOAL: Asset Allocation Update - 21 mai 2013 – Inchangé : surpondération action, sous-pondération obligations d’état

Nous pensons que la croissance mondiale va accélérer en passant de 3% en 2012 à 3.2% en 2013 et à 4.1% en 2014. Nous tablons sur une reprise des US au Q4 2013 et une croissance lente en Europe.
Actions : Nous restons surpondérés à 3 et 12 mois. Le rendement sera soutenu par un rebond de la croissance mondiale, la hausse des résultats des entreprises et l’ERP élevé.
Matières premières : Nous tablons sur une faible volatilité et une certaine stabilité avec hausse parallèle de l’offre et de la demande. Rendement 0% à 3 mois et 1.5% à 12 mois.
Crédit : Les spreads Investment Grade vont continuer à se resserrer grâce à la recherche de rendement. Nous pensons que les entreprises en profiterons mais n’augmenterons pas fortement leur levier.
Obligations d’Etat : Nous pensons qu’une hausse graduelle des taux conduira à des rendements négatifs donc nous restons sous-pondérés.

Flute ! C’est surtout que j’ai publié le mauvais fichier et jeté le bon, celui de juin :wink: