GENERALI

Ci joint le dernier point hebdo de Generali

Point hebdo 24 janvier 2011

[b]Pas de papier ? Général Lee tu rajeunis ! La preuve chaque mois en Vidéo …

On s’ éclate avec " MINUTES MARCHES " ici : i[/i][/b]

« nous recommandons de mettre Ă  profit les semaines Ă  venir pour vendre des actifs risquĂ©s en tirant avantage de toute nouvelle apprĂ©ciation des marchĂ©s, puis d’adopter une position d’attente jusqu’à ce que la visibilitĂ© s’amĂ©liore sur le front politique. Â»

Voilà qui met noir sur blanc ce que beaucoup ont préconisé en janvier sur ce forum, ça a le mérite d’être clair !

–
Nicolas

… mais ne concerne pas les Marchés Emergeants (auxquels ils ne comprennent rien par conservatisme) . Que ce soit clair là aussi . NDL .

[quote=« Loupi Â»]

… mais ne concerne pas les Marchés Emergeants[/quote]

C’est parce que ce ne sont pas des actif risqués :-p

Bonjour a tous,

le Benefice net de Generali ,pour 2012 , en chute libre -89%.

Bonjour Loupi

tu et bouche B . avec le moins 89% de Generali? pas de reponse?

Hallo WERNER11 , L’ HOMME QUI ARBITRE PLUS VITE QUE SON OMBRE :wink:

Oui , car j’ avais cru apprendre le contraire , que leurs résultats étaient excellents la semaine dernière …

Re Loupi

tu sait, je suis trop Idiot, pour transverer ,un article, ou une photo ou un camembert. si non avec Plaisir je taurais transmise l article avec la chutte de Generali.

bien a toi, le jeune mec de phuket. je reviend le 17/5 en France, et repart le 12/11 pour la Thailand. . tout ce passe dans la tete

La taille serait importante …

bonne lecture

GIS EUROPEAN RECOVERY EQUITY FUND
Point sur l’actualité de l’europe du sud

Environnement Ă©conomique en Europe du Sud

Les données macro-économiques des pays d’Europe du Sud publiées durant l’été n’ont pas provoqué de mauvaises surprises contrairement au Nord de la zone euro. Les lourdes réformes engagées dans ces pays commencent à porter leurs fruits. Le Portugal et l’Espagne ont désormais retrouvé une vraie compétitivité internationale qui suscite un intérêt durable de la part des industriels occidentaux, avec par exemple les constructeurs automobiles qui renforcent leurs capa¬cités industrielles en Espagne et au Portugal. Les privatisations de sociétés paraétatiques attirent des investisseurs des pays émergents : une concession de trente-cinq ans a ainsi été attribuée à l’armateur chinois Cosco sur le port d’Athènes, et des investisseurs chinois participent aux privatisations des grands réseaux d’infrastructures (électricité, gaz, eau, aéroports, autoroutes…). Cela crée une réelle dynamique qui accom¬pagne la reprise conjoncturelle sur le long terme et favorise la poursuite de la revalorisation boursière.

Actualité du fonds

Cet été, le marché a été confronté aux problèmes du groupe Espirito Santo mais également à la faillite de la société espagnole Let’s Gowex (à laquelle nous n’étions pas exposé) après la découverte d’une très importante fraude comptable. Suite à ces événements, nous avons constaté une remontée de la volatilité par rapport à ce qui prévalait au début de l’année mais les marchés portugais et espagnol retrouvent une dynamique positive.
Le fonds GIS European Recovery Equity Fund a bien résisté aux turbulences et à la hausse de la volatilité provoquées par ces deux affaires car nous avions commencé à alléger nos positions sur le secteur bancaire dès le mois de mai, aussi bien sur les banques grecques que sur les établissements portugais, dont Banco Espirito Santo. Ainsi, GIS European Recovery Equity Fund a enregistré un repli inférieur à 5% sur deux mois au 29 août 2014, quand l’indice portugais, auquel nous sommes exposés à environ 20%, perdait près de 14%.
A fin août, la part AY du fonds progressait de 7.27% depuis le début de l’année contre 1.69% pour l’Euro Stoxx.

Convictions du gérant

Nous avons une conviction forte sur l’opérateur grec Hellenic Telecom dont le processus de redressement et de restructuration interne devrait progressivement favoriser une amélioration de sa rentabilité. Nous sommes également investis sur Banco Comercial Portugues (BCP), une banque portugaise détenant des filiales à l’international (Pologne, Mozambique et Angola) particulièrement rentables et en croissance. De plus, BCP est désormais bien capitalisée et présente un potentiel de réduction de coûts qui devrait permettre un retour à l’équilibre des activités portugaises dès l’année prochaine. Nous pouvons, par ailleurs, citer l’assureur ibérique Mapfre qui bénéficie de la reprise économique en Espagne, notamment dans son activité Automobile avec la fin de la guerre des prix sur ce segment. Mapfre réalise également des opérations de croissance interne et externe grâce à une trésorerie importante ce qui lui permet de renforcer ses activités en dehors de l’Europe, en particulier en Assurance-vie.

Cette société de gestion annonce une année encore difficile…
Publié le 29 Janvier 2019

Vincent Chaigneau, Directeur de la Recherche et de la stratégie d’investissement du Groupe Generali, avait prédit une année 2018 médiocre pour les rendements. La situation s’est révélée pire que prévu.

Il annonce une année encore difficile, heureusement d’une ampleur moindre qu’en 2018. Pourquoi ? La combinaison croissance/inflation se détériore, la première étant en baisse tandis que la deuxième est en hausse.

Anticipations 2019

Croissance un peu plus lente : préférer la qualité et se couvrir ;
Moins de divergences entre les économies. La baisse attendue du dollar américain devrait soutenir les marchés des pays émergents ;
Poursuite de la guerre commerciale sino-américaine : elle durera car les tensions entre les deux pays portent sur des préoccupations stratégiques : la technologie, le pouvoir militaire et l’influence politique.
Les conflits commerciaux pourraient s’estomper dans la perspective des élections présidentielles américaines de 2020,
Un risque : les Etats-Unis pourraient porter leur agressivité dans les relations commerciales contre l’Europe, avec l’industrie automobile allemande comme proie de choix.
Le Royaume Uni Ă©vitera le No Deal.
La volatilité des actifs financiers pourrait encore augmenter.

La Fed en meilleure position que la BCE

La politique monétaire américaine est quasiment en territoire neutre selon les modèles de Generali Investments ;
La BCE en revanche manque de marge de manœuvre. Mario Draghi aurait-t’il raté une opportunité de monter les taux voici quelques mois ? Sans doute ne voulait-il pas ternir son bilan alors que son mandat prend bientôt fin.

Chine et Zone Euro : trop de pessimisme !

Les mesures chinoises de soutien permettent d’atténuer le ralentissement économique, grâce aux injections de liquidités permises par la baisse des réserves obligatoires dans les banques et le soutien fiscal, certes modeste.

En zone Euro, Vincent Chaigneau estime exagérée la détérioration du climat des affaires. La baisse des prix du pétrole redonnera du pouvoir d’achat.

Etats-Unis :

Bientôt le cycle le plus long de l’histoire si la croissance se poursuit jusqu’en juillet,
Pas de surchauffe : la pression salariale augmente modérément, tandis que le CPI n’accélère pas.
Quelques signes de ralentissement dans les investissements et l’immobilier résidentiel. Le repli des taux longs au T4 2018 constitue néanmoins un bon soutien.

Le consommateur américain en meilleure santé financière qu’en 2007

Si les entreprises et la sphère publique ont nettement accru leur endettement, les ménages ont réduit la voilure. [NDLR : la sagesse et le bon sens seraient-ils plus dans les foyers qu’ailleurs ?]

La Fed est repassée en mode manuel après avoir laissé les taux monter mécaniquement onze fois consécutives

Les tensions financières et la stabilité de l’inflation permettent aux autorités monétaires de faire une pause, d’autant que l’ISM désormais sous 55 allège la pression sur la Banque Centrale.

Marchés obligataires : le Bund toujours sans intérêt

Ajusté de l’inflation, le Bund produit un retour sur investissement négatif de 1%/an ! Vincent Chaigneau conserve son opinion formulée l’an passée.

Selon lui, le bas niveau des taux longs provient de la conviction du marché que la BCE est prise au piège et que l’Eonia restera négatif pendant les 2 prochaines années.

Le crédit intéressant à court terme. Pour un mouvement tactique, pas plus.

Les spreads des émissions d’entreprises ont remonté des deux côtés de l’Atlantique, rendant ces instruments plus attractifs que la dette souveraine. A long terme, ils sont encore insuffisants pour compenser les risques induits par le niveau record d’endettement des entreprises. Generali Investments privilégie les entreprises européennes de catégorie « Investissement » qui lui semblent bon marché, avec des spreads supérieurs à la moyenne depuis 2000.

Le haut rendement américain est trop cher.

Actions survendues pour l’instant en Europe – une hausse des indices de 3%-5% pour 2019

Le stratégiste a précisé qu’une « grande humilité » s’impose en matière de prévisions de performance des marchés. Son estimation reflète en tout cas les contraintes qui se mettent en travers des marchés. A court terme, il attend un rebond des actions européennes. Il observe que le sentiment des économistes (Sentix) s’est dégradé exagérément en baissant aussi vite qu’en 2007-2008. Les indicateurs de sentiment des investisseurs abondent dans le même sens, rendant la reprise des indices assez probable.
La valorisation des actions s’est améliorée, mais l’ajustement des prévisions bénéficiaires n’est pas terminé.

Vincent Chaigneau prévoit une performance des actions internationales inférieure à 3-4% en dollar et négative après l’impact du coût de la couverture de change.

L’allocation d’actif

Actions

Légère préférence pour l’Europe au détriment des Etats Unis, trop chers.
Grande-Bretagne, Japon et Suisse sont surpondérés.
Neutre sur les Emergents, avec une surpondération en Chine, Corée et Europe de l’Est.
Les secteurs privilégiés : les cycliques à court terme, les défensives au-delà. Services publics, télécommunications et financières sont surpondérés. Pétrole, pharmacie, immobilier et biens de base sous pondérés.

Obligations

Surpondération du crédit européen catégorie « Investissement », sous pondération du crédit américain,
Sous pondération des emprunts d’Etat.

En résumé

Scenario de ralentissement Ă©conomique en douceur,
Retour de la convergence des Ă©conomies mondiales,
Légère surpondération des actions,
Maintien voire nouvelle hausse de la volatilité,
Obligations d’entreprises préférées aux emprunts souverains.

Que peut-on attendre de la gestion flexible dans les années à venir ?

Publié le 29 Avril 2019

« La gestion flexible est nécessaire pour la performance, dans des marchés encore anormaux pour longtemps » selon Generali Investments.

Xavier Bels, Responsable Commercial des Relations Partenaires et Cédric Baron, Responsable de la Stratégie d’investissement Multi assets chez Generali Investments, ont éclairé les CGP qui participaient aux Rencontres Privilégiées qu’organise régulièrement le gérant transalpin.

Avec une question : « Que peut-on attendre de la gestion flexible ? »

Après une année 2018 où aucun refuge traditionnel n’a joué son rôle, on peut se demander à quoi sert d’être agile, flexible, tout terrain quand rien ne protège les portefeuilles.

Allocataires d’actifs, reposez-vous, la Fed veille…

Après le bilan catastrophique du mois de décembre dernier, et les craintes de récession qui l’ont alimenté, la Réserve Fédérale Américaine a viré sa cuti.

Le patron de l’institution américaine Jerome Powell a effacé d’un trait la perspective consensuelle des 4 hausses de taux d’intervention pour 2019 et s’est mis en mode « pause ».

La BCE a suivi quelques semaines plus tard en reportant sine die le programme de normalisation des taux d’intérêts, et elle a en plus confirmé le renouvellement du TLTRO.

La planche à billets était relancée, la dynamique des liquidités inversée, il n’en fallait pas plus pour redonner le moral aux investisseurs.

…avec des résultats tangibles

Le sondage des gouverneurs de la Fed sur la courbe des taux (Source Bloomberg) montre que le rendement souverain américain a baissé de 100 bps à l’échéance 2021,
Les spreads de crédit du haut rendement à 5 ans ont reculé de 90 à 60 bps, et
La prime de risque des actions américaine, à 3,6% en décembre 2018, tangente 3,1% désormais.

Quand les banques centrales sortent la grosse artillerie, les gérants flexibles sont à la peine

Tant mieux, devrait-on penser, car le rôle des banques centrales est de pouvoir surprendre pour donner force à ses messages. Mais cela rend le travail des gérants plus difficile :

Les sauts de volatilité en Europe comme aux Etats Unis ont été violents, mettant à mal certaines stratégies optionnelles de couverture,
Les corrélations sont décalées, remettant en cause les constructions de portefeuilles.

Pas de récession d’ici au moins 18 mois

Le chômage américain a inscrit un plus bas à 3,9%, l’ISM manufacturier est à 54, très loin d’une zone de pré-récession, tandis que les indicateurs de retournement haussier s’accumulent en Asie et en Europe.

L’indicateur à suivre est l’inflation, seule variable de nature à ébranler les politiques des banques centrales. Or, l’inflation s’éloigne des 2% visés par les banques centrales :

Le point mort d’inflation 5ans/5ans est passé en zone euro de 1,8% en 2017 à 1,3% en 2019, et
Le CPI (Consumer Price Index) américain est proche de 1,5% (en données annualisées).

Un rallye fort et rapide sans participation des investisseurs

Les sorties de fonds actions ont réalisé le pire score depuis 2006 selon une étude de Bank of America.

Si l’on en croit les brokers, les premiers signes d’intérêts acheteurs sont encore timides.

Pourquoi une gestion flexible plutôt qu’une gestion diversifiée ?

La gestion flexible repose sur des choix tactiques et la gestion du risque, et
La gestion diversifiée concentre ses ressources sur la sélection de valeurs autour d’une allocation fixe ou stratégique

La gestion flexible demeure un vecteur important de performance car les marchés vont rester « anormaux » pendant encore longtemps. Il faut pouvoir multiplier les sources de performance et de diversification pour satisfaire les attentes de performances des clients.

Trois solutions flexibles proposées chez Generali Investments

GF Fidélité, SRRI 3 : 0-35% actions utilisant les obligations en titres vifs, l’allocation d’actifs et la multigestion pour les stratégies complémentaires.

Ce fonds de 510 M€ a été lancé en 2013.

GIS Global Multi Asset Income, SRRI 4 : 10%-60% actions, investi dans les marchés internationaux. 4% de dividende annuel, 6% en objectif de volatilité max. L’encours géré dans cette stratégie dépasse 2 milliards€.

C’est le fonds le plus représentatif des savoir-faire de Generali Investments en gestion flexible. La gestion traditionnelle en obligations et actions est complétée avec des investissements tactiques comme les contrats à terme sur dividendes et les REIT (Real Investment Trust), investis en actifs immobiliers liquides.

Le portefeuille est actuellement investi en :

31% obligataire défensif : 23% dettes souveraines et 8% dettes privées IG
31% en obligataire avec rendement supérieur et sensibilité actions : 5% dette émergente en USD, 21% dette haut rendement, 5% contrats sur dividendes
7% diversification avec 3% matières premières et 4% stratégie de volatilité des taux américains
33% actions dont 2,3% en call spread sur le secteur bancaire européen
-2% couverture actions

Le fonds lancé le 21/12/2016 a 233 millions sous gestion.

Generali Ambition, SRRI 5, a pour un indice de référence 75% EuroStoxx NR + JP Morgan EMU 7/10 ans.

Ce fonds de 207 M€ a été lancé en 1998.