+1
Je pense que vous faites erreur, il faut vraiment fouiller dans les CG. La garantie net de frais de gestion a commencé à disparaître dès 2016 sur les nouveaux contrats (Generali précurseur en la matière).
Cela n’est plus tout à fait vrai!
De plus en plus de contrat n’ont plus de garantie à 100% sur la somme investie. L’écart pour certains peut être même très important!
De plus, à terme, aucun fonds en euros ne sera accessible sans investissement sur UC.
Donc, il sera obligatoire d’apprécier le risque, y compris en AV.
De là, le conseil de zizou, les SCI (non sans risque) peuvent représenter une alternative…
Non, désolé.
De plus en plus de contrats ne garantissent plus le capital!
Renseignez- vous
Fonds en euros : la sécurité, c’est lui
ACTUALITÉS DES PLACEMENTS
PAR RÉMY DEMICHELIS | INVESTIR | LE 04/03/21 À 09:00 | MIS À JOUR LE 04/03/21 À 09:37 @RemyDemichelis
Sommaire
Fiscalité de l’assurance-vie : le bon plan après huit ans
Contrat de capitalisation : bonne option pour gros patrimoines
Fonds en euros : la sécurité, c’est lui
Exemples de stratégies d’investissement
Exemples de stratégies d’investissement
Les fonds en euros représentent le principal support de l’assurance-vie, que ce soit en termes d’encours (77 % selon le cabinet Facts & Figures) ou bien de collecte (plus de 65 % en 2020 d’après les derniers chiffres de la Fédération française de l’assurance). Autrement dit, les épargnants misent d’abord sur la sécurité : le fonds en euros étant le support sur lequel le capital ne peut pas diminuer, contrairement aux unités de compte (UC) qui sont soumises aux aléas des marchés. Toutefois, les compagnies ont pris l’habitude de se laisser la possibilité d’amputer le capital du fonds en euros par des frais de gestion si jamais le rendement brut devait être de zéro. Des assureurs vont encore plus loin et ne proposent plus qu’une garantie à 96 % ou 99 % en exploitant cette faille.
Les contrats qui n’offrent qu’un fonds en euros sont dits « monosupports » (voir tableau ci-dessous), tandis que les contrats qui donnent aussi accès à des unités de compte sont appelés « multisupports ».
LE FONDS EN EUROS EST UNIQUE
D’aucuns recommandent de souscrire des UC à faible risque à la place du support sécurisé, c’est-à-dire avec un niveau de risque égal ou inférieur à 3 sur une échelle de 7. On compte souvent parmi ceux-là les fonds monétaires, les fonds obligataires ou encore les SCPI (sociétés civiles de placement immobilier).
« Sur les fonds monétaires, le rendement est négatif, rétorque Yves Gambart de Lignières. Et les SCPI ou les fonds obligataires ne sont pas des placements à capital garanti. S’il y a de l’inflation avec les fonds obligataires, on risque d’être perdant. Avec les SCPI, il faut faire attention à ce que les valorisations ne baissent pas, surtout sur les bureaux et les commerces.» Lui considère qu’il n’y a pas tellement d’alternatives au fonds en euros en matière de placement sécurisé, si ce n’est les livrets réglementés.
Les fonds euro-croissance sont les seuls autres supports à proposer une garantie du capital, majoritaire ou totale, mais à terme : il faut attendre au moins huit ans avant d’être sûr de retrouver son capital (des frais de gestion ou de versement peuvent toujours s’appliquer). Des supports qui n’ont pas encore rencontré le succès escompté par les assureurs et les pouvoirs publics.
SÉCURITÉ OU PRISE DE RISQUE
Comment répartir la part en UC et la part en fonds en euros ? Chacun aura une approche différente. Par exemple, il est habituellement conseillé de prendre davantage d’UC lors de ses jeunes années : si le capital ne doit pas servir rapidement, il sera généralement plus profitable de le laisser sur une longue période sur ces supports (à condition de les diversifier).? Il est aussi recommandé de sécuriser son épargne au fil du temps, par exemple, à l’approche de la retraite, si le capital doit financer un complément de revenus après la vie active (voir graphique ci-dessus). Cela afin de ne pas se retrouver fort dépourvu en cas de krach boursier.
Mais les choses ne sont pas aussi simples : « Avec un capital de 10 millions d’euros, je ne vois pas pourquoi il faudrait tout sécuriser si on est sûr de ne pas puiser dedans », explique Yves Gambart de Lignières. Inversement, « A 25 ans, quand on n’a que trois ans devant soi avant d’avoir un enfant ou d’acheter son logement, il faut sécuriser. » Sécurité ou prise de risque, l’arbitrage doit se jouer entre le besoin d’épargne et le patrimoine déjà, ou non, constitué.
pour ma part il n y a pas d alternative au fond euros c est le seul placement avec les livrets qui garantissent le capital
maintenant rien n empêche d aller chercher de la performance avec les SCI SCPI mais il y a un risque c est placements sont de la diversification
je suis au courant je parle des contrats qui le garantissent encore et il y en a beaucoup chez linxea Generali suravenir et Apicil il y a l afer et tous les contrats des associations d épargnants
pour moi le fond euro reste un placement d attente les opportunités se présenteront après la crise
il faut s en servir comme un fond de repli
Tu pourrais ajouter qu’il peut être dopé par de la pierre papier , comme le propose avec des frais d’entrée très faible pour les SCI les 4 contrats de Linxea