Fidelity

Bonjour,

Veuillez trouver ci-joint l’avis des nos gérants pour 2010 :

* Ilario di Bon, gérant de FF Global Sector Fund
* Victoire de Trogoff, gérante de Fidelity Europe
* Vincent Durel, gérant de FF France Fund
* Sanjeev Shah, gérant de FIF Fidelity Special Situations Fund
* Adrian Brass, gérant de FF America Fund
* Robert Rowland, gérant de FF Japan Fund
* Allan Liu, gérant de FF South East Asia Fund
* Nick Price, gérant de FF Emerging Europe, Middle East and
* Ian Spreadbury, gérant de FF European High Yield Fund

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Bonne lecture.

Fil macro Fidelity

Lettre fidelity - juillet / aout 2010

L’année 2011 vue par les gérants de fidelity

Analyse de la catastrophe au Japon

Toute la portée de la consommation chinoise

Communication fidelity - marchés 05 août 2011

Lettre septembre 2011

Communiqué : La dégradation de la conjoncture européenne se poursuit

Pas d’ Actualités désormais , mais TOUS les " Reportings " ici : i[/i]

[b]SALUT LOUPI ]

Thémes d’investissement du 21 e siecle

Extra Didier6 ! Voilà ce qu’ on aime en LinXea :wink:

De très bons papiers , là !
En 2013 , je pourrai prendre des vacances Trankill . La relève est assurée .

Loupi

tu merite de vacance. surtout acec une chienne comme ca

[i]" « La baisse des marchés d’actions sur le mois écoulé est à relativiser car les craintes sous-jacentes sont contradictoires, portant à la fois sur un ralentissement économique et une hausse des taux. » tel est le commentaire de David Ganozzi dans le dernier reporting du fonds Fidelity Patrimoine.

Le gérant de Fidelity Patrimoine estime que la consolidation qui a été à l’œuvre ces dernières semaines n’est que la traduction des inquiétudes sur le fléchissement de la croissance mondiale et sur le resserrement de la politique monétaire américaine. Pour lui, ces craintes doivent être relativisées. En effet, à ses yeux, l’économie américaine demeure solide avec un niveau de confiance des ménages américain qui est revenu au niveau de 2008, « effaçant ainsi les effets de la crise ». « Même si la fin des mesures quantitativistes de la FED est inévitable, il semble tout aussi évident que cette dernière ne prendra pas le risque de remettre en péril la convalescence de l’économie. » ajoute le gérant du fonds. Dans ce contexte, Fidelity envisage donc un scénario de resserrement monétaire très progressif. Du côté de la zone euro, la société de gestion observe un redressement des indicateurs avancés que ce soit les enquêtes PMI, l’indice INSEE en France ou l’IFO en Allemagne, bien que cette zone demeure l’une des seules en récession. L’autre illustration d’un changement de dynamique, est visible selon le gérant, à travers la progression la confiance des chefs d’entreprises est en, alors que le stress financier - engendré par les niveaux d’endettement de ces pays - continue à se réduire.

Dans ce contexte, Fidelity a légèrement réduit sa surpondération en actions notamment sur la région Asie-Pacifique (hors Japon qui montre des signes encourageants de redémarrage) et sur les pays émergents. Mais la société de gestion tient à préciser que ce léger mouvement ne remet pas en cause sa surexposition aux marchés d’actions. Pour le gérant, les actions demeurent la classe d’actifs la plus attractive compte tenu de son scénario de poursuite d’une croissance économique mondiale solide. La récente consolidation est selon lui, assez normale et plutôt saine après cinq mois consécutifs de hausse. Cette baisse s’est traduite par une augmentation équivalente de la poche monétaire.

Sur le front obligataire pas de changement à relever. « La diversification sur le court terme et sur le haut rendement, opérée depuis quelques mois déjà, continue à porter ses fruits. » explique Fidelity. La société de gestion signale également que le « scénario d’un resserrement monétaire très progressif aux Etats-Unis affecte moins le court terme que les tranches obligataires les plus longues. Le même effet duration joue aussi sur le haut rendement car il s’agit souvent d’obligations à court terme qui ont une dimension cyclique. »

Du côté des matières premières, Fidelity ne juge plus nécessaire de réduire son explosion à cette classe d’active comme elle l’a pu le faire en avril, compte tenu des perspectives de ralentissement de la croissance économique. Au sein de cette classe d’actifs, la société de gestion demeure sous exposée à l’or et aux métaux précieux, et préfère jeter son dévolu sur les matières premières plus cycliques, plus à même de tirer parti de la croissance économique. [/i]

Bonjour Ă  tous

Pourquoi investir sur l’Europe et à voir aussi les flux d’investissement

Conclusion : nos entreprises!!!

Bonne lecture

La Consommation dans les EM

                                     La vigueur de la reprise américaine devrait surprendre les investisseurs

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Allocation fidélity

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Perspectives Mai 2014